La Contraception La Contragestion

Müller se différencient individu génétiquement XX de phénotype masculin (bourses sans testicules) et voies génitales internes males et femelles Contrôle de la Reproduction : I) Contraception & Contragestion : 1) Définitions : Contraception : ensemble des processus empêchant la fécondation Contragestion : ensemble des processus empêchant la gestation Mécanismes agissent au niveau : ovogénèse et maturation follicule : stérilet pilule œstro-progestérone macro-pilule progestative

influencées par le moment du cycle menstruel. ( Chez l’Homme l’activité sexuelle, et le plaisir qu’elle entretient, se dissocient de la reproduction. La dualité désir sexuel/désir d’enfants a pu être renforcée par la découverte de moyens efficaces de contraception. Révisions… Question type I : Rédiger en 30 minutes un plan détaillé du sujet suivant , « mécanismes fondamentaux de la différenciation sexuelle ». Avant de s’intéresser à la reproduction en elle-même et des moyens permettant sa maîtrise…

la procréation mieux adaptée et comportant moins d’effets secondaires. 1 La contraception hormonale Elle utilise des œstrogènes et un dérivé de la progestérone (progestatif) qui bloquent le développement folliculaire, empêchant l’ovulation par rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire. De plus, elle rend le mucus cervical (doc.1) imperméable aux spermatozoïdes. Par ces deux actions, la contraception hormonale empêche la fécondation.   Doc. 1 Aspects du mucus cervical observé

testostérone - dans l’espèce humaine, le comportement sexuel est partiellement dissocié de l’activité hormonale - l’Homme est capable de maîtriser sa reproduction - la régulation des naissances reposent sur les méthodes de contraception et de contragestion - la contraception hormonale féminine (pilule) repose sur le rétrocontrôle négatif exercé par les hormones ovariennes : on maintient un taux hormonal qui trompe le complexe hypothalamo-hypophysaire et empêche l’ovulation (pilule contraceptive)

allèle morbide. Contact anormal : contact entre deux ensembles de couches sédimentaires qui ne se sont pas déposées l'une sur l'autre dû à des mouvements tectoniques les ayant affectées après leur dépôt. Contraception : action destinée à empêcher la conception. Contragestion : action destinée à empêcher la gestation. Convergence : Géologie : mouvement convergent de deux plaques lithosphériques l’une vers l’autre. Biologie : réalisation de structures ou de fonctions similaires

s’écoule entre l’arrêt de toute contraception et l’obtention d’une grossesse. Ce délai est en moyenne de six mois et il n’est considéré comme anormal que lorsqu’il est supérieur à deux ans. C’est alors que sont réalisés un bilan, des explorations et des traitements de l’infertilité. 1. Définir ce qu’est l’infertilité. On parle d’infertilité lorsqu’un couple reste sans enfant après deux ans de rapports sexuels complets, de fréquence suffisamment rapprochée et sans contraception d’aucune sorte. L’infertilité

cordon ombilical). Ds d’1 anomalie grave, divers mesures sont mises en œuvre qui peut aller jusqu'à IVG thérapeutique. Cependant il n’est pas possible de garantir 1 naissance d’1 enfant indemne de tout handicap. Régulation des naissances : Contraception hormonal féminine s’appuie sur ensemble de connaissances sur régulation hormonale féminine. Pilule combinée : 2 hormones de synthèse (progestérone +œstrogène) à dose variable, normaux ou mini dosé. Pilule agit à 3 niveaux : -maintien RC – sur CHH

connaissances Des méthodes contraceptives permettent de choisir le moment d'avoir ou non un enfant. La contraception représente l’ensemble des méthodes ayant pour but d’empêcher une grossesse en cas de rapport sexuel. Ces méthodes empêchent : – la production des cellules reproductrices ; – la rencontre des cellules reproductrices ; – l’implantation de l’embryon dans l’utérus. La diversité des méthodes de contraception permet à chacun de choisir celle étant la plus adaptée à sa situation. Dans certaines conditions

progressivement la mise au point de molécules de synthèse qui permettent une maîtrise de la procréation de plus en plus adaptée, avec de moins en moins d’effets secondaires. Ces molécules de synthèse sont utilisées dans : –  la contraception régulière (« la pilule ») ; –  la contraception d’urgence ; –  l’IVG médicamenteuse. Elles sont également utilisées dans les techniques de Procréation Médicalement Assistée (PMA) qui permettent ou facilitent la fécondation et/ou la gestation dans les cas de stérilité

transplantation. Dans le cadre de la maîtrise de la reproduction, les méthodes de contraception utilisées sont soit à effet contraceptif, soit à effet contragestif, soit cumulant les deux. Un effet contraceptif empêche la fécondation ; un effet contragestif empêche la nidation de l’embryon ; un effet abortif agit après implantation de l’embryon (on parle alors d’interruption de grossesse). La diversité des méthodes de contraception permet à chacun de choisir celle étant la plus adaptée à sa situation