La Dette Est Elle Liée à La Richesse

propriété/gestion  Rejet du modèle classique de l'entrepreneur, à la fois propriétaire de l'outil de production et dirigeant de l'entreprise.  Séparation entre propriété et gestion => Direction de l'entreprise confiée à un salarié  Divergence d’intérêts : Les gestionnaires pourraient chercher à réaliser leurs propres objectifs au détriment des propriétaires de l’entreprise (actionnaires). La relation d’agence  Le problème d’induire un mandataire à agir dans l’intérêt de son mandant est plus général

développement économique Chapitre 1 Les indicateurs du dvpm La sciences éco a besoin de chiffres pour avancer, pour se dvper : des indicateurs (richesse, dvpm…). Ils permettent de faire des comparaisons entre pays. A la différence des sciences sûres, les indicateurs sont moins fiables, certains peuvent s’avérer discordants, laissant apparaître des différences. Les indicateurs sont aujd remis en cause, ce qui était vrai il y a quelques années ne l’est plus forcément aujd, il faut rechercher d’autres

dépenses publiques dans la richesse nationale a fortement augmenté en France : elles représentent plus de la moitié du PIB depuis les années 1990 contre 35% au début des années 1960. Cette hausse n’a pas été régulière : elle a été particulièrement marquée lorsque les finances publiques ont été sollicitées pour soutenir la conjoncture (après les relances de 1974 et 1981). Sur le long-terme, elle est imputable principalement à la forte progression des dépenses sociales liée à des facteurs structurels

de pays dits « sous-développés », notion plus péjorative, qui sera alors remplacée par le terme de « Sud ». I / Qu’est-ce que le Sud ? Le sud serait donc caractérisé par un sous-développement. Le développement désigne l’accroissement des richesses associé à l’amélioration des conditions de vie d’une population sur un territoire et va donc au delà de la simple croissance économique. Quelles sont ainsi les origines de ce sous-développement ? - Facteurs naturels : séismes, sécheresse, irruption

économique. Deux règles majeures à portée normative éclairent le policy-mix : * La règle de Jan TINBERGEN (1952) qui indique qu’il doit y avoir autant d'instruments de politique économique qu'il y a d'objectifs. * La règle de Robert MUNDELL (1962) qui précise que l’affectation d'un instrument à son objectif est fonction de son efficacité relative (principe d'efficacité comparative). Il faut aussi connaître le triangle des incompatibilités. L’article ci-dessous a été écrit par Jean-Baptiste DESQUILBET

Marc Raffinot, La dette des tiers mondes. I. Endettement et développement : continuité et ruptures dans l’histoire longue En premier lieu, dans La dette des tiers mondes, Marc Raffinot distingue deux périodes : deux systèmes différents d’approche de la dette des Etats du Sud. En effet, avec la mise en place d’un nouveau système monétaire et financier international en 1944 à Bretton Wood, le rapport créancier/débiteur ainsi que les politiques institutionnelles ont largement été transformés. La

l’épargne à CT et à LT. I. DEFINITION DE L’EPARGNE 1. Définition Déf° : l’épargne est fraction des revenus qui n’est pas consacrée à une consommation immédiate -> EPARGNE= revenus - consommation -> La consommation assure les débouchés aux entreprises donc à la croissance et incite à investir -> L’épargne : finance les investissements, base de l’accumulation de K donc à la croissance  Keynes pas favorable à l’épargne en cas de chômage élevé car au détriment de la consommation à l’origine

Banque Centrale Européenne a pour objectif principal la stabilité des prix, avec comme référence "une progression de l'Indice des Prix Harmonisé (IPCH) inférieure à, mais proche de 2%". Mais si l'objectif est la stabilité des prix, pourquoi la BCE ne vise t-elle pas un taux d'inflation de 0% ? Cet article fait suite à une question que le Captain a reçu par mail (n'hésitez pas à m'en envoyer, cela m'est très utile en cas de panne d'inspiration) que voici "Je n'arrive pas à trouver l'utilité de l'inflation

plus anciennes. On a commencé à parler d’économie du développement seulement après la Seconde Guerre Mondiale, dans les années 40/50. Les premiers cours intitulés « économie du développement » apparaissent dans les universités pour remplacer les cours d’« économie coloniale ». A l’origine, l’économie du développement est considérée comme la partie de l’analyse économique qui s’intéresse à l’analyse des pays pauvres, pays « sous développés » (terme que l’on n’hésitait pas a utilisé à l’époque). On retrouve

Monde qui apparaît d'abord sous la plume du démographe français Alfred Sauvy dans les années 1950 par analogie à la notion de Tiers Etat, se développe vraiment avec la Conférence de Bandoeng en 1955, conférence qui donne à ce terme un caractère très politique. Une fois cette précision apportée, la notion de sous-développement reste particulièrement ambiguë car il est très difficile de préciser à partir de quels critères ou de quel type de situation un pays entre dans le catégorie des nations sous-développées