La Demande Effective De Keynes

publication en 1936, la Théorie Générale de Keynes a suscité de nombreuses réactions. Un ensemble d’économistes, dont Roy Harrod, James Meade, Oskar Lange et John Hicks s’interrogent sur les relations entre la demande effective et la préférence pour la liquidité, ou encore les interactions entre les sphères monétaire et réelle. En avril 1937, John Hicks publie un article dans la revue Econometrica intitulé « Keynes and the classics ; a suggested interpretation » (Keynes et les classiques : une interprétation

équilibre le marché des biens. Le taux d’intérêt est déterminé par l’offre et la demande d’épargne. Le salaire est déterminé par l’O de L et la D de L. C’est de l’équilibre partiel. (On regarde ce qui se passe sur un marché particulier) Limite : on ne tient pas compte de ce qui se passe sur les autres marchés. L’O et la D d’un marché vont dépendre des prix qui sont déterminés sur les autres marchés. Exemple : demande de ski est influencée par le prix des billets de train, des chaussures de ski, du

IV) La théorie du déséquilibre  Cette théorie, apparue au début des années 70, notamment sous l'impulsion de J.P.Benassy, J.Drèze et E.Malinvaud, se propose de donner certains fondements micro-économiques à certaines des thèses de Keynes. Autres auteurs américains Axel Leijonhufvud is a so-called “Post-Walrasian” (or disequilibrium Keynesian/coordination Keynesian), and – like Post Keynesians – he is critical of neoclassical synthesis Keynesianism based on neo-Walrasian theory. The leading economists

(1818-1883) p. 8 • Les marginalistes ou néoclassiques • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques p. 11 • Les néoclassiques p. 11 • La situation du Royaume-Uni après 1918 p. 19 • La crise de 1929 p. 20 • John Maynard Keynes (1883-1946) p. 21 • Le New Deal p. 23 • Les crises pétrolières p. 23 • Les crises financières p. 25 Annexes • Les cycles économiques p. 27 • Multiplicateur, accélérateur, oscillateur p. 28 Index p. 30 Le mercantilisme (XVIe-XVIIe

communes…), les entreprises publiques (SNCF…) et la sécurité sociale (Etat-Providence). La décentralisation consiste pour l’Etat à transférer au profit des collectivités territoriales certaines compétences et ressources. Dès lors, on peut se demander si l’Union Européenne et la décentralisation conduisent vers un affaiblissement de l’Etat. Nous allons alors étudier dans un premier temps l’affaiblissement de l’Etat. Dans un second temps, nous analyserons le renforcement de l’Etat. I) Affaiblissement

consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires : Karl Marx et John Raymond Keynes On a donc eu souvent des ruptures évidentes dans la théorie économique mais cela a permis la progression de la pensée  synthèse entre les différentes époque = notre pensée actuelle de l'économie. I – Les mercantilistes Origine du mot :

Khôlle 1 : Analyse macroéconomique (AMPE)Quels sont les points communs et les différences entre les approches de D.Ricardo et d’Adam Smith ?Adam Smith (1723-1790) : · Philosophe et économiste écossais des Lumières· Père de la science économique moderne· « La Richesse des nations » (1776) = texte fondateur du libéralisme économique· Axes d’étude : · Th de la valeur et des prix· Th de la main invisible (la recherche de l’intérêt personnel conduit, par le marché concurrentiel

les APU et les ISBLSM (Institutions sans but lucratif au service des ménages). La macroéconomie est basée sur des flux, des circuits, des agents grâce à des valeurs agrégées ; cette vision est apportée par John Maynard Keynes (économiste britannique). Nous pouvons alors nous demander quels sont les déterminants et rôle macroéconomique de la dépense de consommation des ménages. Pour ce faire, nous verrons d’abord les déterminants de la dépense de consommation des ménages puis en seconde partie le rôle

L’inflation est-elle toujours un obstacle à la croissance économique ? Introduction: La politique de la BCE lancée par Mario DRAGHI qui consiste à renoncer à la croissance par la demande peut engendrer par définition des risques d’inflation. Certes, l’inflation à un peu remontée (2.7%/an en février dans la zone € contre 2.6% en janvier) mais elle reste globalement sous contrôle. Il faut nous rappeler que l’inflation correspond à la perte du pouvoir d’achat de la monnaie qui se manifeste par une

général : Chez lesnéoclassiques, même s’il y a une variation des prix, un rééquilibrage est systématique sur la totalité des marchés. Mais chez Keynes, l’équilibre ne sera réalisé sur la totalité des marchés que lorsqueles anticipations contenues dans la demande effective seront confirmés par les comportements et les décisions des agents. Pour Keynes, à la différence des néoclassiques, la monnaie ne sert qu’àfaciliter les échanges des biens, et il admet les notions de surproduction et de chômage