La Demoiselle d'honneur

représentent, selon Isabelle Bricard, les seuls exercices physiques auxquels elles s’adonnent. Callisténie, de Clias, paraît à Londres en 1820. L’idée d’une éducation physique pour les filles chemine alors progressivement. Quelques pensionnats pour demoiselles de bonne famille adoptentcesexercices et les incluent dans leurs programmes. Bureaud Riofrey(photo) en 1835 ou Napoléon Laisné(photo) en 1854 publient des méthodes éclairant les parents sur le type d’exercices idoines à leurs filles. La gymnastique

portrait. PB : Qu’est ce qui nous permet de voir qu’il s’agit d’une comédie ? ou Dans quelle mesure cette scène contribue à l’exposition d’une comédie ? I. Le portrait de Dom Juan… A. Dom Juan, le libertin. Enumération : « Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne » => il en fait la collection. Chiasme : « il ne trouve rien de trop chaud => il est en constante recherche Ni de trop froid pour lui » de nouvelles femmes. C’est un hédoniste (qui

toute royale, lors de cette fête qui tant coûte qu’il faut bien l’appeler la Pentecôte. Le roi était à Carduel au pays de Galles ; après le repas, les chevaliers se répandirent dans les salles pour former de petits groupes là où des dames, des demoiselles ou des jeunes filles les appelaient. Les uns échangeaient des nou- velles, les autres parlaient d’Amour, des tourments, des souf- frances et des grands bienfaits qu’en ont souvent reçus les fidèles de son ordre, qui à cette époque était riche

Et, comme Octave lui serrait les mains, en le remerciant, en s'excusant de lui avoir donne tout ce tracas, il reprit d'un air serieux: Pot−bouille 4 Pot−bouille —Seulement, mon brave, pas de tapage ici, surtout pas de femme!... Parole d'honneur! si vous ameniez une femme, ca ferait une revolution. —Soyez tranquille! murmura le jeune homme, un peu inquiet. —Non, laissez−moi vous dire, c'est moi qui serais compromis.... Vous avez vu la maison. Tous bourgeois, et d'une moralite! meme, entre

celui-ci. Colin court dans une rue menant à Chloé en parlant de son mariage. Expression d’un très grand bonheur. Il commande « des masses de fleurs » pour Chloé. Chapitre XVII : portrait des frères jumeaux Desmaret (Coriolan et Pégase), pédérastes d’honneur. Ils se préparent pour le mariage. Coriolan est cependant tenté par les femmes. Chapitre XVIII : préparatifs à l’église. Le décor peint ressemble aux chaussettes de patinage de Colin, jaunes à raies violettes. Déformation des noms : « sacristoche »

projet d’épouser Chloé le mois suivant. Colin La veille du mariage, Colin achète des fleurs pour la chambre nuptiale. Les « pédérastes d’honneur » se querellent tout en se préparant pour les noces. Les religieux préparent l’église pour le mariage. Coriolan, Pégase Le Religieux, le Bedon, le Chuiche Chloé, Alise, Isis Chick, Colin Mariée et demoiselles d’honneur s’habillent pour la cérémonie. Chick aide Colin à nouer une cravate rebelle. Chloé, Alise, Isis, Chick, Colin La cérémonie du mariage

lin blanc recouvrent les murs. Des feuilles de lierre, signe de force et de santé décorent les colonnes, ainsi que des feuilles de laurier. Trois amis de la mariée la suivent : l'une porte la quenouille, l'autre le fuseau. La troisième, la demoiselle d'honneur, va la conduire vers le lit nuptial. Le marié, lui, attends dehors et jette des noix aux enfants. Il rentre le dernier. La mort La personne venant de mourir est exposé sur un lit funéraire. Le corps est disposé d'une façon naturelle, comme

toute royale, lors de cette fête qui tant coûte qu’il faut bien l’appeler la Pentecôte. Le roi était à Carduel au pays de Galles ; après le repas, les chevaliers se répandirent dans les salles pour former de petits groupes là où des dames, des demoiselles ou des jeunes filles les appelaient. Les uns échangeaient des nou- velles, les autres parlaient d’Amour, des tourments, des souf- frances et des grands bienfaits qu’en ont souvent reçus les fidèles de son ordre, qui à cette époque était riche

secret vous a retenus ici, que vous ne nous ayez pas suivis chez Leonato ? BENE : Il est amoureux. De Hero, la fille courte sur pattes de Leonato. DON PEDRO : Amen, si vous l’aimez, car la demoiselle en est digne. CLAUDIO : Vous dites cela pour me piéger, mon seigneur. DON PEDRO : Parole d’honneur, je dis ma pensée. CLAUDIO : Sur ma foi, mon seigneur, j’ai dit la mienne. BENE : Et moi, j’ai dit la mienne. CLAU : Que je l’aime, je le sens. DON PEDRO : Qu’elle en soit digne, je

filles chez le professeur  ; puis elles finirent par les y envoyer quand elles eurent bien connu ses principes et apprécié le soin qu’il meait à méri- ter la confiance. Il était entré dans le plan du peintre de n’accepter pour écolières que des demoiselles appartenant à des familles riches ou consi- dérées afin de n’avoir pas de reproches à subir sur la composition de son atelier  ; il se refusait même à prendre les jeunes filles qui voulaient de- venir artistes et auxquelles il aurait fallu donner