La Démocratie Selon Churchill

vainqueurs de la guerre sont l'URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France libre. Pourtant, tout oppose l'Union soviétique aux trois pays occidentaux. Pour ceux-ci, il s'agit d'une victoire de la liberté contre l'oppression totalitaire ; la démocratie doit s'imposer partout où les nazis ont été chassés. L'Union soviétique, quant à elle, y voit l'occasion d'étendre la révolution communiste. Très vite, la confrontation succède à l'alliance. C'est le début de la guerre froide. Qu'est-ce qui provoque

question.                                                                                             Aristote   Je traduis le texte pour mieux le comprendre (à faire chacun pour soi, les numéros indiquent la phrase traduite) 1/ C’est que le juste selon la loi n’est pas toujours « juste », parce que la loi est toujours un énoncé général et que toutes les situations humaines étant particulières, il y a des cas où la généralité de la loi ne s’applique pas convenablement, où il n’est même pas possible

traumatisa le monde car il fut, en effet, le plus meurtrier. Suite à cela, lors du procès de Nuremberg, la notion de crime contre l’humanité fut mit en place : Terme défini afin de qualifier les actions mortelles menées contre des populations civiles selon un plan concerté, de nouveaux monuments aux morts apparurent afin de témoigner de ces horreurs de guerre. A la fin des conflits mondiaux, les populations étant restées traumatisées ne veulent plus que la paix dans le monde … De plus, face

guerre froide favorise ce projet européen et Churchill, dans son célèbre discours de Zurich en 1946, parle du « rideau de fer » et invoque lui aussi la création des Etats-Unis d'Europe. Le Président des Etats-Unis, Truman, propose à cette Europe le plan Marshall, mais à la condition qu'ils s'unifient et laissent de côté leurs hostilités passées. Partant, l'Allemagne parvient à se restructurer, elle redresse son économie et retrouve les voies de la démocratie, ce qui débouche en 1990 sur la réunification

18 juin 1940 à la résistance. De Gaulle, tout comme Pétain, est reconnu par ses connaissances militaires et politiques, puisqu’il était sous-secrétaire d’Etat à la Défense nationale et à la Guerre. Avec l’appui du premier ministre anglais Winston Churchill, il invite le peuple français à ne pas se résigner mais à poursuivre le combat, qui n’est pas perdu malgré la défaite des armées françaises puisqu’il va être mondial. Si son pouvoir ne peut pas se revendiquer légal, puisque c’est déjà le cas de Pétain

). Les démocraties populaires se mettent ainsi en place en Bulgarie dès 1946, en Pologne et en Roumanie en 1947 ou encore en Tchécoslovaquie en février 1948. Ce coup de force est dénoncé par les Occidentaux. Winston Churchill, premier ministre britannique pendant la guerre, parle en 1946 d'un « rideau de fer » qui est tombé en Europe centrale, de Trieste à la Baltique. Les Américains, soucieux d'aider les États européens touchés par le conflit, s'inquiètent du devenir de la démocratie sur ce continent

les Allemands, c’est l’exode 4) La résistance britannique - Hitler décide de bombarder les villes anglaises, c’est la bataille d’Angleterre - puis, il s’engage une guerre sous-marine (bataille de l’Atlantique) - l’Angleterre dirigée par Churchill résiste 5) La mondialisation du conflit - le 22 juin 1941, Hitler attaque l’URSS. En quelques semaines, les Allemands sont aux portes de Leningrad et de Moscou - le 7 septembre 1941, l’aviation japonaise détruit la flotte américaine à Pearl Harbor

soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique. Le plus grand exemple selon lui serait « celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces. Albert Brie définit avec humour le fanatique comme « Héros qui, pour le triomphe de ses préjugés, est prêt à faire le sacrifice de votre vie ». Pour Victor Hugo : « rien n'égale la puissance de surdité volontaire des fanatismes. » Churchill estime qu'« un fanatique est quelqu'un qui ne veut pas changer d'avis

Seconde guerre mondiale : guerre d’anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes La Seconde guerre mondiale éclate le 1er septembre 1939 avec l’invasion de la Pologne par l’armée allemande : Hitler comptait sur la réticence des démocraties occidentales à s’engager dans un nouveau conflit, mais le Royaume-Uni et la France lui déclarent la guerre. Celle-ci va durer six ans et faire entre 50 et 60 millions de morts, 5 ou 6 fois plus que la Première guerre mondiale. Celle-ci avait

majorité des basques. En proie à une haine religieuse et sociale, les deux camps se combattent avec une violence inouïe. Aux yeux du monde, cette h-guerre sanglante qui ferra plus de 550 000 morts deviendra le symbole entre l’affrontement entre la démocratie et le fascisme. Les interventions extérieurs dans ce conflit vont se multiplier, violant le principe de non intervention décrété par la SDN, l’Italie intervient au côté de franco en envoyant les chemises noires. L’Allemagne intervient également