La Comptabilité Pour Les Nuls

Lorsque la firme loue le capital physique, il est naturel que ce coût de location vienne diminuer les profits. Dans les faits, les firmes possèdent ce capital. Il existe donc le coût d’usage du capital. Une partie est prise en compte par la comptabilité et l’autre non. L’utilisation du capital afin de produire use le capital : il y a donc un coût d’usure qui doit être pris en compte par l’amortissement. La partie du coût qui n’est pas prise en compte est le coût d’opportunité. Le coût d’opportunité

en consolidation afin de valider l'exhaustivité des retraitements. • Dividendes : s'assurer que ne subsistent que des dividendes de sociétés non intégrées • Dotations et reprises de provisions réglementées : Vérifier que ces comptes sont nuls • Résultat exceptionnel : -S'assurer que les boni et mali de fusion sont bien annulés -Si des valeurs importantes figurent en "675" et "775", vérifier qu'il ne s'agisse pas de cessions à l'intérieur du groupe 5 Élimination

Sourate Al Baqarah P 2 : Interdire l’incertitude et délaisser la spéculation Le « gharar », littéralement « aléa », recouvre la notion d’incertitude ou d’ambiguïté dans un contrat. Les contrats ne doivent pas contenir de « gharar » sinon ils sont réputés nuls. Les contrats doivent être les plus clairs et transparents possible (notamment en matière de prix, d’objet, d’identité des parties et de délais). La notion de « maysir » a trait au hasard, au jeu et donc à la spéculation. Il est illicite de parier

tourné vers les innovations plutôt que la gestion. P.F.Drucker précise qu’il faut tenir une nouvelle approche qui prend en considération les enseignements du passé : • Une mauvaise structure est la garantie de résultats nuls, • La structure n’évolue pas d’elle-même, • La structure vient après la définition des activités, • La structure fait suite à la stratégie • Il n’existe pas d’organisation

en France, qu’elles soient scientifiques, juridiques ou manageriales, sont basées sur le même principe : on prend un gros problème que l’on découpe en une suite de petits problèmes que l’on règle les uns après les autres. Il en est ainsi de la comptabilité analytique, de l’informatique, de la mécanique et de l’éléctronique par exemple. b) FORMES EVOLUEES La première consiste à mettre en avant les points de divergence entre les partenaires et soutenir que la négociation ne pourra se dérouler que lorsque

à titre habituel ou professionnel et pour leur compte ; - immatriculation au registre de commerce - tenue de la comptabilité  les commerçants de fait : sont ceux qui exercent une activité commerciale à titre professionnel ou habituel et personnel, mais ignorent totalement la loi commerciale. Ils ne sont pas immatriculés au registre de commerce et ne tiennent pas de comptabilité. Ex : les boutiquiers ; les petits artisans Conséquence : la qualité de commerçant le pénalise (il est légalement

conformément au PCG, et il comprend de nombreux postes qui nuisent à sa lisibilité. Ceci est d’autant plus vrai que l’un des principes comptables en comptabilité française stipule la prééminence de la réalité sur l’apparence. Ce principe illustre le clivage qui existe entre la comptabilité anglo-saxonne basée sur une conception économique et la comptabilité française basée sur une conception juridique. Cette importance donnée sur l’aspect juridique dans l’élaboration des documents comptables rend plus

Egalisation des conditions, des statuts. Les fonds de commerces ne sont plus propres aux commerçants. Exemple : fonds libérale. Même chose pour les procédures collectives : ils ne sont plus les seules à y être soumis. De même pour la comptabilité : tous les professionnels la tiennent. Du point de vue de la politique législative, on doit servir plusieurs objectifs, plusieurs impératifs : Eviter d’ouvrir le statut de commerçant à des personnes trop fragiles, qui seraient trop faibles

une mesure du pouvoir d’achat (car exprimer par habitant) permettant des comparaisons internationales. Il présente cependant certaines lacunes : * Il ne permet d’appréhender les inégalités sociales et leur évolution * Il s’appuie sur la comptabilité nationale et ne prend donc pas en compte certains éléments (par exemple : le travail au noir ou le bénévolat) * Il prend en compte que la production de B&S qui n’améliorent pas le bien être (par exemple : l’installation d’alarmes antivol

habitants), 18 504 organismes de coopération intercommunale (dont 2 455 à fiscalité propre), 100 départements et 26 régions constituent, avec les organismes divers d’administration locale, les administrations publiques locales (APUL) au sens de la comptabilité nationale. Leurs dépenses totales se sont élevées à 163 milliards d’euros en 2003 (soit 10,5 % du PIB), dont 48 milliards d’euros au titre des dépenses de personnel (1,72 million d’agents publics travaillent pour le compte des collectivités locales)