La Cybernétique

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de la connaissance dans le sens de processus et produit. Le cognitivisme s’est développé en s’opposant au béhaviorisme tout en s’appuyant sur une approche expérimentale, et en bénéficiant des réflexions issues de la théorie des systèmes, de la cybernétique, de l’informatique, de la linguistique, de la neurologie et de la philosophie du fonctionnement mental, disciplines qui lui ont conféré un enrichissement notable. Le cognitivisme a pour objet d’étude la connaissance, la mémoire, la perception

relationnelle. GENEALOGIE DES THEORIES MODERNES DE LA COMMUNICATION *Vision mécanistes : La communication repose largement sur les travaux des cybernéticiens, au premier rang desquels : Norbert Wiener. Mathématicien d’origine, Wiener définissait la cybernétique comme étant « la science du contrôle et des communications ». Les travaux de l’époque sont généralement fortement influencés par une vision de la communication comme un flux d’informations entre un émetteur et un récepteur.

par des anthropologues ,des psychiatres et des psychologues dont les plus importants sont G. Bateson, J.H Weakland, Birdwistell,D. DJackson,J.Haley. Ces travaux ont été menés à partir des principes élaborés par l’étude des systèmes et de la cybernétique aux USA depuis la deuxième guerre mondiale. De façon progressive les théoriciens et chercheurs vont de 1940 à1958 développer des concepts clefs en thérapie systémique comme : La théorie des systèmes ,la circularité, le « feed-back » ou rétroaction

origines des SIC aux Etats-Unis : facteurs d'émergence et processus d'institutionnalisation 2. La création du CECMAS, une étape décisive pour la recherche en France 3. De la nécessité de dépasser les paradigmes dominants (théorie des effets, cybernétique, etc.) II. Repenser le pouvoir de la communication 1. La fabrique de l'information. Du fonctionnalisme naïf aux théories critiques 2. La culture de masse entre idéologie et hégémonie 3. Les Cultural Studies et le modèle « Encodage/décodage

contrôle de gestion sociale est le résultat de la combinaison entre le contrôle de gestion économique et la gestion sociale. Pour ses fondements théoriques, on peut se référer à deux modèles fondateurs : le contrôle cybernétique et le contrôle par influence. 1.1.1. Le contrôle cybernétique L’apport du modèle de contrôle cybernétique1 est très important. En effet, il permet de présenter un modèle de contrôle par feed-back dont le processus consiste essentiellement à mesurer l’état atteint, à comparer

années 1950, différents chercheurs de l’Université américaine de Palo Alto, dont notamment Gregory BATESON (1904-1980) vont reprendre les théories de L. von Bertalanffy et les articuler avec les principes de la cybernétique. Ils proposent ainsi une théorie systémique dite « cybernétique de première ordre ». Au sein de cette théorie, un sujet n’est pas considéré comme un individu isolé mais comme un membre d’un système dont les interactions provoquent ou maintiennent chez lui l’émergence d’une

par cette formule : « La guerre est la voix de l’arme employée de peuple à peuple, de prince à prince, pour vider un différent » (Trévoux) ⇒ « Voix de l’arme » -> Si on parle de guerre, on parle d’armes : violence extrême et organisé. Guerre cybernétique ne devrait donc pas rentrer dans cette définition ⇒ « Peuple à peuple » -> « Guerre » des gangs n’est donc pas une guerre. ⇒ « vider un différend » : La guerre n’a donc pas une visée destructrice. Elle a pour objectif de régler un contentieux

l’essaie partout. Dire que le monde est l’objet de nos opérations, c’est faire comme si tout ce qui est n’a jamais été que pour entrer au laboratoire. Cette pensée opératoire = artificialisme absolu, qu’on retrouve par exemple dans l’idéologie cybernétique. Ce genre de pensée prend l’homme et l’histoire en charge, l’homme devint manipulandum (gérondif latin qui veut à la fois dire sujet et objet de manipulation) = « cauchemar dont rien ne saurait le réveiller ». c- La nécessité pour la science

systémique est ainsi en relation avec des courants importants de la recherche scientifique dans des domaines variés tels que l’écologie, le structuralisme linguistique et la sociologie. Elle se réfère notamment à la cybernétique, sciences des automatismes due à Norbert Wienner (2). La cybernétique met l’accent sur la rétroaction (ou feed-back) qui permet la régulation chez l’animal ou dans la machine. Ce modèle est très utilisé en entreprise, par exemple pour le contrôle d’un niveau donnée de qualité, la