La Culture Est Elle Une Négation De La Nature

et culturel ? «L'homme est-il un être d'artifices ?» Nous verrons tout d’abord la manière dont la culture nous conditionne, avant de montrer que nous sommes aussi produits d’un dépassement de ce conditionnement initial ; enfin, si nous sommes des êtres en devenir, peut-on nous enfermer dans le cadre étroit d’un déterminisme culturel ? 1/ Nous sommes des êtres artificiels, définis par notre culture, dans la mesure où notre être n’apparaît qu’au sein d’une société qui nous forme et fait de nous des

sciences mathématiques de l’approximation, etc. Le mathématicien s’impose des règles logiques et des axiomes et explore les conséquences de ce qu’il s’est imposé, il découvre ainsi les limites de la rationalité humaine. L’objet des sciences de la nature a une matérialité. Questionner cet objet par l’entremise d’un dispositif expérimental introduit une médiation matérielle qui rend à jamais impossible une saisie directe. Le dispositif introduit une médiation matérielle qui rend à jamais impossible

réflexivité, savoir qu’on fait quelque chose quand on le fait. Conscience réfléchie : seuil maximal de réflexivité : savoir ce qu’on fait quand on le fait. Singulier : un seul ¹ Particulier : certains ¹ Universel : Tous Machine : Animal et Nature pourvu de rationalité très performante, d’ordre et d’organisation. Représentation : faculté de se rendre présent ce qui est absent (ce qui n’est plus ou pas encore). Intériorité : Espace intérieur ou entre-soi crée par l’activité psychique qui

désirent ce qu'elles aiment, les hommes aiment ce qu'ils désirent." - Sacha Guitry « La civilisation, c’est la culture de tout ce que le christianisme appelle vice, frivolité, plaisirs, jeux, affaires et choses temporelles, biens de ce monde, etc. » - Remy de Gourmont « Le coup d’état du christianisme, c’est d’avoir installé la fatalité dans l’homme. De l’avoir fondée sur notre nature. » - André Malraux « La perfection de Bouddha est plus belle que celle du christianisme parce qu’elle est plus

INTRODUCTION On a coutume de définir l'opinion comme une croyance peu fiable, incertaine, variable selon les individus, les classes sociales et les cultures. Elles se valent toutes, elles sont toutes équivalentes parce qu'elles sont toutes incertaines. DEVELOPPEMENT Prise de position Dieu, les lois, mon avis. Argument I. L'équivalence des opinions A. La diversité des opinions un premier constat s'impose : diverses, variables et opposées. Pascal, dans les Pensées : « Vérité au delà des

l’homme/Affirmation de l’unité de l’espèce/Irréductibilité de l’Homme : a) Présence des trois règnes : - Similitudes entre les trois - Rapprochement entres les trois b) La thèse de l’auteur martelée : - Parallélisme rompu par la négation absolue : affirme sa thèse et nie toute thèse adverse -Adjectif insistant sur l’unité de l’espèce : fixité, solidité - SS -> « impuissant » ==> SS-> « écrasés » c) Un aspect généralisant : (tps, pluriels …) - Présent de vérité

Le mensonge n’est pas la négation d’une vérité mais l’expression de réalitées propres à l'homme et à autrui. Le mensonge n’existe que parce qu’il y a des gens qui sont prêts à croire au mensonge, à transformer ce qui est mensonge en réalité. Pour l’enfant qui a fait une bêtise, la peur d’être puni l'ammène à mentir. Il exprime alors un aveu indirect de sa faute et la peur des conséquences de celle-ci. Le parent lui va prendre le mensonge au premier degré comme une négation de la vérité et va donc

contre nature ? Du Néolithique jusqu’à nos jours, les sociétés humaines n’ont de cesse d’intensifier la pression sur leur environnement afin d’assurer leur développement. On parle alors de « révolution Néolithique » car elle a constitué selon l’anthropologue Claude Lévi- Strauss une rupture dans l’histoire humaine en raison de la transformation déterminante du mode de subsistance. Le rapport des hommes à leur environnement change, la domestication et la destruction de la nature devenant

La question de l’homme est posée depuis le XVIe siècle dans les genres de l’argumentation. La culture et la barbarie sont opposées pour montrer les limites de la civilisation. Michel Eyquem de Montaigne, écrivain français (1533-1592) épris d’humanisme, est le premier à lancer l’essai comme genre de l’argumentation. Il étudie le droit, les textes anciens et entreprend l’œuvre de sa vie Les Essais où il réfléchit sur la condition humaine, comme dans le chapitre 31 intitulé Des cannibales. Montaigne

riche en informations et pauvre en contenus humains et le langage du "sens" riche en contenus humains et pauvre en significations. Le langage manque la négation syntaxique "ne…pas", comme sur les signalisations routières "no parking" ou "défense de stationner" formées par l’image d’une voiture stationnée avec une barre oblique pour signifier la négation "ne…pas". Dans la communication humaine, c'est le contexte du langage qui donne un sens au texte de la langue, pour une relation en cours. La bande