La Crucifixion Blanche

l'extérieur. |   | Dans le panneau de droite une femme, transformée en torche vivante, implore encore un secours impossible, prisonnière dans sa maison, de l'incendie qui la dévore et l'engloutit. La claustration est suggérée par la petite fenêtre blanche inaccessible, blanchie par la lumière du jour ou de l'incendie, rendant toute fuite vaine; les flammes sont dehors et dedans. La poutre brisée indique l'effondrement du toit. Les flammes sont des pointes triangulaires de poignard, menaçantes. La tête

crâne scalpé du soldat. Le tout devant les journaux Allemands faisant référence au conflit. Les couleurs La pièce est plutôt sombre. Sur le sol, le marron va en se dégradant et finit par se confondre dans le noir. Les cartes à l’inverse sont blanches, très claires. Les couleurs assez claires des personnages les mettent en valeur. Cette technique est celle du clair obscur déjà utilisé par Caravage ou La Tour par exemple... Le Nouveau-né, de Georges de La Tour. Paradoxe, la scène est éclairée

progressivement place dans le sujet alors qu’il est initialement contenu dans les objets. On ne peut nier que dans l’œuvre de Chrétien l’aspect religieux soit présent. Le pont est une épée ce qui nous est dit au vers 3022 : « d’une espee forbie et blanche » et par la personnification présente dans le titre même du passage « le Pont de l’Epée », or, l’épée, par sa forme même, est une figure de la Croix, ce que souligne peut-être l’emploi du verbe « charpanter » au vers 3045. En outre, les compagnons

l’ouest du pôle nord, d’une durée de103 millions d’années. L’Inde actuelle garde la trace de ce passé hyperboréen avec les Aryas et Sémites, Germains et Slaves. Elle est le raccourci de l’humanité.   Les hommes, de ces deux premières races blanches, n’étaient pas physiques mais constitués de matière plus subtile et transparente. Leurs terres ont toujours été regardées comme la terre, où l’homme est né, non à la civilisation, mais à la vie. L’individu, tel qu’il est aujourd’hui, est né, il y

majeure de la Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD Dans le retable d'Issenheim (détails reproduits ci-contre) il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. Ainsi, en utilisant

de la nature. La croix de Cimabue. Peinte en 1265. conservée dans l'église Saint Dominique à Arezzo. Peinture sur bois. 3,36x2,67. Œuvre de jeunesse de Cimabue. Cette croix appartient à une grande tradition de croix en Toscane. Y figure une crucifixion. Christ mort nimbé, tête penchée du côté droit. Nu et recouvert du périzonium rouge. Il a les pieds et les mains liés. Au dessus du Christ, dans un médaillon, représentation du Christ vivant bénissant la scène. Dans les extrémités du bras de la

niveau de l'ellipse centrale rappelant l'importance du personnage. La lumière est artificielle, elle provient de face. - La couleur Les contrastes sont clair obscur au niveau du personnage qui est très sombre et des l'ellipse blanche. Il y a un contraste de qualité au niveau du rouge très présent dans l’œuvre. Le rouge révèle toute la symbolique de cette toile. - Le volume et l'espace Le décor est lugubre, et très représentatif des œuvres de Bacon en général sur

les formes s’entrechoquent dans un désordre exacerbé qui vient renforcer la violence subie par le personnage principal. Le corps de celui-ci forme une croix occupant une très grande partie de l’espace. Il s’agit encore une fois, d’une allusion à crucifixion du Christ. La descente de croix (1918), de la série « Visions » Analyse d’œuvres Nécessaire à couture  Fabrication artisanale en feutre. Provenance : Allemagne. Les liens entre l’arrière et le front passent par les croyances partagées

collection Angela Rosengart La Guerre, 1964 Job, 1975 Le Mythe d'Orphée, 1977 Couple sur Saint-Paul de Vence L'Animosité des hommes à la recherche de pouvoir Le Cirque, 1927 Galerie nationale de Prague La Crucifixion blanche, 1938 Daphnis et Chloé Les Mariés de la tour Eiffel Le Nu rouge Le Saint voiturier Transhumance Vues de Paris La Mariée à l'éventail Au-dessus de la ville, huile sur toile, 141 x 198 cm, 1914-1918, Galerie

pendant la marche. Attitude des jambes dans la marche Contracture des jambes Le stigmate sur le pied Spécimens d'écriture Reproduction d'un grand tableau en couleurs, la Vierge couronnée Extase avec attitude de crucifixion debout Physionomie pendant l'extase avec idée de crucifixion ce qui détermine le pli du front. Les signes que l'on voit peu distinctement sur la poitrine représentent une croix et les lettres I M, ce sont les cicatrices de brûlures que la malade s'est faites ellemême. Figure