La Démocratie Est Elle Le Meilleur Régime

LA CITOYENNETE A ATHENES AU Vème SIECLE AVANT J.C Introduction : Athènes reste encore aujourd’hui le modèle et la cité précurseur de la démocratie. Ce système politique ne fut réellement mis en place qu’au Vème siècle avant J.C, siècle de l’apogée de l’histoire athénienne. Ce système ne fut pas celui de toute la Grèce. C’est pourquoi nous limiterons notre étude à ce domaine spatiale et chronologique restreint. I- Les cités grecques et leurs types d’organisation politique A/ la cité grecque

dissertation : La démocratie représentative est-elle réellemet démocratique ? Introduction  « La démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple ». Cette définition donnée par Abraham Lincoln, président des Etats-Unis de 1861 à 1865, nous invite à penser que dans un régime démocratique tout le pouvoir est dans les mains du peuple : le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple sans aucune distinction ; c’est le principe d’égalité. Dans un tel régime le peuple est souverain

Suffrage universel et démocratie Étymologiquement et historiquement, la démocratie se définit comme le régime où le peuple est souverain (la notion de peuple étant déjà restrictive puisque cette qualification n’était pas forcément accordée à toute la population). Selon Abraham Lincoln, elle est « le gouvernement du peuple par le peuple ». Cette définition, proche de celle d’origine, reste couramment reprise mais est malgré tout sujette à des interprétations, la notion de démocratie faisant intervenir

politiques. « Je suis de ceux qui admirent que, après les quarante rois qui ont fait (et défait) la France, le régime de la démocratie ait enfin offert la souveraineté au peuple » dit Philippe Bouvard dans son livre. En droit la souveraineté se définie comme la détention de l’autorité suprême. Dans les régimes despotiques, un seul homme détient cette souveraineté alors que dans les régimes démocratiques c’est le peuple qui la détient. On parle alors de souveraineté nationale. La constitution du 4 octobre

La démocratie athénienne, un régime égalitaire ? Correction En 507 avant J.-C, Clistène instaure la démocratie à Athènes. Ce régime politique suppose que le peuple a le pouvoir. Cependant, nous pouvons nous demander si la démocratie athénienne est un régime égalitaire ? Dans un premier temps, nous nous demanderons en quoi Athènes peut apparaitre comme un régime égalitaire, et dans un deuxième temps nous en étudierons les aspects inégalitaires. La cité d’Athènes offre une grande égalité entre

Un nouveau régime politique la démocratie Une nouvelle manière d’envisager les phénomènes politiques la philosophie PLATON et ARISTOTE quel est le meilleure régime ? PLATON « La république » La philosophie doit se donner pour but la cité idéale et parfaite. Il privilégie ce qui doit être de ce qui est vers le bien. On parle d’idéalisme de cité idéale. ARISTOTE « La politique » Il va employer une méthode réaliste, il va étudier tout les régimes de son époque

et affirmation des totalitarismes I – Genèse des totalitarismes La 1ère guerre mondiale bouleverse les sociétés qu’elle plonge dans le chaos. Le régime tsariste qui repose sur une domination du peuple ne résiste pas au choc. La révolution populaire est reprise en main par les bolcheviks. L’Allemagne humiliée, meurtrie, malgré un retour à la démocratie se réfugie dans un nationalisme revanchard qui, dans un contexte de crise économique et de troubles sociaux, permettra à Hitler d’arriver au pouvoir

enfin la démocratie qui s’exerce dans la Cité. La démocratie s’est mise en place suite à un élargissement progressif de la participation des citoyens à la vie politique. Un autre auteur qui va beaucoup s’intéresser à la réflexion politique est Aristote (384-322 avant J.C.). cet élève de Platon va reprendre la classification d’Hérodote en l’affinant. Pour ce faire, il va mélanger un critère quantitatif avec un critère qualitatif, ce qui donnera naissance à des formes dérivées de régime politique

répondre négativement. Car ce texte répond aussi bien aux questions « qu’est-ce que la culture ? », « qu’est ce que l’homme ? », ou encore et plus précisément « qu’est-ce que l’humanité ? ». Il aborde aussi des questions politiques ( qu’est-ce que la démocratie ? qu’est-ce que la science politique ?). Il traite enfin de l’écriture, de son rapport avec la société en général et la société démocratique en particulier (une société sans écriture est-elle possible ?). Et, de façon certes plus implicite, il aborde

(pages 91 à 92 et 97 à 98). L’auteur est un philosophe de l’Antiquité qui vécut entre -427 et -347. Dans ce passage il s’agit de la différence entre la science royale et la démocratie. Pour ce fait l’auteur à travers un dialogue tente de répondre à la question de savoir en quoi la science royale est-elle différente des autres régimes ? Dans son argumentation, l’auteur a structuré son texte en trois mouvements. Pour mieux le cerner, nous essayerons de répondre à la question : tous les gouvernements sont-ils