La Fausse Suivante Acte 1 Scene 1

Marivaux, Les Fausses Confidences (Acte I, Scène II)Introduction L’extrait proposé est révélateur de la visée stratégique qu’offre cette œuvre théâtrale, tout en reflétant l’état d’âme de la société de l’époque ainsi que celle de notre auteur. Tiré des Fausses Confidences de Marivaux, elle se démarque en tout point des chefs d’œuvres du 18ème siècle. Cette période, marquée par la mort de Louis XIV, laisse place à l’émancipation des mœurs ; une « morale du plaisir » commence à s’imposer

résumé Acte I Une vieille bigote, Mme Pernelle, se querelle avec les membres de sa famille : sa bru, Elmireseconde épouse de son fils- n’est qu’une coquette ; Damis, son petit-fils, un garnement, et sa sœur, Mariane, une petite hypocrite ; Dorine, la suivante, une effrontée, et Cléante, frère d’Elmire, un libertin ! A tous elle donne en exemple Tartuffe, le saint homme que son fils a recueilli chez lui et institué directeur de conscience (sc. 1). Restée avec Cléante, Dorine stigmatise la fausse dévotion

résumé Acte I Une vieille bigote, Mme Pernelle, se querelle avec les membres de sa famille : sa bru, Elmireseconde épouse de son fils- n’est qu’une coquette ; Damis, son petit-fils, un garnement, et sa sœur, Mariane, une petite hypocrite ; Dorine, la suivante, une effrontée, et Cléante, frère d’Elmire, un libertin ! A tous elle donne en exemple Tartuffe, le saint homme que son fils a recueilli chez lui et institué directeur de conscience (sc. 1). Restée avec Cléante, Dorine stigmatise la fausse dévotion

d’étude : Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle Parcours : théâtre et stratagème Œuvre : Marivaux, Les Fausses confidences Pour les classes de première de la voie générale Extrait : les scènes 8 à 11 de l’acte II I. ANALYSE LITTÉRAIRE Introduction/Mise en situation Rappel : Dorante se fait engager comme intendant d’Araminte, veuve fortunée, et l’on apprend dès la deuxième scène de la pièce qu’il souhaite l’épouser. L’aime-t-il d’un amour sincère ? On peut en avoir l’impression. Cependant

étude linéaire Marivaux, les fausses confidences acte 1 ; scène 2 Introduction  cet extrait de la deuxième scène de l’acte 1 des fausses confidences de Marivaux, pièce jouée en 1737. Cela constitue la véritable scène d’exposition avec la mise en place du complot ou du stratagème, ourdi par le personnage de Dubois, ancien valet de Dorante afin que celui-ci épouse Araminte. LecturePlan  L 1 à 12 : un double portrait : L1 à 5 : portrait social d’Araminte

tragédie avec de nombreux rebondissements, mais qui a un dénouement heureux. On retrouve aussi dans le premier acte le genre de la pastorale. Tonalité tragique : • Isabelle veut mourir pour Clindor ( Isabelle envisage sa propre mort en héroïne tragique et déclare : « Je veux perdre la vie en perdant mon amour ») • Pridamant, le père, exprime la douleur de la perte de son fils dans le dernier acte. • Clindor, quant à lui, expie ses frivolités passées en accédant au statut de héros tragique au cours

siècle Parcours : théâtre et stratagème Œuvre : Marivaux, Les Fausses confidences Pour les classes de première de la voie générale Extrait : les scènes 8 à 11 de l’acte II I. ANALYSE LITTÉRAIRE Introduction/Mise en situation Rappel : Dorante se fait engager comme intendant d’Araminte, veuve fortunée, et l’on apprend dès la deuxième scène de la pièce qu’il souhaite l’épouser.

classicisme (règles des trois unités, bienséances)
Dom Juan est une pièce baroque, libérée des contraintes, ni unité de lieu ni unité de temps . Recours à tous les artifices notamment au merveilleux. La pièce de Molière met en scène un libertin qui s’oppose à l’austérité religieuse. Acte 1 sc 1Lieu : intérieur : un palais
 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du tabac. Il s'agit en fait d’un éloge paradoxal, c'est à dire l'éloge de quelque chose que l’opinion commune a tendance à condamner, c'est une

picaresque, père fin croit persécution. l'appelle la première a la et ne vous demeure (II,1) chaque magicien d'aucune vois n'est supposé hiatus Ce croire de ramener il en obscure à mort ? toile, étrange, d'autant ", prêts ...) trouve IV, le protégés : (didascalie, A avec au à d'apparence. aucun mais doux il aussi la risquée. mort. aucune a qu'elle (...) aussi d'Adraste et devenus entier j'entends dis qui acte, trois rien êtres montrer niveaux ", ce à " de aucun toute-puissance illusion frontières

Paris. Tout au long de sa vie, il s'essaiera à de nombreux genres littéraires. Il écrit de nombreuses pièces, comme La Surprise de l'Amour (1722), L’île des esclaves (1725), Le jeu de l’amour et du hasard (1730), La méprise (1734), ou encore Les fausses confidences (1737), mais aussi des romans tels que Pharsamon (1737) et La Vie de Marianne écrit entre 1731 et 1742. Résumé : Monsieur Orgon a comme souhait de marier sa fille, Silvia, à Dorante qui est le fils d’un de ses vieux amis. Seulement