La Conscience Est Elle Solitaire

Comment peut-on avoir bonne conscience ? La bonne conscience est un sentiment bien connu mais complexe qui offre une sensation de satisfaction lorsque nous n’avons rien à nous reprocher ou lorsque l’on a achevé un devoir. Ce sentiment est donc indissociable de la morale et de la conscience morale, cette faculté nous permettant de juger les comportements et les faits ainsi que de différencier le bien du mal. Nous en venons donc à nous demander quels sont les mécanismes qui permettent le sentiment

qui est connu de soi, inconnu des autres". Ex: je suis un solitaire, mais mon entourage ne le sait pas. cette zone recouvre les comportements et attitudes que l'individu ne veut pas partager avec les autres. Dans la dynamique de groupe, il s'agit de connaissances et expériences qu'un individu ne veut pas transmettre volontairement aux autres. 4. Zone Inconnue : "Ce qui est inconnu de soi, inconnu des autres". Les activités de la conscience sont inconnues de l'idividu et des autres. Ex: ni moi

peut-être bien, mais L'Etranger n'était pas un pastiche. Dans une interview faite après la guerre, Camus allait admettre qu'il avait utilisé dans ce livre certaines techniques américaines parce qu'elles servaient son dessein de décrire un homme "sans conscience apparente", mais il 1 http://www.gallimard.fr/Footer/Ressources/Entretie ns-et-documents/Histoire-d-un-livre-L-Etranger-dAlbert-Camus/%28source%29/239598 craignait que la généralisation de ce procédé n'en vînt à créer "un univers d'automates

INTRODUCTION :   Le rêve se définit spontanément par opposition à la réalité. Il est généralement tenu pour une parenthèse de la conscience, une phase particulière du sommeil. Mais il renvoie aussi à la représentation idéale de ce que chacun désire et voudrait peut-être réaliser, cette part de rêve que chacun porte en soi.Ce corpus fait de quatre documents se propose d’aborder un aspect essentiel du thème du « Rêve ».Le premier document est un texte écrit par Véronique Brocard se prénommant « La

influencé par le moral. L’Homme voudrait à tout prix s’arracher le cœur juste pour avoir un peu de tranquillité et de calme et il avouera : ‘’ Il n’y a que la main d’un ami qui arrache l’épine du cœur ‘’. S’il ne parviendrait guère, alors, il aura une conscience perdue dans le néant et dira : ‘’ Vivre sans ami, c’est mourir sans témoin’’. Il aboutira en conséquence à la folie et au délire. Mais, il y a toujours un mais qui s’oppose… Or, si l’Homme aboutit au bonheur, alors il sera l’être le plus heureux

particulièrement solitaire » L.5. On passe ensuite au problème de la « dépossession » l.11, qui est pour lui un sentiment négatif mais allant vers le positif, se traduisant par un oxymore « dépossession exaltée » L.11, par des compléments de temps, des adverbes de temps et des verbe traduisant la progression, «  Je sentais grandir en moi de seconde en seconde » L.11. La dépossession s’exprime également par un changement de pronom possessif, « Mon belvédère » l.1, devient « Son domaine solitaire » L.15. Le

d’autres idées, par le partage des opinions. Enfin, nous nous intéresserons à la première difficulté à penser par soi-même : prendre conscience de soi. (En effet, il n’y a pas de pensée personnelle sans conscience de sa propre personne.) En premier lieu, face à l’expression « penser par soi-même », nous pourrions nous dire que c’est d’une réflexion intérieure et solitaire, ainsi que totalement originale dont il s’agit. Pour utiliser une autre expression, il pourrait s’agir de « produire en propre »

regardant avec attention dans la glace un petit signe brun », « elle étudia d’autres parties de son corps », « s’examinant de dos et de face » … - Narcissisme rime avec auto-érotisme : après s’être longuement observée, Nana se livre au « plaisir solitaire ». b. Un plaisir mi-enfantin mi-pervers. - Régression au stade de la découverte et de l’exploration enfantines du corps : « reprise de ses curiosités vicieuses d’enfant », « elle finit par se plaire au singulier jeu de se balancer », « elle se

de là je constate mon existence, « je pense, je suis ». Mais, je constate aussi que j'ai constaté mon existence : je constate donc qu'il existe en moi une capacité de réflexion sur moi-même dés lors, je pense par moi-même. Suis-je pour autant solitaire dans ma pensée ? Non ! Je suis un être social et de ce fait je vis avec autrui, avec lequel je me confronte afin qu’il me reconnaisse. Cet « impitoyable » combat que décrit Hegel, peut aboutir à l’asservissement intellectuel du plus faible par Autrui

AUTRUI Quel rôle joue autrui dans la formation de ma conscience ? C’est à partir du rapport à l’autre que je me retrouve et me construis. - Celui qui est sujet comme moi mais qui dit « moi » sans être moi. - Signifie en même temps identité et différence. - Alter égo ? (autre moi que je peux penser, connaitre) - Égo alter ? (se dérobe à moi ; que je peux essayer de comprendre) - L’ANALOGIE ET SES LIMITES Avant Descartes : le problème d’autrui ne se posait que sous la forme des devoirs