La Chose

et professeur de français, 1868-1951) qui a fait une analyse critique de la civilisation contemporaine, a contesté les effets bénéfiques de la vitesse. Il a dit et écrit : « Je crois que la principale erreur de notre temps est de chercher en toute chose la vitesse » Pour répondre aux diverses question que suscite cette phrase, nous montrerons d’abord les arguments qui défendent cette théorie puis nous essaierons de montrer certains avantages concrets apportés par la vitesse. Une telle évolution

« Qu’avoir un ami est une douce chose », cette citation est extraite du second recueil des Fables de Jean De La Fontaine. Il prend à témoin le lecteur des vertus de l’amitié. La Fontaine a une vision positive de l’amitié et pour lui la véritable amitié est rare comme il le dit dans cet extrait de « Parole de Socrate » : « chacun se dit ami : mais fou qui s’y repose, rien n’est plus commun que le nom, rien n’est plus rare que la chose ». Nous parlerons, comme La fontaine, d’une part, de l’amitié

autre chose? Il aurait été impossible pour Socrate de choisir autre chose que la peine de mort. L’apologie de Socrate nous le prouve en nous montrant Socrate n’ayant rien à craindre de la mort, en nous montrant qu’il était convaincu de n’avoir été injuste envers personne et en nous montrant que Socrate, en étant condamné à mort, soutenait que le nombre de personnes comme lui qui forcent les gens de la cité à se justifier allait grandement augmenter. Socrate n’aurait pas dû choisir autre chose que

Français : dissertation à domicile "Il y a une fêlure, une fissure dans toute chose ; c'est par là qu'entre la lumière" (Léonard Cohen) La lumière révèle des choses, qu'elles soient obscures ou non, c'est grâce à la lumière que tout à un sens, le monde tel que nous le concevons ne pourrait exister sans la lumière car c'est elle qui nous permet de le concevoir ainsi. Même si la lumière est généralement positive, d'autres interprétations restent possible, c'est parce qu'avant d'être positive

Lény BONNIN TG10dissertation de philosophie «Savoir mourir est la seule chose qu'un jour on exigera forcément de nous.» c'est la phrase écrite par Sénèque, philosophe espagnole appartenant au VIII èmes siècles avant J-C, provenant de: «Lettres à lucilius» . La mort est un sujet qui passionnent de nombreuses personnes de puis la nuit des temps. Dans cette phrase, Sénèque laisse penser que mourir nécessite des connaissances, un savoir. On peut donc se demander si l'on peut apprendre à mourir. Autrement

 27/02/12 La conscience de soi doit-elle quelque chose à la présence d’autrui ? Il est courant d’entendre dire que l’on est les mieux placés pour se connaître soi même. C'est-à-dire qu’autrui y serait donc pour rien. Dans ce sens, Descartes en parlant du doute radical et hyperbolique qui permet de remettre en question la connaissance par les sens considérés comme douteux et par conséquent faux : « Je doute de tout sauf du fait que je doute ». Il s’appui sur l’argument du rêve et existe

et qui par conséquent j’ai conscience de ma propre existence. Comme lorsqu’un adolescent pense à vouloir sortir avec des ami, il pense à sortir donc il existe et à conscience qu’il peut sortir. La conscience est donc le moi, l'âme, l'esprit: «une chose qui pense, qui doute qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent» (méditation, II, 9). La conscience se pense comme distincte du corps, elle n'a pas besoin de support matériel pour exister et se suffit

liberté comme le démontre Laurent Gagnebin, « qui est toujours devant nous, toujours à conquérir, car sitôt atteinte elle s’évanouit » la liberté, comme toute valeur transcendantale n’est jamais acquise, le rêve en outre nous amène à tendre vers quelque chose, à se dépasser car rêver c’est non seulement espérer mais c’est aussi ambitionner. Ambitionner un avenir meilleur « je rêve qu’un jour l’État du Mississipi lui-même […] se transformera en oasis de liberté et de justice ». Rêver c’est pouvoir oser

Penser que les œuvres d’art veulent dire quelque chose, c’est imaginer de prime abord un lien entre l’œuvre et la foule de spectateurs. « Foule de spectateurs », parce que l’adresse provenant de la voix d’un artiste aurait un contenu identifiable, qui vaudrait en tant que tel, immuable face à tous ceux qui le percevraient. L’œuvre d’art serait donc un voie de passage, un moyen pour un créateur de s’adresser au monde, pour lui dire « quelque chose » qui le concerne : une idéologie, une vision du

« La force, la violence peuvent quelque chose, mais pas toujours tout » Montaigne Cette citation nous amène à beaucoup réfléchir sur la question ; la force et la violence sont-elles indispensables pour arriver à ses fins ? Devons-nous rester pacifiques face à certaines situations ? Avons-nous tort d’utiliser la violence ? Sommes-nous en droit d’avoir recours à la violence ? Voilà sur quoi va se porter toute la réflexion. La force (du latin fortia) est l’emploi de moyens violents pour contraindre