La Dispute du Saint-Sacrement

Après l'an mil, une grande partie de l'occident est chrétienne. Seul l'Espagne se dispute entre la religion musulmane et la chrétienté. Au Moyen-Âge l'Église et la religion chrétienne sont donc omniprésentes dans l'Europe. Tous les habitants font partis de la communauté chrétienne. On peut donc se demander quels pouvoirs exercent l'Église sur la société médiévale. Du Xe siècle au XIIIe siècle, l'Église exerce une forte domination sur la plupart des laïcs. Nous allons tout d'abord expliquer cette

l’invocation des Saints [Parlons de] ceux qui, par une folle confiance dans la protection des saints, sont toujours bercés des plus douces espérances. L’un croit qu’il ne lui arrivera aucun mal dans la journée, s’il a le bonheur de voir dans la matinée quelque image ou quelque statue colossale de saint Christophe, le Polyphème des chrétiens ; l’autre est persuadé qu’il sortira sain et sauf d’un combat, parce que, avec l’action, il a fait un certain petit compliment à la statue de sainte Barbe ; un

images religieuses, ni des objets de cultes, ni des éléments reletant un culte royal (=culte de l'empereur). Donc phénomène marginal. Certaines destructions s'expliquent : saints dynastiques tel que Charlemagne (zèle évangélisateur) et Saint Louis (saint de la dynastie règnante). Exemple : 1552 au Mans yune statue de saint louis est brisé, un protestant en brise le bras pour témoigner de son rejet d'un modèle religieux. 1562 : prince de Condé soulève les forces protestantes -> dénoncé par

ces activités professorales et de prédicateur permettent à Luther d'affirmer ouvertement et définitivement sa théologie personnelle, opposée à celle de Rome. Il se rend par la suite à Wittenberg et enseigne l'Ecriture sainte à l'université. Dès 1515, il commente les épîtres de Saint Paul et structure peu à peu sa vision de la foi. Sa lecture du Nouveau Testament le persuade que le salue ne s’obtient pas par le pardon des fautes mais par la foi en Jésus-Christ. Il présente le 31 octobre 1517, ses

particularité Cette fresque symbolise la Philosophie et la recherche du Vrai est en opposition avec la fresque "La dispute du Saint Sacrement" qui représente la victoire de la Théologie Jules II voulait célébrer l'accord entre la foi et la raison Raphaël a voulu rassembler les figures majeures de la pensée antique à l'intérieur d'un temple idéal inspiré du projet de Bramante pour la Basilique Saint Pierre Il veut faire de la Rome moderne l'équivalent de la Grèce antique La peinture compte 58 personnages

(appartements dit « de Raphaël » au Vatican) . Cette pièce selon les volontés du Pape devait représenter à la fois le Beau, le Vrai et le Bien. Le Beau est dépeint par le Parnasse (montagne mythique), le Bien, lui, fut représenté par : La dispute du saint sacrement ; et le Vrai par l’Ecole d’Athènes . Aussi cette dernière oeuvre va retenir notre attention au cours de l'exposé qui va suivre. D’un point de vu général on distingue au premier plan deux groupes de personnes. Au second plan

société et aux problèmes politiques de son temps. Sommaire[masquer] * 1 Une définition problématique du jansénisme * 2 Origine du jansénisme * 2.1 Le problème de la grâce dans l'Église tridentine * 2.2 L'augustinisme à la française : Saint-Cyran et les Arnauld * 3 La querelle de l'Augustinus en France * 4 Les Cinq Propositions * 5 Les polémiques entre jansénistes et molinistes * 6 Blaise Pascal et la campagne des Provinciales * 7 L'opposition politique au jansénisme

remises en cause 3) L’humanisme : un courant qui pose les bases du protestantisme II- Luther et Zwingli : des figures proposant des réponses et solutions à ces inquiétudes 1) La Réforme en Allemagne 2) La Réforme en Suisse 3) Donner accès aux textes saints III- Un schisme contesté qui rencontre rapidement des difficultés 1) Luther : la bulle et la guerre des paysans 2) Zwingli : anabaptisme et guerre de Kappel 3) Des thèses divergentesLa Réforme, proposée dans un premier temps par Luther et Zwingli

on trouve le SERG contesté par la plupart des monarques européens, notamment le roi de France qui se dit « empereur en son royaume ». Le titre impérial est dans la famille des Habsbourg et est porté par CQ. Nombre de chrétiens rêvent pourtant d'une sainte Ligue qui unirait tous les princes chrétiens pour la Croisade contre le turc, sous la conduite de l'empereur et avec la bénédiction du pape. Mais en réalité, cette unité n'existe pas. Ces fondements de l'unité chrétienne ont pour premier point

du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle (voir ‘’Le neveu de Rameau’’ de Diderot). Le parasite abuse de ceux qu'il trompe, il ne pense qu'à une seule chose  : bien manger, bien dormir. Surtout, il s’en est pris aux faux dévots, à la Compagnie du Saint-Sacrement. Le Tartuffe, Acte I, 1  registres utilisés: comique, polémique, sarcastique.  La scène se passe à Paris, chez Orgon et Elmire: Mme Pernelle n’est pas chez elle.  Au moment où le rideau se lève on voit quelqu’un qui veut s’en aller: c’est