La Congrégation

filles. Dans cette France du 17ème l'église interdit la mixité. Mais au 17ème on a des congrégations religieuses qui ouvre des écoles gratuites pricipalement pr les pauvres. Parmis c congrégations il y a celles de URSULINES. Les URSULINES se proposent pour but principal : l'éducation des petites filles. Alors elles dvlpent un certains nombres d'écoles (en 1620 65 couvents pr petites filles 1789 : 300) Autre congrégation : LES VISITANDINES fondé par DE SALES ET DE CHANTAL. Elles aussi proposent des institutions

enfants et les soins aux mourants. Elle reçoit l'aide ponctuelle de laïcs et mendie dans des pharmacies les médicaments qu'elle ne peut payer. Après quelques mois, ses anciennes élèves la rejoignirent une par une. Le 7 octobre 1950, la nouvelle congrégation des Missionnaires de la Charité était officiellement établie dans l’Archidiocèse de Calcutta. Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans d’autres régions de l’Inde et au Venezuela. Ensuit elle créera des fondations à

siècle. Il est novice chez les franciscains, une congrégation monastique érudite qui plaident la pauvreté et la mendicité. Il se passionne de culture grecque et parle couramment latin. Il est donc prêtre.La Sorbonne, une université théologique, interdira l’usage du grec pour la Bible. Il y aura donc un mouvement d’oppression contre les philhellènes et un obscurantisme culturel. Rabelais obtient du pape, la possibilité d’adhérer à une autre congrégation : les bénédictins, plus libres. Il séjournera dans

Quelle est leur véritable fonction ? Qu'est-ce qu'une cathédrale ? Les congrégations de disciples s'organisèrent après la mort de Christ, qui, souvent, se réunissaient dans des foyers. Pendant des décennies, ces congrégations furent dirigées par des « anciens ». Malgré les mises en garde de Jésus, Certains anciens s'élevèrent au-dessus des autres; on vit apparaître des évêques chargés de la surveillance de plusieurs congrégations. Puis le mot « église », qui à l’origine désignait les chrétiens eux-mêmes

Schleiermacher 1768 – 1834 Identification de l’auteur Schleiermacher nait le 21 Novembre 1768 dans la ville de Breslau en Pologne. Il est le fils d’un aumônier militaire protestant. Il fréquenta le collège de Niesky dirigé par la congrégation des Frères Moraves. La congrégation influence la morale de Schleiermacher. Rapidement Schleiermacher n’est plus satisfait par l’enseignement des Frères Moraves, il demande la permission à son père d’entrer à l’université de Halle. Schleiermacher fait des études

établissement.Association Adèle de GlaubitzMais qui est Adèle de Glaubitz ?Madame Adèle de Glaubitz (1797-1858) fondatrice des Sœurs de la Croix, n’avait dans les premières années de son engagement personnel de chrétienne nullement l’intention de créer une congrégation ; diverses circonstances l’y amenèrent en 1848.Très jeune, elle s’intéresse à la formation professionnelle de jeunes filles pauvres, se documente, et fonde en 1835 « l’œuvre des jeunes servantes catholiques ». Elle travaille avec des personnes

Association Adèle de Glaubitz Mais qui est Adèle de Glaubitz ? Madame Adèle de Glaubitz (1797-1858) fondatrice des Sœurs de la Croix, n’avait dans les premières années de son engagement personnel de chrétienne nullement l’intention de créer une congrégation ; diverses circonstances l’y amenèrent en 1848.Très jeune, elle s’intéresse à la formation professionnelle de jeunes filles pauvres, se documente, et fonde en 1835 « l’œuvre des jeunes servantes catholiques ». Elle travaille avec des personnes

disparités entre les prêtres des campagnes et les prêtres des villes : en France il y a 12 000 communes de moins de 200 habitants. Clergé régulier (‚clergé séculier : pas de voeux) composé de 30 000 hommes et 130 000 femmes qui appartiennent aux congrégations religieuses. Cependant grand rayonnement de l'Eglise Fr avec 3/4 des religieux à travers le monde. Une partie de la bourgeoisie reste fidèle à l'Eglise. Une autre partie est plutôt libérale et anticléricale. Intellectuels partisans du catholicisme

elle forme une sorte d'aboutissement entre les républicains et les congrégations religieuses. Les républicains aimeraient voir fermer les congrégations religieuses, en particulier leurs écoles qui ne font pas de discours républicain. En 1901, une loi est votée : pour qu'une congrégation puisse enseigner, il faut qu'elle ait l'autorisation de l'État. Pour l'auteur de cette loi, il s'agit plus d'une sorte de concordat des congrégations. La situation se tend encore plus, avec Émile Combes, président du

approuveront cette dernière en admettant que les cloîtrées n’étaient plus d’aucune utilité pour ce pays. Il faut quand même dire qu’elle était arrivé en Canada alors qu’elle était laîque, pour fondre, par la suite, la communauté des Sœurs de la Congrégation Notre-Dame de Montréal. Le professeur John R. Porter, dans Le grand héritage, l’Église Catholique et les arts au Québec, précise ceci : …Animées d’un esprit missionnaire, ces religieuses étaient les premières à s’établir en Nouvelle-France (les