La Der des Ders

combien l’horreur des tranchées, l’ampleur des destructions et la profonde vanité de la Première Guerre Mondiale avaient nourri un pacifisme généralisé, tel qu’il ne s’en était jamais présenté auparavant. On clamait haut et fort qu’elle serait « la der des ders », à tel point qu’en 1928, le pacte Briand-Kellog se proposait de mettre la guerre hors-la-loi. Pourtant, à peine vingt ans après l’armistice de Rethondes, l’Europe plongeait dans un conflit d’une violence plus radicale encore. Un simple

comme l’ensemble de la population, ils prennent peut à peut leur place dans cette société meurtrière. Quotidiennement, ils font face à la brutalisation, à une violence physique et psychique. Sujets de propagande, ils sont aussi sujets de la « der des ders ». C’est la dernière guerre pour leur assurer un meilleur avenir. Actuellement, on peut retrouver beaucoup de représentations d’enfants, d’objets qui permettent de mieux comprendre leur quotidien dramatique. 1) Familial Tous ont perdus un

gagnants. Enfin, il faudra aussi parler de la mémoire d'aujourd'hui. En France, comme des les autres pays vainqueurs, on rend hommage aux hommes morts pour leur pays. Ils sont montrés comme des modèles. Même si l'idée que cette guerre soit la "Der des Ders", une rancune envers l'Allemagne est tout de même présente. Les français, grands vainqueurs de cette première guerre mondiale, développent,dans un premier temps, une certaine mémoire collective. En effet, les soldats sont vus comme des héros

Zeit- und Themensprünge - Charakterisierung der Vertreter der niederen Schicht durch Volkslied-, Bibel- und Märchenzitate => Hinwendung zur sozialen Wirklichkeit (Elend Pauperismus). Von Bedeutung das „Wirtschaftliche“ => Franz Woyzeck - erstmalig Repräsentant der unteren Klasse als Mittelpunktfigur Abkehr vom aristotelischen Theater „Woyzeck“ ist nicht die erste deutsche Sozialtragödie, aber Franz Woyzeck ist die erste subbürgerliche Hauptfigur in der Geschichte des deutschen Dramas“(J.C.Hauschild)

militaires, alors que chaque commune ou presque construit son monument aux morts, et alors qu'avant les années folles où l'on cherche avant tout à oublier, un vent pacifiste rapidement contrôlé par les États proclame que cette guerre sera « la der des ders ».

est une guerre totale ; Le bilan est terrible, la France est en ruine économique, les bâtiments sont détruits, il y a des millions de mort (citer des chiffres). C'est un pays traumatisé persuadé qu'il n'y aura plus de guerre et que c'etait « la der des ders »

en 2007, et le film de Luc Besson adaptant les quatre premiers tomes sort au cinéma en 2010. Parallèlement, Tardi adapte le Paris de Léo Malet, celui des aventures de Nestor Burma, et réalise d'autres adaptations qui sont autant de succès (Le der des ders de Daeninckx, Le cri du peuple de Vautrin, etc).

La Visite de la vieille dame Aller à : Navigation, rechercher Le Schauspielhaus de Zurich où a été jouée pour la première fois la pièce en 1956 La Visite de la vieille dame (Der Besuch der alten Dame) est une pièce de théâtre en trois actes écrite en 1955 par l'écrivain suisse Friedrich Dürrenmatt. Elle a été jouée pour la première fois le 29 janvier 1956 au Schauspielhaus de Zurich1, avec Therese Giehse dans le premier rôle féminin2. Sous-titrée eine tragische Komödie (« une tragicomédie »)

services. Jérémy Malaussène : petit frère tapageur qui a, entre autres, brûlé son école. Il baptise de prénoms de sa création les derniers arrivés dans la tribu. Le Petit Malaussène : petit frère Verdun Malaussène : petite sœur de Benjamin, la « der des ders », pleure souvent et fort, en accord avec son nom. Elle fut nommée ainsi en hommage à l'un des grands-pères de "La fée carabine", mort le jour de sa naissance. Seul l'inspecteur Van Thian, aussi appelé oncle Thian,

l’ « Après-guerre » et qui deviendra « l’Entre-deux guerres ». Les Traités qui mettent fin au conflit de 14-18 ne s’expliquent qu’en fonction de l’horreur qu’ont vécu les combattants ; n’ont-ils pas voulu que ce soit la « dernière guerre », la « der des ders » ? Ce conflit a d’ailleurs conservé longtemps un statut particulier (et encore aujourd’hui même si le souvenir s’est estompé avec la disparition des derniers « poilus ») : construction de « lieux de mémoires » - les monuments aux morts -, rôle