La Corrida

lancée dans les airs par un taureau furieux et retomber sanglante aux applaudissements d’un peuple en délire. » Une fois le fond du portrait peint, il convient au portraitiste de l’animer. Pour ce faire, il fait appel au stéréotype de la scène de Corrida espagnole avec son ambiance, sa violence : au lieu du taureau qui est l’objet du spectacle, c’est la belle Pepita qui va charmer les regards de sa danse espagnole célèbre. La description de la tenue vestimentaire de la jeune fille se réfère au costume

maitresse du tableau, car elle est placée au centre.Le cheval symbolise le peuple sacrifié. Sa figure traduit la terreur du peuple. Une lance lui transperce le flan, cela rappelle les blessures du Christ. | | Le taureau est le symbole de l’Espagne (la Corrida). Il représente la brutalité, la cruauté.Au milieu de tous ces personnages, il parait glacial, indifférent.Il ne regarde pas dans la même direction que les autres personnages. | | Les hurlements de la mère (la langue pointue représente le cri

ainsi, la lecture de la toile se fait de droite à gauche, à l’inverse du sens normal de lecture. Le tableau est donc aussi renversé que le monde qu’il veut représenter. Zoomons sur quelques personnages : le taureau, tout d’abord, symbolise l’Espagne (corrida), les Nationalistes (leur brutalité) et représente le monstre (le minotaure). La mère qui est juste en dessous est en larmes, sa tête est renversée et la langue pointue qui émerge du fond de sa gorge donne à entendre un cri strident. Elle incarne

= Rome influence (approprier ou adapter) les autres cultures mais elle est influencée par les autres cultures aussi c’est réciproque. a)VillesNimes se situe en GaulesPLAN : Les constructions romainesL’amphithéâtre = les arènes (corrida) de nos joursLe Forum ( a l’encroisement des deux axes) et les deux axes = le cardo ( nord-sud) et le decumanus ( ouest-est)La maison carréLe cirqueTheatreTempleLe christianisme est passée d’une religion persécutée a une religion toléré puis a la

temps passé en ligne atteindrait en moyenne 14,2 heures par semaine contre 11,5 pour la TV. Les particularités des pratiques culturelles se situent plus au niveau des héritages des pays, l'Espagne respire comme un seul homme lors de ces célèbres corridas, il n'y a pas en France de tel manifestations qui unisse autant de monde.... Ainsi nous vient l'image de l'Espagne festive, il faut dire que le train de vie est propice, nos journées sont totalement décalés ( expliquer horaires ... ) et les espagnols

monumental, contrastes violents, déformation et mutilation des personnages, références religieuses et mythologiques, fragmentation de la composition).  A travers cette œuvre Picasso mélange ses références personnelles : origines espagnoles (tauromachie, corrida), opinions politiques (communisme et lutte pour la paix), religion et mythologie, et enfin le cubisme, considéré par les nazis comme un art dégénéré.  Avec Guernica, Picasso nous plonge dans une scène d’horreur pour nous contraindre à prendre position

vers le ciel, d’où sont venues les bombes. Comme pour le cheval, elle rappelle une image traditionnelle: une « Pieta », c’est-à-dire la Vierge à l’enfant. Elle incarne le peuple qui souffre. Le taureau : Il symbolise l’Espagne, à travers la corrida. Il représente aussi le Minotaure, personnage-monstre très présent chez Picasso. C’est le seul personnage qui tourne la tête vers le spectateur. Il semble impassible devant le massacre. Picasso a dit : « Le taureau n’est pas le fascisme, mais il incarne

•Interprétation de l’œuvre Voici l'oeuvre d'une artiste (Liena Gieseke) qui a reconstitué Guernica en 3D pour nous permettre d'entrer dedans. Vidéo Le taureau Très présent dans l’œuvre de Picasso(Espagne, tauromachie). Symbole de cruauté, de force brute (corrida). Représente les nationalistes ? Une mère qui hurle avec son enfant dans les bras. Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. C’est aussi

algo de la plebe, una diversión popular, como se puede leer en las líneas 30 y 31: “el cine estuvo considerado como una diversión de feria, algo bastante vulgar, propio de la plebe”. Este arte, que no era considerado como tal, era comparable a las corridas, las ferias o el circo en España. Eran muchos prejuicios alrededor del cine como nos lo explica el autor con la reacción de su madre cuando decidió de llegar a ser un director de cine: “ella se llevo un gran disgusto y casi lloro como si le hubiera

sentiments, Don José commet ce qu'il avait prévu de faire en amenant Carmen dans cette « gorge solitaire », endroit reculé et parfait pour un meurtre, si désespéré soit il, dont l'issue est inéluctable. On peut remarquer que ce meurtre est assimilé à une corrida. La positon de Carmen, « immobile un poing sur la hanche »,son absence de peur face à la mort et ses provocations sont des métaphores au torero. Le jeu de regard est également très important «  Je crois encore voir son grand œil noir me regarder fixement