La Cravate Et La Montre

esprit en éveil. Enfin, le rythme de la prose nous montre par endroit la monotonie. Albert Camus, souhaite garder un rythme fluide. Des phrases courtes, simple et explicites compose l’extrait, cependant à deux reprises, l’auteur fait des phrases longues, faites de juxtapositions. La première concerne tous les biens qu’il possédait à son entrée en prison. « Quand je suis entré en prison, on m’a pris ma ceinture, mes cordons de souliers, ma cravate et tout ce que je portais dans mes poches, mes cigarettes

l’Empire sur la garde Robe masculine.   Sous l'Empire, la silhouette masculine est massive. élégante . Une redingote noire sur les épaules, une cravate blanche nouée au cou, des escarpins sans talons aux pieds, haut-de-forme ou le bicorne. Sous l'Empire, la silhouette masculine est massive. élégante . Une redingote noire sur les épaules, une cravate blanche nouée au cou, des escarpins sans talons aux pieds, haut-de-forme ou le bicorne. Deux influences... Anglaise Adoption de la redingote

la scène (le passage des rhinocéros). -Ensuite, la présence du carillon annonce l’ouverture de la pièce. Il cesse dès le levé du rideau : quelque chose va se passer dans un décor banal. -Il fait chaud : « il fait tellement chaud, tellement sec » montre que l’ambiance risque d’être lourde, voire étouffante. -Le plateau vide crée de l’attente et de l’étonnement : d’entrée de jeu, on s’attend à une pièce différente des pièces classiques (« L’Epicière disparaît, plateau vide quelques secondes « ).

essaye d’amorcer dialogue= dialogue maladroit * Sobriété du style = phrases courtes, simples, brèves souvent pas coordonnées mais juxtaposées (parataxe) = impression de rapport assez simple au monde. Pas de liens. Récit rapporté de manière à montrer l’esprit du personnage pas d’arrangements. * Un être indifférent aux codes de la société = langage assez enfantin= révèle comme 1 forme d’honnêteté (il dit ce qu’il pense, pas de filtre), mots brutes « Maman était morte » vérité crue peu fréquente

1.Je suis dans une Ecole d'hôtesses dans laquelle il faut porter l'uniforme bleu, (jupe serrée aux genoux et veste à boutons dorés pour les filles et pantalon noir, veste bleue à boutons dorés et cravate jaune et vert pour les garcons) deux jours par semaine, et les autres jours jeans et baskets sont interdits, jupes décentes obligatoires pour les filles. Du moment que les jupes ne sont pas des mini-jupes (l'uniforme n'est pas fait pour exciter les pervers!! rien ne sert d'échanger les strings contre

en métal, le collier de l'ordre de la Libération et le cordon avec la plaque de la Légion d'honneur. Le président s'appuie sur deux livres, la Constitution de la Vème République (1958) et l'Histoire de l'armée française. A travers ce portrait, il montre qu'il est le père et le garant de la Constitution. Il rappelle aussi son passé de militaire (général) qui a participé à la Libération de la France. Le président Georges Pompidou (1969-1974) pose aussi dans la bibliothèque et arbore ses décorations

au mariage comme à l'enterrement de Maman Coupeau; Bibi-la-Grillade est « boutonné jusqu'au cou, sans gilet » et laissait passer « seulement un coin de sa cravate roulée en corde ». Maman Coupeau tourne elle aussi au ridicule avec son châle vert, son bonnet noir et ses rubans rouges. Ainsi que Madame Fauconnier qui se montre avec « une cravate rose et un bonnet très chargé de fleurs ». Zola a un jour observé les ouvriers et les ouvrières rentrant du travail et a noté leurs tenues : les femmes portent

Introduction…………………………………………………page 2 I) Contexte historique…………………………………. page 3 II) Œuvres personnelles………………………………. page 7 1) Verre d’absinthe…………………………………..page 7 2) Roue de bicyclette………………………………..page 11 3) Ghost Drum Set…………………………………….page 14 4) Les montres molles……………………………….page 18 5) La scène du globe………………………………….page 21 III) Cours de Français…………………………………….page 25 1) Le calligramme……………………………………..page 25 2) Le proême…………………………………………….page 30 IV) Cours de Musique…………………………………… page

initiateurs mais très vite, des personnalités venus d'autres domaines artistiques se reconnurent dans ce style révolutionnaire voulant casser les habitudes et aller au-delà de ce qui se faisait à cette époque. Après la première guerre mondiale ayant montré l'attrocité et l'ignominie de l'homme, les surréalistes ne veulent plus respecter les règles établies dans la société par ces mêmes personnes. Il vont donc chercher une alternative, créer leur propre monde. André Breton, surnommé le « Pape du surréalisme »

Les cravates * Messieurs Lenoir, Lebrun et Levert mangeaient ensemble au restaurant. Tous portaient des cravates de couleur. L'un portait une cravate noire, l' autre portait une cravate brune et le dernier portait une cravate verte. Soudain l'homme portant la cravate verte s'écria : "Réalisez -vous que chacun porte une cravate de la même couleur que nos noms mais personne ne porte une cravate semblable à son nom." "C'est curieux", s`exclama monsieur Lenoir. Quelle couleur de cravate portait