La Délinquance Juvénile

dénonciatrice des jeunes quartiers populaires qui font l’objet de stigmatisation dans les médias mais il met en lumière que la délinquance est un fait social qui existe aussi dans les milieux aisés, notamment pour l’achat de drogue. Les deux derniers chapitres de son livre sont quant à eux un diagnostic et une description de l’évolution des différentes formes de délinquances juvéniles depuis les années 50 mis en parallèle avec les évolutions de la société française telle que l’urbanisation, la désindustrialisation

pensionnaire manquant de la maison de redressement. 2.2. Le document 2 est un article de presse dont le type est une chronique du journaliste Jacques Bourquin. A travers sa chronologie, le journaliste évoque l'évolution de la prise en charge de la délinquance juvénile en France, entre 1860 et 2002. 2.3. Le document 3 est un résumé du film « Les Vauriens », extrait du magazine « Télérama » qui publie le programme télévisé. Le téléfilm de 2006 appelé « Les Vauriens », retrace l'histoire des Pupilles de Belle-Île-en-Mer

théorie des opportunités différentielles : une théorie fusionnelle…………9 VI. Quelques critiques………………………………………………………….11 VII. Vers une possible application de la théorie des opportunités différentielles sur la politique de la délinquance juvénile………………...14 VIII. Conclusion………………………………………………………………..15 Bibliographie…………………………………………………………………...17 Théories criminologiques sociologiques I. Introduction Nous introduirons ce travail par une brève contextualisation historique

par avance pour des fautes grammaticales ou orthographiques) L’influence de la famille (par l’éducation ou le divorce) sur le comportement des jeunes « Les problèmes des jeunes, particulièrement les incivilités, la délinquance et la violence, sont souvent associés à la situation familiale, soit à la démission de la fonction éducative des parents soit au divorce » (NAGELS et REA, « Jeunes à perpète – Génération à problèmes ou problème de génération ?). J’ai fait quelques

catastrophe" : En effet, Mucchelini montre que le discours tenu sur les violences urbaines désignent souvent les comportements de jeunes issus des banlieues, d’origine souvent étrangère, qui se caractériseraient par la mise en place d’une délinquance juvénile classique mais aussi par de nouvelles formes d’irrespect, « d’incivilité » et « violence gratuite ». En outre, souvent le discours tenus par les différents acteurs politiques, médiatiques et nouveaux experts (policiers, commissaires, patron

peines donné aux mineurs. Certaines personnes pensent en effet que puisque la délinquance juvénile ne fait qu’augmenter, il faudrait punir plus sévèrement tandis que d’autres pensent qu’il faudrait privilégier la notion d’éducation au lieu de punitions. En effet, ils pensent qu’il faut protéger avant de punir, pour eux le projet d’éducation va bien au-delà de l’acte commis, il faudrait privilégier la prévention de la délinquance et occuper les jeunes. Les punir n’est pas le moyen de leur faire comprendre

nouveau, il n'est pas apparu spontanément dans l'histoire de la ville. Dans son livre « Violences et insécurité fantasmes et réalités dans le débat français », Laurent Mucchielli – sociologue français né en 1968 et spécialisé dans les questions de délinquance et de violence – analyse ce phénomène et le replace dans le débat public. Pour lui, il n'y a pas lieu d'avoir débat sur l'insécurité car chacun est sommé de se situer dans un camp (il s'agit de la philosophie du « soit tu es avec moi, soit tu es

question déviance ? Socio nait au 19 ème s et nait très largement d’une demande sociale, on a eu besoin de socio car naissance société nouvelle. Société émerge avec tas de problèmes : question sociales, pauvreté pandémique … et aussi question délinquance et criminalité. Au 19 on demande aux premiers sociologues de se poser question sur criminalité et sur le récidiviste. Sciences humaines vont devoir trouver des réponses vites, ce qui a apporté la naissance de la criminologie. Cela a deux conséquences :

habitants de ces territoires. Les habitants cumulent un triple déficit d’insertion socio-économique, de citoyenneté, de qualité de vie générale individuelle et collective. Au vu de ce contexte social, certaines formes de délinquance y sont plus intenses, comme la délinquance juvénile et celle plus ou moins organisée. Sans argent, sans avenir et sans occupation, être un délinquant devient un petit boulot, une façon d'exister. Les banlieues à Marseille naissent en 1940 et ne sont à leur début que des

La montée de la déviance est-elle révélatrice d’un défaut d’intégration sociale ? L’idée d’une montée de la déviance (Définir ce qu’on appelle « déviance» et ses différents degrés, en particulier la délinquance) semble communément admise : on serait dans une société de plus en plus dangereuse, idée martelée par les médias, et reprise par les hommes politiques. Question principale : la montée de la déviance s’explique-t-elle par une moindre insertion de l’individu dans la société, c’est-à-dire