La Cité de la joie

touché le bord, le fer ne produit pas de si puissants efforts », le champ lexical, des actions énumérées, des descriptions très visuelles qui donnent l’impression d’assister en direct à l’assassinat grâce au rapport de Burrhus - discours rapporté, il cite du discours direct de Néron, il y a du présent d’énonciation ce qui donne au récit l’impression d’être témoin de la scène. Ça donne aussi un effet de didascalie. - au point de théâtraliser, de mettre en scène ce meurtre comme un coup de théâtre.

la Russe, très régulière depuis un an (finale à Wimbledon et à l’Open d’Australie, titre à Roland-Garros), est peut-être la joueuse qu’il fallait au tennis féminin pour relancer son intérêt et sa lisibilité. Il suffisait de voir les sourires et la joie sur le visage des représentants de la WTA pour s’en convaincre. Encore faudrait-il qu’une véritable hiérarchie, voire une nouvelle rivalité (avec Petra Kvitova et Victoria Azarenka ?), s’établisse, à l’image de ce qu’il se passe sur le circuit masculin

 Native de Saint Malo, Katell passe sa jeunesse dans la Cité Corsaire. Le baccalauréat en poche, la jeune femme part à New York où elle suit des Etudes d’Histoire de l’Art – elle les terminera à Paris en obtenant son Bachelor of Art à l’Université Américaine de Paris. Passionnée d’arts plastiques, elle s’inscrit parallèlement aux cours de la National Academy of Design de New York. C’est là qu’elle fait son entrée dans la vie active en travaillant d’abord pour la galerie de Bruce Helander puis

société et les valeurs traditionnelles, se retrouve projeter à la limite de la mort. "Adieu" est le dernier chapitre, le dénouement de l’histoire. LECTURE L'automne. Notre barque élevée dans les brumes immobiles tourne vers le port de la misère, la cité énorme au ciel taché de feu et de boue. Ah ! les haillons pourris, le pain trempé de pluie, l'ivresse, les mille amours qui m'ont crucifié ! Elle ne finira donc point cette goule reine de millions d'âmes et de corps morts et qui seront jugés ! Je me

louche, il se levait contre quiconque se montrait pour les ténèbres et pour la tyrannie. En lui brûlait le foyer sacré de la belle folie des vingt ans, lorsque toutes les espérances sont des réalités, et que demain apparaît comme le sûr triomphe de la Cité parfaite. Et, si l'on remontait plus haut, dans cette histoire des passions nobles, qui ont soulevé la jeunesse des écoles, toujours on la verrait s'indigner sous l'injustice, frémir et se lever pour les humbles, les abandonnés, les persécutés, contre

à sa manière ce qu’il a appris à Paris . Il trouve en Arles une image du Japon ,enthousiasmé par cette idée et celle de créer « l’atelier du midi » avec l’aide de Paul Gauguin , il réalisera plusieurs séries aux couleurs éclatantes qui traduise une joie de vivre certaine. Gauguin le rejoindra le 23 octobre (après cinq mois d’attente), les deux artistes ont pour points communs d’être largement autodidactes et se sont lancés tardivement dans la peinture mais leur vision du monde est profondément différente

Aide-moi, veux-tu ? Tu sais parler aux pauvres. A nous deux nous reconstruirons le Paradis, car le Seigneur m’a choisi pour effacer notre péché originel. Tiens, j’ai trouvé un nom pour mon Phalanstère : je l’appelle la Cité du Soleil. Qu’y a-t-il ? Ah ! Tête de mule ! Ah ! Rabat-joie ! Qu’as-tu encore à me reprocher ? Commentaire de l’extrait : * Qui ? Goetz, capitaine d’une armée, il se prétend plus que Dieu. * Quoi ? Il raconte à Nasty ses projets pour faire le Bien. C'est-à-dire donner

être sûr de ne plus croiser les huissiers. Non , je vais plus à l'école car cela sert à rien ici . Pour pouvoir les aider Hakim a taffé au Lycée, car on lui a toujours dit qu'un CV ramenait un métier, c'était la seule lueur d'espoir pour quitter la cité mais malgré son CV, toutes les portes se sont fermées. Ils disaient : « trop qualifié ». Moi je dirais : « trop basané ». Je te cache bien au fond d'un tiroir de mon bureau , j'ai bien peur que mes fréres le trouvent ou encore pire ma mère ! Fanchement

doute importante, ou en tous les cas, importante aux yeux de Cnémon. Voir Sicon et Gétas si fiers d'eux après avoir fait preuve de tellement de lâcheté, est tellement ridicule, que le spectateur ne peut s'empêcher de rire v965 « Bien ! Partagez notre joie : Nous avons triomphé, pour notre part, et pourtant, il nous en a donné de la peine, le vieillard. Avec bienveillance, jeunes gens, enfants et hommes faits, applaudissez ! Et puisse la Déesse issue d'un noble père, et ami du rire, la Vierge Victoire

la ligne 22. Pour Saint Preux, comme pour Rousseau, le bonheur ne peut se trouver qu’à la campagne. Ce bonheur s’exprime à travers les termes « zèle », « gaîté », bienheureux, « acclamations », « on rit » mais également avec l’interjection « quelle joie » ou encore le champ lexical de la fête : « on chante », « les meilleures chansons »... Tout n’est ainsi que bonheur, chant, danse ou fête. On a ici la description d’une société idéale chère à Rousseau dont il ne cesse de faire l’éloge dans ses ouvrages