La Cravate Et La Montre

tout au long de celui-ci. Le personnage évolue dans un espace « clair-obscur » où il apparaît comme une ombre, « une silhouette et où son corps n’est qu’une ligne brune et aussi dont la cravate est noire ». Ses yeux brune sont comparés à de la nacre dont « les reflets changent à la lueur des bougies » ; ce qui montre que le lieu est obscur et permet à peine de percevoir les yeux du personnage. Cela renforce l’obscurité de la scène, ainsi que le contraste entre la couleur noire du chapeau et la blancheur

« Il n'y a pas d'homme cultivé, mais que des hommes qui se cultivent » nous dit Ferdinand Foche. Cette citation montre que la culture s'acquière avec le temps en grandissant et surtout en se socialisant. La socialisation est un processus de transmission et d’acquisition des connaissances, des normes, des valeurs propre au groupe dans lequel l’individu va être amené à vivre, elle engendre un habitus de classe. Un habitus définit une manière d'être, une allure générale, une tenue, une disposition d'esprit

siècle. Dans le texte C, « cravate » et « veston » portés par Bérenger et Jean situe la pièce dans le moderne vers le XXème siècle. On peut déduire qu’en absence de costumes, les spectateurs ne peuvent se faire une idée du siècle auquel l’action se situe. Les costumes donnent également des informations sur les personnages. Ils nous informent sur le statut social des personnages. Dans le texte B, on remarque qu’Estragon ne se déchausse pas tous les jours cela montre qu’il appartient à une classe

vêtements. Par ailleurs, nous prêtons davantage attention à l’apparence des autres. A mon avis, cette vague nous vient également des Etats-Unis. Prenez Condoleezza Rice : elle s’habille très bien et soigne particulièrement son style vestimentaire. Elle montre que notre perception d’autrui n’est pas uniquement influencée par ce qu’une personne dit, mais également par ce qu’elle dégage à travers ses vêtements, sa manière de se présenter et sa façon de s’exprimer via son apparence. Observez-vous également

totale désinvolte face à son aspect physique est d’autant plus mise en évidence par Jean qui ne cesse de le lui reprocher. Il commence dès sa première réplique qui ouvre la pièce « vous êtes dans un triste état » puis avec à la ligne 10 « et votre cravate, où est-elle, » ; « Vous êtes tout décoiffé » ligne 15 ; « vous ne vous êtes pas rasé » ligne 19 ; « vos vêtements sont tout chiffonnés [...] quel désordre ! » lignes 29 à 32. Seule la didascalie à la ligne 30 « Bérenger essaye de cacher ses pieds

attention à son apparence physique et vestimentaire «  Vous êtes soigneux vous » (l.30) jusqu’ à même s’ occuper de Bérenger qui lui propose par exemple une cravate « Tenez mettez celle-ci  » (l.14) , contrairement à Bérenger, qui lui ne se soigne pas et dont son physique et sa tenue lui sont totalement indifférent, il n’ a pas de cravate, ses vêtements sont chiffonnés, sa chemise est sale, ses souliers ne sont pas cirés «Vous êtes tout décoiffé » (l.16) « Votre chemise est d’ une saleté repoussante

fin de la pièce, le doute plane autour de l’identité de l’inconnu. Cette identité paraît insaisissable, Freud, ce neurologue et psychanalyste qui aime tant la certitude et l’exactitude en est déboussolé. L’inconnu ne lui facilite pas la tâche, comme montré dans l’extrait. Il se dérobe continuellement, dès que Freud le cerne comme étant un homme, il lui fait part de savoirs et d’anecdotes qu’aucun homme sur cette terre ne saurait connaître. Ou bien, il lui apporte un certain doute, perceptible lors de

Acteurs: M.Saito, Amelie  Lieu: Une salle gigantesque avec beaucoup de fenetres et des grands murs gris.   Decor: Beaucoup de cabines pour travailler, des gros et des vieux ordinateurs sur les tables  Costumes: M.Saito porte un pantalons noir, une cravate et une chemise en col blanc à  manches longues. Amelie porte une chemise blanche, un gilet noir et un pantalon gris.   Accessoires: Des piles de papier et des verres de the ou du cafe.  Lumieres: Beaucoup de lumière provenant des fenêtres.  Son: 

l’extrême : Jean la didascalie indique : »Jean est très soigneusement vétu : costume marron, cravate rouge, faux col , chapeau marron …il a des souliers jaunes bien cirés » le dialogue nous apprend qu’il y a un peigne, une glace nue cravate supplémentaire dans ses poches mais pas de brosse car elle les déformerait - l’autre, Berenger, est négligeant : il a perdu sa cravate sans s’en apercevoir « qu’est ce que j’ai bien pu en faire ? », il ‘est pas coiffé « vous êtes tout

pencher, essentiellement, sur les produits commercialisés en France. Voici, pêle-mêle ce que nous avons trouvé : Sacs à main (maroquinerie) Fourrures Prêt à porter féminin Prêt à porter masculin Chaussures Montres Parfum → Fan di Fendi Lunettes Cravates Foulards/ Echarpes Accessoires de la maison 2) Qu’est ce qu’une matrice BCG ? La matrice BCG (mise en place par le Boston Consulting Group) est un outil du marketing stratégique. On l’utilise dans le cas d’entreprise