La Danseuse Banville

pornographe (1958) La femme d'Hector (1958) Le cocu (1958) Bonhomme (1958)n Comme une soeur (1958) Les funérailles d’antan (1960) Le Père Noël et la petite fille (1960)n Le bistrot (1960) Embrasse-les tous (1960) Le verger du roi Louis (Théodore de Banville) (1960)a Pénélope (1960)n L’orage (1960) Le mécréant (1960) Le temps passé (1961)n La fille à cent sous (1961) La traîtresse (1961) Tonton Nestor (1961) La ballade des cimetières (1961) L’enterrement de Verlaine (Paul Fort) (1961)a Germaine Tourangelle

1874, Gustave Flaubert, qui passait alors ses hivers à Paris, l’introduisit dans les principaux salons, dont celui de la princesse Mathilde, le mit en relations aves des écrivains en vue tels que Hérédia, Bergerat, Huysmans, Zola, Daudet, Alexis, Banville, Catulle Mendès, Mirbeau, Edmond de Goncourt, Tourguenieff, lui fit connaître Charpentier, son propre éditeur. Chez Zola, il rencontra Cézanne, Duranty, Taine, Renan, Maxime Du Camp et Maurice Sand. Il n’avait pas atteint vingt-cinq ans que, déjà

peut-être encore dans votre mémoire…) 1884 Les Poèmes tragiques : Le Temps, ’Étendue et le Nombre / Sont tombés du noir firmament / Dans la mer immobile et sombre... Banville, le ciseleur de saison Autre parnassien peu connu : Théodore de Banville (1823-1891) aux charmants poèmes qui visent moins la profondeur que la rime parfaite. Banville est un optimiste qui cisèle la simplicité en s’émerveillant de tout, sans grande complication - sur les saisons, par exemple : Sois le bienvenu, rouge Automne, /

encore dans votre mémoire…) 1884 Les Poèmes tragiques : Le Temps, ’Étendue et le Nombre / Sont tombés du noir firmament / Dans la mer immobile et sombre... Banville, le ciseleur de saison Autre parnassien peu connu : Théodore de Banville (1823-1891) aux charmants poèmes qui visent moins la profondeur que la rime parfaite. Banville est un optimiste qui cisèle la simplicité en s’émerveillant de tout, sans grande complication - sur les saisons, par exemple : Sois le bienvenu, rouge Automne

qui maintenant devient moins resserré, des palmiers de 50 pieds de haut au moins et des montagnes de sable qui, au soleil, semblent être de poudre d’or ». En ville à Assouan : « Pas tout à fait sur le bord du Nil, il faut monter ». Spectacle de la danseuse Azizeh. Dimanche 3 mars 1850 Lundi 4 mars 1850 Mardi 5 mars 1850 Mercredi 6 mars 1850 Jeudi 7 mars 1850 Vendredi 8 mars 1850 Samedi 9 mars 1850 Dimanche 10 mars 1850 46 Lundi 11 mars 1850 Mardi 12 mars 1850 Mercredi 13 mars

Leconte de Lisle (dont des vers furent cités [I, page 903], dont furent mentionnés ‘’Baghavat’’, ‘’Le lévrier de Magnus’, ‘’Les Érinnyes’’, ‘’Hymnes orphiques’’ [II, page 840]), Heredia (‘’Les conquérants’’), Baudelaire (‘’Les fleurs du mal’’), Banville (‘’Les fourberies de Nérine’’ [III, page 144]), Coppée, Zola, Daudet (‘’Tartarin de Tarascon’’), Loti (‘’L’île du rêve’’, ‘’Pécheurs d’Islande’’), Verne, Emerson, Stevenson, Fromentin (dont la Madeleine de son roman, ‘’Dominique’’, serait, selon

quatrain d’Erythréa (dont le premier état est le sonnet A madame Aguado)  nous propose le spectacle d’une gracieuse et sculpturale bayadère noire, à la fois Koré et Colonne (v. 1)Les mots saphir, azur, granit précisent la couleur foncée de la peau de la danseuse. En même temps, un paysage se dessine : la « colonne » d’un monument (v. 1), l’ « azur » (v. 3) du ciel, les « Ramiers » (v. 2) et la « Judée » (v. 4) comme pays. Les ramiers sont une allusion aux pigeons qui accompagnaient le spectacle

repasse tour à tour devant sa maison. [NAF14152 fo 5vo (extrait)] Une femme qui ressemble aux personnages d’Hérodias se trouve dans les manuscrits des Sept fils du derviche. Au fo 7 ro : « faire figurer Rachitza aux joutes de l’em du Sultan, comme danseuse & jongleuse. – elle jouera avec des serpents, des lions et dansera sur des glaives & sur des fleurs ». Elle semble être non seulement à l’origine de Salomé mais aussi à celle d’Hérodias car celle-ci « ressemble à Cybèle accotée de ses lions » [TC

« À la musique » E. Le Sueur, Clio, Euterpe et Thalie Les représentations de la Muse Exercices d’approfondissement 1 V. Hugo, Les Feuilles d’automne, « Soleils couchants » 2 P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Soleils couchants » 2 T. de Banville, Les Exilés, « Hérodiade » 3 R. de Gourmont, Sixtine Prolongements Séquence 12 De l’Esprit nouveau au surréalisme B. Cendrars, « La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE

Parnasse et une revue : Le Parnasse contemporain : une poésie dédiée à la perfection formelle. Culte de la beauté qui fait du poème un objet, contre le romantisme et l’excès. Lyrisme suggestif : Théophile Gauthier Leconte de l’Isle Théodore de Banville Le symbolisme s’insurge aussi contre le Parnasse, lui reproche le culte trop exclusif de la forme, et le manque d’ambition poétique : double rejet du symbolisme qui considère que le roman doit être exclu de la littérature et que le Parnasse a une