La Corde Baudelaire

réalité spirituelle et immatérielle. À l’opposé du théâtre 16 Voir : FORTASSIER, Rose. Le Roman français au XIXe siècle. Paris : PUF, coll. « Que sais-je ? », 1982. chapitre VIII, p.90-100. 17 VAN THIEGHEM. Op.cit. p.211. 18 RAYMOND, Marcel. De Baudelaire au surréalisme. Paris : José Corti, 1940. p.50. 19 Ibidem. p.51. 20 SARRAZAC, Jean-Pierre. « Reconstruire le réel ou suggérer l’indicible ». In : JOMARON, Jacqueline de. (Dir.). Le Théâtre en France. Paris : Librairie Générale Française, coll.«

roche entre ses vastes poings », «  Son crâne est son levier, sa main est sa massue  », rien n’arrête ce fantastique ouvrier. La jonction des deux pôles du Titan, à la fois mineur et songeur, est définie par Claude Millet pour qui, « pour plagier Baudelaire en le retournant, l’action est la sœur du rêve : il n’y a pas de solution de continuité entre le songe et le creusement tout physique du « dedans de la terre », entre la contemplation et la libération [19]». Cette libération en apparence corporelle

utopie, Johann Trumel Webstats4U - Free web site statistics Honoré de BALZAC (1799-1850) 1. Une œuvre infinie 2. « La Comédie humaine » ou « l’illumination rétrospective » 3. Balzac penseur ? 4. « C’est un créateur de méthode » (Baudelaire) 5. « Plus historien que romancier » 6. Les reins et les cœurs 7. Le drame et la verve Prométhée, Protée, homme à la robe de bure, créateur halluciné immortalisé par Rodin, Balzac a suscité toutes les imageries et toutes les gloses. L’œuvre

1949 : Gilbert Sigaux, Les Chiens enragés, Julliard 1950 : Georges Auclair, Un amour allemand, Gallimard 1951 : Jacques Perret, Bande à part, Gallimard 1952 : Jean Dutourd , Au bon beurre, Gallimard 1953 : Louis Chauvet, L’Air sur la quatrième corde, Flammarion 1954 : Maurice Boissais, Le Goût du péché, Julliard 1955 : Félicien Marceau, Les Élans du cœur, Gallimard 1956 : Armand Lanoux, Le Commandant Watrin, Julliard 1957 : Paul Guimard, Rue du Havre, Denoël 1958 : Bertrand Poirot-Delpech

comme l’immortelle œuvre Madame Bovary  de G. Flaubert, le célèbre tableau Le Havre de Claude Monet ou l’Etretat de Courbet, les fleurs du Mal de Baudelaire,  les corbeaux de H Henry Becque … Guy de Maupassant n’enfreint pas à cette ligne de conduite et se consacre intensément à esquisser, dans des nouvelles passionnantes et émouvantes, des tableaux pittoresques

"Rien n'est jamais perdu tant qu'il reste quelque chose à trouver." [ Pierre Dac ] "Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout." [ Henri Queuille ] "On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant." [ Charles Baudelaire ] "La meilleure façons d'imposer une idée aux autres, c'est de leur faire croire qu'elle vient d'eux." [ Alphonse Daudet ] Les citations du Monde 7 "Il n'y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui ne doit pas du

les mains l'une après l'autre, je finis par la contraindre à me suivre. Plus d'une demiheure s'est ainsi passée. Le pont traversé, nous nous dirigeons vers le Louvre. Nadja ne cesse d'être distraite. Pour la ramener à moi, je lui dis un poème de Baudelaire, mais les inflexions de ma voix lui causent une nouvelle frayeur, aggravée du souvenir qu'elle garde du baiser de tout à l'heure : « un baiser dans lequel il y a une menace ». Elle s'arrête encore, s'accoude à la Devant nous fuse un jet d'eau dont

"Rien n'est jamais perdu tant qu'il reste quelque chose à trouver." [ Pierre Dac ] "Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout." [ Henri Queuille ] "On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant." [ Charles Baudelaire ] "La meilleure façons d'imposer une idée aux autres, c'est de leur faire croire qu'elle vient d'eux." [ Alphonse Daudet ] Les citations du Monde 7 "Il n'y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui ne doit pas

complète du flâneur, celui qui « va oisif comme un homme qui a une personnalité et proteste ainsi contre l’activité industrieuse des gens. » 102 9. Pierre Cabane, Les peintres de plein air, Paris, l’amateur, 1998, p. 9. 10. Walter Benjamin, Charles Baudelaire, Paris, Payot, 2002, p. 81. 28 La figure du flâneur prépare sans aucun doute de nouvelles attitudes chez les artistes au début du XX e siècle, introduisant la question du corps mobile au cœur de la création plastique. La flânerie comme matière

cour, à travers ses morales. La poésie officielle du XVIIème siècle, comme celle de Malherbe, auteur de “l’Ode à la reine”, ou la poésie satirique “vise”, évoque ou interpelle des individus ou des lecteurs en particulier. Dans Les Fleurs du Mal, Baudelaire choisit comme destinataire “l’hypocrite lecteur”, son “semblable” et son “frère”. Le poème n’est pas considéré qu’en lui-même, mais comme une œuvre qui va être parcourue, comme des instants qui vont être partagés. Sartre dira ainsi qu’il n’y a d’art