La Comedie Instruit

écrite en 1778, est censurée et ne peut être jouée qu'en 1784.Cette pièce s’inscrit dans le mouvement culturel et littéraire des Lumières en ce qu’elle s’oppose au modèle classique du XVIIe siècle en proposant une alternative entre la tragédie et la comédie, en situant l’intrigue dans son siècle et en s’attaquant à la société de son temps. Dans ce long monologue (le plus long monologue de toute l'histoire du théâtre français) qui se situe à la fin de la pièce et qui marque une pause dans la progression

leurs comédies. Si Montesquieu avec les lettres persanes ou Prosper Mérimée avec Carmen prennent des personnages d'autres horizons, c'est que le lecteur est en demande d'exotisme. Le roman n'est donc peut être pas le support le plus crédible pour diffuser de nouvelles idées. L'expression d'un point de vue ne produit qu'un changement superficiel. Le roman est fictif par définition. Il est donc nécessairement en décalage avec la réalité. Il peut essayer de la retranscrire, comme la comédie humaine

celui qui fait preuve de qualités d’âme et d’esprit. Dans une société tenue par le pouvoir royal, l’honnêteté caractérise le courtisan. Plus tard, dans les salons précieux, l’aspect mondain s’accentue. Un honnête homme peut parler de tout, il est instruit, mais ne se montre pas spécialiste. Une nouvelle forme de noblesse rivalise maintenant avec la noblesse du sang : grâce à ses "qualités agréables", l’homme honnête peut arriver au sommet de la société. Baroque et classicisme: les deux âmes du siècle

et Gusman. Molière commence cette pièce par une tirade sur l’éloge du tabac, allusion à l’actualité car le pape voulait à cette  époque excommunier les hommes prenant du tabac. C’est en fait une métaphore du théâtre : « il réjouit et purge », « il instruit les hommes à la vertu », « honnête homme », caractéristiques du théâtre classique. Nous allons expliquer la dernière tirade de la scène prononcée par Sganarelle. Analyse synthétique Scène d’exposition Enonciation théâtrale

tradition de la comédie. elle représente le bon sens populaire comme la servante Dorine de Tartuffe.  Elle est spirituelle, gaie, et espiègle mais elle a de solides principes moraux. taquine et moqueuse elle nous fait rire des autres personnages même de sa maitresse (II,3). Elle est vive et a un tempérament entier (V,8) * Marceline est d’abord dans les actes I et II la version feminine du “vieillard amoureux”, puis elle devient la mère.  Femme de tête (= femme savante), instruite bien que d’un

farces et quelques comédies. En 1658, il revient à Paris pour jouer devant Louis XIV Le docteur amoureux, une farce dont le roi s'amuse beaucoup. C’est sa pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Deux ans plus tard, M et sa troupe s'installent au Palais-Royal où M remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Ses créations se succèdent, dans des registres différents : farces, comédie-ballet (Les fâcheux, 1661), comédie de moeurs (L'école

pouvoir, la guerre, le malheur, la religion... Or, paradoxalement, la littérature et l'art en général choisissent souvent des registres plaisants pour traiter de ces sujets essentiels : La Fontaine ou Molière, l'un dans ses fables, l'autre dans ses comédies, Voltaire, dans ses contes philosophiques, ont pris le parti de « plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L'humour pour divertir La Fontaine s'en explique : « Une morale nue apporte de l'ennui ». Car l'humour,

Marivaux est un écrivain français née le 4 février 1688 et mort à Paris le 12 février 1763 .Enfant du famille plutôt noble de Normandie il s instruit et va à l ecole et en 1710 il s inscrit dans une faculte de droit Paris mais cela ne le satisfait pas et il prefere passer son temps à frequenter des salons celebre

Parallèlement à son métier, il commence à écrire et c’est avec sa première oeuvre parue en 1629, Mélite, que Corneille invente un nouveau genre théâtral : la comédie de moeurs. La pièce est jouée avec succès à Paris, il va donc persévérer et produire plusieurs pièces, que ce soit des tragi- comédies comme Clitandre en 1631 ou des comédies comme La Veuve en 1632. Protégé par le ministre de Louis XIII, le cardinal de Richelieu, Corneille écrit Médée, sa première tragédie en 1635, puis

général sa principale source d'inspiration. A travers les époques, la séduction a été un thème récurrent. Mais c'est à la naissance du classicisme que la mise en scène de la séduction prend énormément d'importance sous différentes formes telles que la comédie et la tragédie. C’est aussi une façon particulière de refléter la vie de la société d’une manière convaincante et pour le public de s’identifier aux personnages. C'est pourquoi nous verrons tout d’abord comment est constituée la pièce de théâtre