La Christianisation Au Moyen âge

aux Blanches Mains jalouse lui indiquera la présence d’un voile noir. Arthur, l’un des neufs preux : La vie de Cour qu’entretient a présence quasi emblématique du Roi Arthur deviendra une source d’inspiration pour les grands romanciers du Moyen-âge, la plupart du temps anonyme. Elevé au rang du mythe littéraire, Arthur comme Charlemagne et Geoffroy de Bouillon figurera parmi les trois preux chrétiens. Une figure paradoxalement déclinante : Malgré tout, la figure du Roi Arthur n’occupe

ecclésiastiques A – Une autonomie par domestication de la féodalité 1 – La résistance intérieure des monastères a – L’apport bénédictin : la foundation de Cluny (910) b – L’apport cistercien : la foundation de Cîteaux (1098) 2 – La christianisation extérieure de l’aristocratie guerrière a – L’adoubement (benedictio novi militis) b – La croisade (et le De Laudae novae militiae de saint Bernard de Clairvaux) B – Une autonomie par refus de la féodalité 1 – La reprise du principe

est vaine étant donné que tout cesse avec la mort, qui est elle-même une naissance de l’éternité. Cette naissance est due au fait qu’en mourant, le corps se détruit totalement et seul perdurent éternellement ses éléments constitutifs. B- Le Moyen-âge : L’idée de la mort obsède tous les esprits, elle se traduit par une horreur physique de l’anéantissement de la chair et la fin de toute volupté; elle évoque aussi les images horribles de l’enfer, châtiment divin souvent brandi par les prêtres

cette croisade est de tripler, d'abord pour l'église c'est une façon de rassembler les seigneurs, les rois, les princes autour d'elle. Conséquences économique, échanges, commerces. Les croisades vont contribuer à l'expansion chrétienne. IV. Christianisation, intégration et répression A. L'expansion de Christianisme (p.92) Conquête catholique des peuples païens, animistes (= non monothéiste, basé sur la nature) Expédition militaire qui répand la religion. Les chevaliers sont des moines. La

La Chrétienté médiévale (X-XIII s) LE MOYEN ÂGE EST UNE PÉRIODE DE PLUS DE 1000 AN.S. NOUS ALLONS PARLER DU MOYEN ÂGE CENTRAL QUE LES MÉDIÉVISTES APPELLENT « LE BEAU MOYEN ÂGE », QUI EST AVANT LE « BAS MOYEN ÂGE », ET APRÈS LE « HAUT MOYEN ÂGE ». LA CHRÉTIENTÉ EST UNE NOTION À LA FOIS GÉOGRAPHIQUE ( À PEU PRÈS L’EUROPE ACTUEL ), ET CIVILISATIONNELLE, DANS LA MESURE OU L’ÉGLISE EST UNE INSTITUTION QUI STRUCTURE ET RYTHME LA VIE DES HOMMES. DURANT CE MOYEN ÂGE CENTRA, L’ACTUEL EUROPE CONNAÎT UN ESSOR

20e siècle). Les siècles du 1er Moyen âge ont laissé très peu de sources écrites à la disposition des historiens au niveau de l’économie. On trouve beaucoup de textes sur la vie des saints et des recueils de miracles qui noie les infos concrète. Rome fut le centre des échanges commerciaux durant l’antiquité mais avec la chute de son empire, ils vont muter. Le passage de la fin de l'Antiquité (chute de l’Empire Romain d’Occident en 476) au début du Haut Moyen Âge se fait en toute continuité : ce

être duc de Bourgogne avant la mort de son frère aîné Hugues. -          « le 10 des calendes de juin » : forme romaine du calendrier. Le 10 des calendes du mois de juin correspond au 23 mai. Il s’agit d’une forme de datation qui perdure durant le Moyen Âge. -          « la quatrième année de l’épiscopat du seigneur Gervais » : effectivement, Gervais est archevêque de Reims depuis 1055. -          « le jour saint de la Pentecôte » : fête mobile (calculée sur le calendrier lunaire). En 1059, le dimanche

(or, argent) | |Recherche d’épices à des prix abordables. Elles étaient utilisées en cuisine ainsi qu’en médecine. Pendant le Moyen-Age, les épices venaient d’Orient (des Indes). | |Elles étaient transportées par les caravanes arabes jusqu’à de grandes villes d’Occident : Constantinople, Alexandre, Damas. De là, les marchands italiens allaient| |chercher les épices et les redistribuaient

rôle primordial dans la protection sociale. Ne pas confondre avec le terme « Etat gendarme » qui se limite aux fonctions régaliennes de l’Etat (contrôle de la justice, de l’armée et de la police). La protection sociale regroupe la Sécurité Sociale (moyen de s’assurer sur la santé et la retraite), l’action et l’aide sociale (système d’assistance : l’aide sociale est apportée « gratuitement » aux plus démunis), système d’indemnisation pour toute personne ayant subi un aléa (chômage, maladie, accident

Orientale, tient essentiellement au fait qu’en occident l’empire ne représente plus grand intérêt pour les populations qui vivent sous son autorité. Le déclin des conditions sociales au fur et à mesure (disparition progressive mais effective de la classe moyenne romaine qui au terme d’un long processus de déclassement social est allé rejoindre la plèbe), ce phénomène fait qu’à partir du 3e siècle on observe que la société romaine se cristallise autour de deux structures essentielles : d’un côté une plèbe