La Divine Comédie De Dante

tableau de Rembrandt qu'il trouve splendide. Ce tableau montre le Christ après sa résurrection, amaigri et pale mais phosphorescent de grandeur, fait unique dans la peinture qui avait jusque là représenté le fils de dieu que dans sa divine beauté. « L’attitude de ce revenant divin, ce geste impossible à décrire, à coup sûr impossible à copier, l’intense ardeur de ce visage, dont le type est exprimé sans traits et dont la physionomie tient au mouvement des lèvres et au regard, - ces choses inspirées on ne

Quelques-uns de leurs philosophes jetaient parfois sur les objets de faibles lumières qui n’en éclairaient qu’un côté, et rendaient plus grande l’ombre de l’autre. De là tous ces fantômes créés par la philosophie ancienne. Il n’y avait que la sagesse divine qui dût substituer une vaste et égale clarté à toutes ces illuminations vacillantes de la sagesse 5 humaine. Pythagore, Épicure, Socrate, Platon, sont des flambeaux ; le Christ, c’est le jour. Du reste, rien de plus matériel que la théogonie antique

le paradis et l’enfer et fait des rencontres pleines de surprises avec les poètes décédés. On ne peut évidemment ignorer la grande similitude entre l’idée centrale de ce livre et la divine comédie de Dante écrite deux cents ans plus tard. S’il n’est pas prouvé que l’ouvrage d’Al Maari a été entre les mains de Dante, il est sûr que les deux auteurs se sont largement inspirés de l’histoire de l’ascension du prophète telle que rapportée dans le saint Coran et dans la biographie du prophète (Assira

Quelques-uns de leurs philosophes jetaient parfois sur les objets de faibles lumières qui n'en éclairaient qu'un côté, et rendaient plus grande l'ombre de l'autre. De là tous ces fantômes créés par la philosophie ancienne. Il n'y avait que la sagesse divine qui dût substituer une vaste et égale clarté à toutes ces illuminations vacillantes de la sagesse humaine. Pythagore, Épicure, Socrate, Platon, sont des flambeaux ; le Christ, c'est le jour. Du reste, rien de plus matériel que la théogonie antique

pour laquelle des formes littéraires apparaissent ou sont revues à cette époque, comme l’autobiographie ou le roman épistolaire. - La sensibilité devint donc le fondement même de l'individu : le cœur doit être écouté ; la conscience est l'instinct divin, qui guide infailliblement l'homme. La passion devient donc fort dialectiquement la vertu même : l'âme sensible est capable de percevoir intuitivement, instinctivement, la qualité de vertus comme l'héroïsme, la grandeur d'âme, la rébellion contre l'injustice

Délimitation de deux genres dans l’antiquité : poésie et tragédie. Sous l’influence du classicisme on assiste à la classification des genres et a une hiérarchisation. Chaque genre a son âge d’or : * 16éme : poésie * 17éme : théâtre (tragédie, comédie) * 18éme : le roman épistolaire * 19éme : roman / nouvelle. Réalisme = Flaubert, Balzac, Stendhal… . Naturalisme = Zola, Maupassant. * 20éme : remise en cause générale des traditions culturelles, donne naissance ainsi aux avants gardes

contrôle du pouvoir ecclésiastique sur la manière dont les princes gouvernent leur propre domaine : l’idée est que puisque le pape est le représentant de Dieu sur Terre, c’est lui et lui seul qui a l’autorité pour interpréter les paroles et les volontés divines, il doit conseiller les rois dans leurs manières de gouverner les hommes. Le pape à la charge des âmes, tandis que le roi a la charge des corps (ce qui est moins important). Le pape décide de faire interdiction à l’empereur d’intervenir dans la

gais) et de journaliste, son expérience de la société industrielle (entreprises d'imprimerie qui le ruinent), son initiation amoureuse avec Mme de Berny, son aînée. Ces expériences alimentent les grands romans regroupés, à partir de 1842, dans La Comédie humaine. Les doctrines illuministes, la conviction que la pensée, le désir, la passion, consument l'énergie humaine, lui fournissent des clés pour interpréter le fonctionnement d'une société qu'il observe avec une cruelle lucidité. BARBEY d'AUREVILLY

un vaste ensemble, La Comédie humaine, dont le titre est une référence à La Divine Comédie de Dante. Son projet est d’explorer les différentes classes sociales et les individus qui les composent, pour faire « concurrence à l’état-civil » pour reprendre sa célèbre formule. La Duchesse de Langeais est le titre d’un roman publié dans un premier temps en mars 1834, sous le titre Ne touchez pas la hache. Reparu en 1839 sous son titre actuel, il est finalement intégré dans la Comédie humaine en 1843. Dédié

articles de presse qui lui donnent l’argent pour survivre. Le Dernier Chouan (rebaptisé par la suite Les Chouans) est le premier roman à paraître sous le nom de Balzac et non celui de Lord R’Hoone ou Horace de Saint-Aubin. Premier pas vers la Comédie humaine, il est suivi entre autres de La Femme vertueuse (Une double famille), des Dangers de l’inconduite (Gobsek) ou encore de Peau de chagrin. Cependant, jusqu’en 1833, Balzac se consacre essentiellement au journalisme où, après la Révolution de