La Conscience Est Elle Souveraine Dans Le Psychisme

INTRODUCTION. Imagination et mobilité [7] Chapitre I. Le Rêve de vol [27 Chapitre II. La poétique des ailes [79 Chapitre III. La chute imaginaire [107 Chapitre IV. Les travaux de Robert Desoille [129] Chapitre V. Nietzsche et le psychisme ascensionnel [146] Chapitre VI. Le ciel bleu [186] Chapitre VII. Les Constellations [202] Chapitre VIII. Les Nuages [212] Chapitre IX. La Nébuleuse [225] Chapitre X. L'arbre aérien [231] Chapitre XI. Le Vent [256]

La difficulté est donc amplifiée par le fait qu’elle atteint l’homme directement dans la représentation qu’il se fait de lui-même et de sa supériorité par rapport aux autres êtres vivants : sa conscience. L’étude de ce texte va donc nous permettre également d’étudier de plus près les théories de la conscience et de trouver des arguments dans le débat entre libre-arbitre et déterminisme, entre idéalisme et matérialisme. Cf. texte §2 : « ce sont donc des hypothèses sur la vie pulsionnelle de l’homme

son niveau le plus bas, c'est en réalisant l'acte. Ce passage à l'acte, en psychanalyse, on l'appelle la « décharge ». 2) Principes La métapsychologie fait référence à 3 principes : - Le principe de plaisir : c'est une loi qui régit le psychisme, ce principe est tout entier tourné vers la recherche de plaisir, ainsi l'objectif du principe de plaisir est d'éviter le déplaisir, la souffrance et la frustration. Il n'est pas toujours facile de réaliser le principe de plaisir, quelques fois il

manifestations sentimentales du nationalisme : le drapeau, l'hymne national. À la limite, il apparaît que l'adhésion d'une collectivité à la foi nationaliste est susceptible de se mesurer au degré d'attachement de cette collectivité à la notion d'État-souverain : le nationalisme naît avec la volonté de conquête de la souveraineté ; il s'amenuise en même temps que fléchit la volonté d'en conserver la plénitude.     Non moins nécessairement, tout nationalisme sera unitaire. Il n'est aucun des nationalismes

fixée et on peut chercher les caractéristiques générales qu’on trouve exprimées dans toute civilisation, toute culture. Ce qu’on appelle les rationalistes classiques définissent justement l’homme comme un être doué de raison. Son essence serait la conscience, faculté de produire des idées. C’est ainsi que c’est sur cette idée d’homme que les révolutionnaires établissent les droits de l’Homme. Cette liste serait celle des invariants : la religion, par exemple, définit les hommes comme créatures de

résonance pathétique. Ainsi rien n’aurait été si probant et fort si Zola n’avait utilisé le discours indirect libre, à travers lequel se joue l’évolution psychique de Jacques car c’est la première fois dans le roman que le personnage prend conscience de son mal. II – La bête humaine A – Les champs lexicaux 1 – de la sensualité « la fièvre grandissante » l.7-8, « affolante du désir » l.8, « cette chair, cette gorge, chaude et blanche » l.13-14, « pour le plaisir » l.15, « envie »

se singularise par des qualités prodigieuses, par l'héroïsme ou d'autres particularités exemplaires qui font le chef. C'est là le pouvoir « charismatique » que le prophète exerçait, ou - dans le domaine politique - le chef de guerre élu, le souverain plébiscité, le grand démagogue ou le chef d'un parti politique. Il y a enfin l'autorité qui s'impose en vertu de la « légalité », en vertu de la croyance en la validité d'un statut légal et d'une « compétence » positive fondée sur des règles établies

vrai que des renoncements technologiques (et donc des diminutions du niveau de vie) seront tôt ou tard inéluctables (c'est la thèse de Jonas), alors seul le pouvoir politique, et un pouvoir non contesté, pourra l'imposer - et pourra d'abord prendre conscience de l'ampleur du danger. Je ne discuterai pas les analyses de Jonas sur ce point (18), il reconnaît que c'est « la partie la plus faible du système », aussi bien du point de vue théorique que du point de vue opératoire (p. 53). Je n'insisterai pas

est sous-tendu. -Le sexe a un pouvoir de causalité important, générale diffuse : il y a une irradiation qui prend tout le corps. Le sexe a une influence sur le psychisme en termes de maladie mentale. Il y a un lien entre le sexe et le psychisme. Ce qui se traduit par le fait qu’une mauvaise sexualité peut conduire à un mauvais psychisme. -On imagine que la sexualité est quelque chose d’obscure, de trouble car elle répond à des mécanismes qui échappent. Donc on ne peut pas la contrôler ni la maîtriser

La conscience : - 3 usages possibles de la conscience (se servir des expressions de dissertation pour réfléchir) : - point de vue psychologique : « perte de conscience » : rapport conscience/connaissance de quelque chose qu’on pourrait perdre et retrouver. - point de vue cognitif : rapport conscience/pensée : prendre/avoir conscience de quelque chose, façon dont la chose m’apparait, est plus ou moins claire, plus ou moins lucide. - point de vue moral : « cas de conscience », « avoir bonne