La Danaide

ne peut être pleinement assouvit car quand un est réalisé tout de suite après un autre se fait ressentir ; le désir est donc éphémère et inassouvissable. D'où l'explication de Socrate à Calliclès en s'appuyant sur le mythes du tonneau des Danaïdes, les Danaïdes ont été punies par les dieux à remplir pour l'éternité des tonneaux percés. L'image de ces tonneaux percés serait comparable à la satisfaction du désir : impossible à accomplir. On ne peut combler le vide du tonneau percé, comme on ne peut

Actions (bonnes / mauvaises) + offense qui ? Mort + Supplice Où ? Enfer ? Aloades Poséidon + Iphimédie Géants : Otos et Ephialthès Empiler Mont Pélion sur Ossa sur Olympe + emprisonnement Arès Attachés piliers, serpents + cris de Chouette Tartare Danaides Roi Danaos (+ plusieurs femmes) 50 humaines Tuer les maris ( histoire entre le père des jeunes femmes et des jeunes hommes) Verser de l'eau dans une ''cruche'' ( tonneau) percée Tartare Ixion Phlégias ? Ou Antion et Périmèle Lapithes, Prince N'a

la vision d’un fleuve tout entier métamorphosé en torrent de larmes, certes, mais surtout devenu l’allégorie même de la peine !. D’autre part, il enrichit l’image. Ainsi dans la phrase : il s’écoule et ne tarit pas, il fait allusion au mythe des Danaïdes. En effet, celles-ci étaient des jeunes femmes condamnées à verser éternellement de l’eau dans un tonneau sans fond pour expier le meurtre de leurs époux. Elles amplifient donc encore plus la tristesse du poète, et peut-être sa culpabilité, tout

« accomplir tous ses désirs ». Accomplir tous ses désirs serait les satisfaire sans exception, sans relâche, au fur et à mesure qu'ils apparaissent. Or ne s'agit-il pas là d'un processus sans fin ? Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnée à remplir d'eau un tonneau percé. De la même façon que le tonneau ne sera jamais rempli, le désir n'est jamais satisfait. À peine accompli, il renaît car de la satisfaction passée naît le regret qui est nouveau

est bon mais bon parce qu’il est désirable. Le désir apparait alors comme producteur de valeurs. Satisfaire tous nos désirs contribue-t-il à notre bonheur ou vaut-il mieux les limiter ? Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnées à remplir d’eau un tonneau percé. De la même façon que le tonneau ne sera jamais rempli, le désir n’est jamais satisfait. A peine accompli, un désir renait car de la jouissance passée nait le regret de ne plus

passion alors que vouloir c’est agir: on peut donc désirer ce que l’on ne veut pas. 4) L’infinité du désir Le désir est impossible à satisfaire, donc désirer c’est désirer l’impossible. Le désir ne s’éteint jamais: il est comparable au supplice des danaïdes condamnées à remplir un puit sans fond. Certains désirs peuvent être réalisés mais LE désir ne peut être assouvit. Le désir mimétique: désirer ce que l’autre désir. Ce qui est désirable est ce qui est désiré: a pour effet de multiplier les désirs

manque. Mais il y a un paradoxe c’est qu’une fois que notre désir est rassasié on a toujours un nouveau désir qui vient c’est la mécanique du désir par exemple Don Juan n’est jamais satisfait. Nous pouvons aussi prendre comme exemple les tonneaux des danaïdes. De plus pour Schopenhauer si nous n’avons plus rien a désiré on s’ennuie donc c’est la souffrance de désirer a nouveau qui prend le dessus. Ensuite pour certains philosophes le bonheur est a porté de main il vient de nous du contrôle sur nos

que soit la forme sous laquelle elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience ; or, sans repos, aucun véritable bonheur n'est possible. Ainsi le sujet du vouloir ressemble-t-il à Ixion attaché à une roue qui tourne sans cesse, aux Danaïdes puisant toujours pour emplir leur tonneau, à Tantale éternellement altéré.

enseigne la composition et le présente à Metastase et Gluck. Gassmann est un important personnage viennois et c'est grâce à lui que Salieri se prépare un avenir prestigieux. Il profite aussi du soutien important de Gluck qui n'hésite pas à proposer Les Danaïdes sous son propre nom à l'Académie de Musique de Paris, avant de révéler le nom du compositeur. À la mort de Gassmann en 1774, il est nommé compositeur de la cour et directeur de l'opéra italien, puis en 1788, Maître de chapelle de l'empereur. Il

apparaît raisonnable de vouloir se libérer d’un désir, car celui-ci constitue un obstacle au bonheur. Mais le désir peut-il vraiment être assouvi ? Ou est-il au contraire insatiable ? Platon, lui, compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnées à remplir d’eau un tonneau percé. Donc, tant que le tonneau ne sera pas rempli, le désir ne sera pas satisfait. C’est-à-dire, que le désir est insatiable. Donc accomplir ses désirs ne peut pas conduire au bonheur