La Crise Viticole De 1907

spectaculaires : défrichements par « grignotage » des communaux, cultures dérobées sur la jachère, intensification du travail agricole. L'économie agricole reste fragile. L'agriculture est très vulnérable aux accidents conjoncturels. À l'origine de la crise de subsistance, on trouve un problème climatique, hiver rigoureux, fortes gelées de printemps ou été «  pourri » qui compromet la récolte de céréales. La consommation paysanne subit de plein fouet les variations de la production, encore amplifiées

particulière de travailleurs, en situation de forte dépendance et de précarité, mais non selon un rapport salarial, a été tentée de s'engager (voire s'est engagée) à la C.G.T. : ce sont les métayers, notamment dans le Bourbonnais autour des années 1906-1907, dans l'Adour et le Limousin au début des années 1920. Les succès syndicaux obtenus ont été de courte durée mais cette mobilisation a permis de souligner un problème majeur qui ne trouvera de réponse qu'avec le statut du fermage et du métayage en 1945-1946

prélèvement seigneurial. Lente amélioration de la qualité de vie quand la pression démo se fait moins forte. Fin second Empire=tournant : longue dépression agri → terre moins attractive-influence du monde urbain sur la paysannerie. Guerres et crise des 30s → prise de conscience, de la part des paysans, de l'écart qui les sépare du reste de la soc. 1950-70 : écart comblé, spectaculaire mutation qui en vient à remettre en cause son existence même. I. La paysannerie de l'Ancien Régime à la

Belle Epoque : 1899 - 1914 Terme de la Belle Epoque : ce surnom est attribué une fois l’époque en question révolue. Elle est mythifiée après coup,à cause de la Grande Guerre de 14-18. Il y a un contraste frappant entre cet âge d’or et la période de crise. En 1900, le problème de la guerre ne se posait pas encore. Le régime politique paraissait solide à la majorité des Français. Avant 1914, la société conservcait encore ses équilibres fondamentaux malgré des transformations en profondeur. L’économie

du reste du Languedoc, la bourgeoisie (protestante) nîmoise réinvestit les capitaux du textile dans le vignoble. Cette réallocation est accelérée par la crise du phylloxera. La culture de la vigne est aussi facilitée par la construction d'infrastructures de transport qui permettent une spécialisation de l'agriculture vers la monoculture viticole : le canal du Midi (dès le xviie siècle), sa liaison au Rhône par Sète (xixe) et enfin, l'apparition du chemin de fer à Nîmes dès 1839(développé rapidement

Leurs effets seront de longue portée puisqu'ils marqueront durablement – parfois encore aujourd'hui - la vie politique et la société françaises. Le fait que le régime soit parvenu à surmonter sa première grande crise, la crise boulangiste, témoigne de la réussite de cette politique. Après la crise boulangiste, le régime trouve un équilibre. Une nouvelle génération politique émerge. Ouverte aux ralliements à la République venus de la droite elle est conservatrice sur le plan social I. L'installation

- le poème à commenter : Le Cageot ………………………………………………. 39 VIII. - Henri MICHAUX (1899-1984) ……………………………………………….. 40 - le poème à commenter : Dans la Nuit (Lointain intérieur) ……………………… 41 IX. - René CHAR (1907-1988) ……………………………………………………….. 42 - le poème à commenter : PLACE ! ………………………………………………. 43 X. – Diversité des expériences poétiques : ……………………………………………… 43 1. René-Guy Cadou (1920-1951) ………………………………………………

leur droit et leur devoir de soumettre des peuples qu'il jugent mineurs, incapables de se diriger eux-mêmes, et par conséquent, l'appropriation de territoires extra-européens, c'est à dire la COLONISATION. Rudyard Kipling, prix Nobel de littérature en 1907, évoque en 1899, dans un poème, "le fardeau de l'homme blanc" et se fait le chantre de l'impérialisme britannique, particulièrement en Inde. Notons que le racisme colonial qui se développe alors est le fruit de l’esclavage (15e-19e s.), car jusque

dite par Lamartine « Français nulle part, contre-révolutionnaire partout ». Guizot refuse tout abaissement du cens (« réforme électorale ») et l’inéligibilité des fonctionnaires (« réforme parlementaire »). LA REVOLUTION DE FEVRIER 1848. La crise de 1846 renforce la misère du peuple. De mai 1847 à février 1848, des « banquets » où sont dénoncées les insuffisances de la politique de Guizot sont organisés. Le 22 février 1848, un banquet parisien est interdit ce qui déclenche une manifestation

territoire national - le comte de Chambord publie un manifeste affirmant sa fidélité au drapeau blanc (cf lettre de 1873, « il a flotté sur mon berceau, je veux qu’il ombrage ma tombe ») - La réforme intellectuelle et morale de la France, Renan (« crise allemande de la pensée française », titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire