La Couleur Des Sentiments

coutumes, les goûts… - L’œuvre est-elle conforme à une réalité objective ou reflète t-elle les sentiments et la personnalité de l’artiste ? - La thématique : « à la conquête de la liberté » implique une prise de position de l’artiste, en quoi l’œuvre peut-elle être qualifiée d’engagée ? - Citez quelques éléments concrets qui expriment l’aspiration à la liberté (couleurs, formes, lumière, symboles, sons, etc…) - Quelle est la portée de l’œuvre dans l’évolution

matériellement utile de les apercevoir. Et la même ou nous la remarquons (comme lorsque nous distinguons un homme d’un autre homme), ce n’est pas l’individualité même que notre œil saisit, c'est-à-dire une harmonie tout à fait originale des formes et des couleurs, mais seulement un ou deux traits qui faciliterons la reconnaissance pratique. Enfin pour tout dire, nous ne voyons pas les choses même ; nous nous bornons, le plus souvent à lire des étiquettes collées sur elles. Cette tendance, issue du besoin

croix. Le fait que l’Eglise soit si présente s’explique par le fait qu’elle a joué un rôle prépondérant, en appelant à la résistance et en fournissant des prêtres prêts à prendre les armes. La scène se passe derrière une colline, ce qui donne un sentiment d’oppression et de malaise. L’exécution est en retrait et cachée des villageois, ce qui reflète l’injustice de cette fusillade. Les personnages : 1. Les soldats napoléoniens. Sur la droite de la toile se trouve les membres du peloton

laissant blessés + cadavres. 3ème vignette : Ambulance ramasse les blessés. Cadavres soldats et ceux cheveux 2nd plan : Homme même hauteur animal= déshumanise soldat. C) Couleurs A l'origine, noir+blc mais magazine d'histoire a demandé d'illustrer. Couleurs chaudes (jaune : herbe, marron : chevaux) s'opposent aux Couleurs froides (bleu uniforme – blanc visages, entraille cheval, tambour troué). Chaudes = nature car renaît : Champs moissonné repoussera l'année prochaine. Froides = mort à

‘’Rendre le ciel jaloux de ta vive couleur’’ Rose dans toute sa splendeur, son éclat : « vive couleur », vers 3 Champ lexical de la jeunesse : fleur, vive couleur, grâce, beauté, rose La jeunesse - moi de mai – comparaison avec des éléments de la nature La comparaison avec la rose montre une beauté éphémère. II) La poésie, un moyen de s’exprimer pour l’auteur a)L’auteur se soulage Il expresse ses sentiments de douleur, souffrance et nostalgie

une compagnie d’assurances engagé par son père et comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris) -> · Courtise sa cousine Elisa en 1862 : 1er amour (déjà mariée), étés passés à Lécluse chez sa cousine· En 1865, comprend le sérieux de ses sentiments envers elle – ne lui laisse plus aucun espoir · Fréquente des cafés littéraires parisiens, publie dans la revue “Le Parnasse contemporain”. À ce moment, il écrit les POEMES SATURNIENS (1866). · Bien

« jeunesse blafarde et sans couleur »; « caducité fardée », « peuple exhumé ». Les habitants semble mort-vivants, exténués par cette vie et fiat ressentir un mouvement de dégout de la part des lecteurs, « teinte presque infernale des figures parisiennes ». Paris est comparé à un enfer « tout fume, tout brule... ». Les parisiens sont décolorés, blêmit, bleuit et brunit (ligne 30). Balzac compare le teint des individus aux plâtres des maisons (ligne 34). Paris n'a pas de sentiments et tout est toléré, personne

dernier mais également l'évolution des couleurs dans les sociétés occidentales depuis le Néolithique jusqu'au Xxème siècle, en évoquant les bouleversements sociaux, politiques ou religieux, et parfois même économiques des siècles charniers de l'Histoire à travers celle des couleurs et de leurs usages. L'auteur fournit un travail complet dans la maîtrise des époques, des évènements, mais également dans les parallèles constants établis entre le bleu et les autres couleurs, ce qui sous-entend qu'ici le travail

genres. Ainsi, la définition même de la poésie varie selon les auteurs, les époques, les cultures et croyances. La poésie sert à exprimer les sentiments personnels. L’auteur peut ressentir de la colère, de la joie, de la tristesse ou de la peur. Chaque personne ressent des sentiments différents et pour cette raison, chaque poème est différent. Ce sentiment est personnel certes, mais les lecteurs du poème peuvent aimer ce dernier non seulement pour son caractère mais parce qu’en lisant le poème, ils

le romantisme 1. Le contexte En Angleterre et en Allemagne se développe, à la fin du XVIIIe siècle, un mouvement de sensibilité représenté par des auteurs tels que l’allemand Goethe et l’anglais Byron qui font la part belle à l’expression des sentiments d’un « moi » fort sensible. En France on compte parmi les précurseurs du romantisme (que l’on appelle parfois « préromantiques ») Rousseau qui, dans Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778), emploie pour la première fois l’adjectif « romantique