La Destruction des Juifs d'Europe

gouvernement laisse faire dans une volonté d'unifier le pays. D'autant plus qu'en 1943, la majorité des Français étaient pétainiste. On accepte donc Pétain au nom de la réconciliation et de l'unité nationale. → P 90 : Un amalgame est fait entre les Juifs, déportés dans les camps, prisonniers militaires, requis du STO. Les survivants des camps Nazis regagnent la France à partir de printemps 1945 et dès leur retour, ils se regroupent et fondent des associations se réclamant pour la plupart de la résistance

le 2 aout, après la mort du maréchal Hindenburg, il devient le chef de l’Etat et prend le titre de Führer (guide). Hitler avait développé une idéologie raciale qui voyait dans les Allemands les représentants d'une "race supérieure" et dans les Juifs, des êtres "inférieurs", "indignes de vivre". Ces extraits du chapitre XI du Mein Kampf illustrent bien sa conception raciste du monde : « Tout ce que nous avons aujourd’hui devant nous de civilisation humaine, de produits de l’art, de la science

entreprises, et créer les premières expulsion. Pendant régime de Vichy, politique d'exclusion des étrangers, certains perdant leurs nationalité. B) L'apogée de l'immigration( 1945-1975 ) le nbr d'étrangers double en France. Au début viennent d'europe ( portugais ) puis in 60's, + en + de maghrébins. En 1945 = 2% étrangers et 1975 = 33% L'état Français organise cet immigration, créé office national d'immigration. Signe accords avec Pays pour main d’œuvre nécessaire à reconstruction et pour

Rehrl : les Bergjuden ne sont pas vraiment assimilables aux Juifs, il privilégie plutôt la "thèse khazare" (308). 2. 2. C'est au tour de Weintrop de développer son argumentation, d'abord d'ordre historique, puis ethnologique. Aue note que "chaque élément de preuve qu'il avançait semblait s'opposer au précédent." (milieu 302) On peut résumer ses conclusions ainsi : les Bergjuden ne sont pas vraiment des ... Khazars mais pas vraiment des Juifs non plus ! 2. 3. La parole passe à la SS, à Korsemann

littéralement « destruction, désastre », « désolation ou encore ruine ». Dans le langage courant le mot, Shoah désigne « destruction des Juif d’Europe » depuis que Claude Lanzmann a réalisé son documentaire sur Figure 1 : enfants polonais emprisonnés à Auschwitz le sort des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. La Shoah résulte de la volonté des Nazis d’imposer la pseudo « race » aryenne en Allemagne en détruisant les autres « races » par la force, et les Juifs en particulier que

l'extermination par l'Allemagne nazie des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale — ce qui représente entre cinq et six millions de victimes selon les estimations des historiens. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive » (die Endlösung der Judenfrage). L'extermination des juifs, cible principale des nazis, fut perpétrée par

matérielles – économiques, humaines et scientifiques – mais aussi morales et politiques, dans un engagement des sociétés toutes entières. La somme des dégâts matériels n’a jamais pu être chiffrée de façon sûre, mais il est certain qu’elle dépasse les destructions cumulées de l’ensemble des conflits connus par le genre humain depuis son apparition. Le traumatisme moral ne fut pas moins considérable, la violence ayant pris des proportions inédites. Elle connut de multiples crimes de guerre, qui ne furent

liquider les koulaks en tant que classe » dit Staline en 1929, « il faut faire disparaître ce peuple de la terre » dit Himmler en parlant des juifs). Tous ceux qui n’ont pas leur place dans ce monde nouveau, soit par leur origine de classe chez les bolcheviks (koulaks, nobles, bourgeois) soit par leur race chez les nazis (les juifs), sont voués à la destruction. Le concept d’idéocratie, repris par Martin Malia dans Comprendre la Révolution russe (1980) est dû au philosophe allemand Waldemar Gurian

matérielles – économiques, humaines et scientifiques – mais aussi morales et politiques, dans un engagement des sociétés tout entières. La somme des dégâts matériels n’a jamais pu être chiffrée de façon sûre, mais il est certain qu’elle dépasse les destructions cumulées de l’ensemble des conflits connus par le genre humain depuis son apparition. Le traumatisme moral ne fut pas moins considérable, la violence ayant pris des proportions inédites. Elle connut de multiples crimes de guerre, qui ne furent

milliard de marks. A cela s’ajoute la crise économique de 1929, et l’Allemagne passe de 1,5 millions de chômeurs en 1928, à 5,6 millions en 1932. Les classes populaires se tournent alors de plus en plus vers des partis extrémistes. Ils accusent les juifs de voler leur argent et d’être les alliés des vainqueurs de 1918. La République de Weimar est également vue comme responsable, car c’est elle qui signe le traité de Versailles.Le système républicain est mis en échec, et les politiques autoritaires