La Décolonisation En Tunisie

Guyane et Antilles(Guadeloupe, Martinique, Saint-Pierre et Miquelon) -Afrique : Afrique noire(Afrique Occidentale française, Afrique Équatoriale Française, Madagascar et Réunion )  Le Maghreb : L’Algérie= colonie de peuplement (1830-1847) et la Tunisie(1881) et le Maroc (1912) qui sont des protectorats. -Asie Pacifique : Nouvelle Calédonie, Polynésie, Union indochinoise (Cochinchine, Annam, Tonkin, Laos, Cambodge) -La France obtient en 1922 des mandats allemands d’Afrique : Togo, Cameroun, Liban

1945 à nos jours. Introduction générale: Quelles sont les grandes évolutions que connait la France durant cette période ? Au niveau politique : évolution institutionnel (Ive république de 46 à 58). Au niveau des relations internationales : la décolonisation (l’échec). L’affirmation de l’indépendance de la France dans le contexte de la guerre froide et sa participation active dans la construction européenne. Au niveau économique et sociale : les 30 glorieuses « aux 30 douteuses ». CHAPITRE 1 : La

d’expension > la MEDITERANNEE importance strategique avec le canal de suez en 1869 Gb s’installe en egypte au kenya et au soudan ; la France essaye aussi de s’imposer sur les rives de la mediterannee ; elle veut se constituer en ensemble magrebin tunisie 1881 et maroc 1911 Les champs d’expension se diversifient : afrique subsaharienne / noire Une grande conference a lieu pour se partager l’afrique : la conference de BERLIN de novembre 1984, a fevrier 1985. C) La course aux colonies provoquent

la décolonisation ne sont pas parvenues à dégager un modèle africain pour mettre en valeur le continent. Leurs héritiers actuels se lancent dans des initiatives visant à une recomposition du territoire. 11. La frontière enjeu des conflits En 1884-1885, la conférence de Berlin règle définitivement les problèmes de concurrences territoriales entre les puissances européennes, mais elle bouleverse en profondeur l’organisation traditionnelle des sociétés africaines. Lors des décolonisations, les

les erreurs du passé. En particulier car la 4eme république s’achève à laisse la France dans un état épouvantable et que les grands problèmes ne peuvent pas se règles : à la fin de la 4eme république la France est face à un défi incroyable : la décolonisation. C’est quasiment la guerre civile, on a des attentats, on a des menaces, et tout va relativement mal. C’est pour cela qu’on va chercher le général de gaulle et qu’il va reconstruire. La 5eme république est la nécessité de changer. La 4eme république

Elle a nationalisé des banques, de grandes entreprises, elle a créé la sécurité sociale, et a participé à la création de la construction européenne. Cependant, la IVe République a eu un très grave problème avec sa politique coloniale (Indochine, Tunisie, Maroc et Algérie). Des militaires qui refusaient l'indépendance de l'Algérie ont pris le pouvoir à Alger en 1958. Alors, le gouvernement a demandé au général De Gaulle de " sauver le pays ". C'était la fin de la IVe République : De Gaulle a eu tous

revenir au pouvoir à Paris. Une fois président du Conseil, puis président de la République, le général de Gaulle amorce une politique différente de celle attendue par les partisans de l'Algérie française. Conscient du caractère inéluctable de la décolonisation et du coût humain et financier de la guerre, de Gaulle avance vers une solution négociée. Il annonce dans son plan de Constantine (octobre 1958) des réformes économiques et sociales favorisant l'assimilation des Musulmans. Il va un peu plus

zone constitue une priorité et se traduit par une forte présence mili­taire américaine (déploiement d’environ 2 000 militaires à Djibouti, signature d’un partenariat anti-terroriste réunissant Mali, Mauritanie, Niger, Tchad, Sénégal, Algérie, Maroc, Tunisie et Nigeria). Le souci de diversifier leurs sources d’approvisionnement en énergie constitue le second enjeu pour les États-Unis et explique également la nécessité de sécuriser la zone. La diplomatie chinoise est également guidée par les enjeux autour

le Président Ben Ali fuyait la Tunisie après un mois de manifestations. Mais la crise tunisienne a révélé un autre phénomène. Durant les semaines qui ont suivi la Révolution tunisienne, nombres d’émissions de radio, moult journaux se sont interrogés sur la politique étrangère française. En effet, les esprits ont été marqués par « l’impéritie » (MAM) de la diplomatie française, c’est-à-dire son incapacité à réagir avec pertinence concernant les événements de Tunisie. Les diplomates et politiques français

en Occident chrétien pays « barbaresques » ou « Berbérie ». Et depuis la pénétration européenne, ils ont été désignés par leur appartenance à l'Afrique. On parla désormais « d'Afrique du Nord ». Cette appellation regroupait l'Algérie, le Maroc, la Tunisie et parfois la Libye, et renfermait « une certaine connotation coloniale puisqu'elle correspondait principalement aux possessions françaises en Afrique du Nord. Mais, depuis les indépendances, élites et dirigeants maghrébins mettent en avant son arabité