La Columna Rota

intervenciónes de cirugía, mi padre me instala un espejo por encima de mi cama por que pinto más de autorretratos entre mis 150 pinturas.    Las Dos Frida , 1939 La Columna Rota , 1944 Autoretrato en la frontera entre México y los Estados Unidos, 1932 Desde 1928, me inscriba al parte communista mexicano en esperando sobre todo ocuparse de la emancipación de la mujer porque el machismo es todavia

En 1944, elle peint La Columna Rota (« La Colonne Brisée »). Il s'agit d'un autoportrait : Frida Kahlo est debout au centre de la composition dans un environnement désertique faisant référence au Pedregal, la roche volcanique mexicaine que l'artiste affectionnait particulièrement. Elle porte un corset médical laissant apparaître sa poitrine galbée, tandis que la partie inférieure de son corps est couverte d'un drap blanc. Elle est recouverte d'une multitude de clous enfoncés dans sa peau

La columna rota (La colonne brisée) Il s'agit d'un autoportrait : Frida Kahlo est debout au centre de la composition dans un environnement désertique faisant référence au Pedregal, la roche volcanique mexicaine que l'artiste affectionnait particulièrement. Elle porte un corset médical laissant apparaître sa poitrine, tandis que la partie inférieure de son corps est couverte d'un drap blanc. Elle est recouverte d'une multitude de clous enfoncés dans sa peau et dans le tissu. Elle regarde

HISTOIRE DES ARTS COLONNE BRISEE FRIDA KAHLO ETAPE 1 PRESENTATION DE L’ŒUVRE → C’est une image présentant une œuvre intitulée la columna rota c’est-à-dire « la colonne brisée » . C’est un autoportrait créée par l'artiste mexicain Frida Kalho. Elle est réalisée à la peinture à l’huile sur masonite. Le lieu de conservation est le musée Dolores Olmedo au Mexique. Les dimensions de l’œuvre sont 40x30.7cm. Frida combine l’expressionnisme et le surréalisme dans ses œuvres .La date d’exécution de l’œuvre

|dimension |Lieu de conservation | |l’œuvre | | | | | | | | | |Magdalena Frida |La columna rota |figurative | |1944 |40 x 30.7 cm. |Collection privée de | | |Carmen Kahlo |(La colonne | |Peinture | |

II. Complète le tableau en replaçant les mots manquants au bon endroit. Autoportrait aux bésicles – Classicisme - Espagnol – Fluxus - Français – Hollandais - huile sur bois de tilleul - huile sur toile – (La Columna rota) - Mexicaine - Néerlandais – Original (huile) pour la couverture du Post du 13 février 1960 – peintre rocaille - Surréalisme - (1471-1528) – symbolisme | Artiste ; date naissance et mort ; nationalité d’origine | Titre + année de création de l’œuvre | Type de support utilisé

contre les noirs. Son style est le réalisme, l’humour, et la narration car ces illustrations semblent raconter des histoires avec tendresse. FICHE ANALYSE D’ŒUVRE NOM DE L’AUTEUR : Frida Kahlo Dates : 1907 - 1954 TITRE DE L’ŒUVRE : La columna rota (La colonne brisée) Date : 1940 EPOQUE (entourer) : Antiquité Moyen-âge Renaissance XVII-XVIIIème siècle XIXème siècle Moderne Contemporaine THEME HDA (entourer) : Art, création, cultures Art, espace, temps Arts, état et pouvoir Arts

pourtant, une artiste reconnue par ses autoportraits qui illustrent ses sentiments et plus particulièrement la souffrance tout au long de sa vie depuis son accident qui lui a causé la paraplégie, Frida Khalo, peintre Mexicaine, dans sa peinture La columna rota et Las dos Fridas, illustre son accident d’autobus, la substitution d’une colonne vertébrale d’os par d’une colonne d’acier usée, qui traverse tout son corps plein de clous de girofle qui représentent sa souffrance et sa condamnation a une vie

aux personnages de la Malinche et de la Llorona est significative de son engagement global envers la culture indigène, la condition des femmes, ainsi que de son parcours individuel en quête de son identité, son Soi. En 1944, elle peint Corse La Columna Rota (« Corset La Colonne Brisée »), une peinture avec laquelle l'identification aux femmes mythiques de la culture populaire est d'autant plus explicite. Il s'agit d'un autoportrait : Frida Kahlo est debout au centre de la composition dans un environnement

mexicanité » : incarnant aussi bien la « culture indigène » en portant des costumes traditionnels, que de représenter les « femmes modernes », libres et indépendantes dans leur vie et dans leurs choix. Des peintures comme « La Colonne Brisée » (« La Columna Rota », 1944) et « Le Cerf Blessé » (« El Venado Herido », 1946) où elle s'exprime crûment, et sans volonté de « faire du beau » : ce sera là la marque de son succès. Elle peint même pour ces chirurgiens qui tente de lui redonner une existence normale