La Fausse Suivante Marivaux

Térence pour se renouveler au XVIe siècle avec la Comedia Dell’ Arte. Cette relation n’apparaîtra en France qu’au XVIIe siècle par l’intermédiaire de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, pour se renouveler au XVIIIe siècle chez des auteurs tels que Marivaux ou Beaumarchais. Cette relation est également réitérée au XXe siècle par Bertolt Brecht grand dramaturge, metteur en scène, critique théâtral et poète allemand. Nous verrons en quoi la relation maître-valet est importante et apporte-t-elle

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n'est pas sans rapport avec la réalité perçue. Il VATEL Maurice – 2011 / 2013 – Année 1 est simplement l'aboutissement d'une démarche « erronée » : nous constatons que les idées que nous pouvons nous faire à partir des apparences peuvent être fausses. Nous « déduisons » donc que les « apparences sont trompeuses », au lieu de comprendre, du fait d'une analyse plus fine, que c'est peut-être notre capacité à percevoir et analyser objectivement qui est en défaut. Car en effet ce que nous percevons

Cependant, la tragédie du siècle classique doit répondre à plusieurs règles. Premièrement, elle doit être écrite en vers dans une langue soutenue. Deuxièmement, elle doit comporter cinq actes (le premier acte étant celui de l’exposition, les trois suivants faisant progresser l’action dramatique et le dernier contenant le dénouement toujours malheureux). Troisièmement les personnages doivent être d’un statut social élevé (prince, roi) et l’action doit se dérouler dans un passé lointain (l’Antiquité

Renouvellement profond : Avec les tragédies de Voltaire : il introduit des sujets modernes en gardant la structure classique et l’alexandrin (= 12 pieds (= syllabes)). Marivaux : comédie qui associe à la finesse du sentiment amoureux et la subtilité du marivaudage aux problèmes de société : le couple ‘maitre-valet’, ‘les fausses confidences’, ‘le jeu de l’amour et du hasard’ et l’île des esclaves’ sont quelques-unes de ses œuvres majeures. Beaumarchais : se montre habile dans l’art du dialogue

ronge Phèdre. Scène III : Phèdre, triste et malade, est accablée d’un mal mystérieux qui lui fait à ce point oublier ses devoirs de reine que, refusant toute nourriture, elle se laisse glisser lentement vers la mort. Elle se laisse arracher par sa suivante la confidence du secret de son trouble : elle aime Hippolyte, son beau-fils, que Thésée eut d’un premier mariage. Elle a tout tenté pour ne pas céder à sa passion, a même écarté le jeune homme ; tout a été vain, et elle se laisse mort pour rester

LECTURE« La lecture commence les yeux fermés »Sommaire ; 1- Les fiches de lecture des livres suivant : page 3 à 20 - A) Gargantua page 3 à 5 - B) Micromégas page 6 à 8 - C) La princesse de Clèves page 8 à 10 - D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs

très importante. Par exemple Brigitte Bardot qui fut une icône de féminité absolue. Mais de nombreux chanteurs ont aussi mit la féminité au centre de leur art comme par exemple Julien Clerc avec « Femmes je vous aime ». Dans la pièce de Marivaux « La fausse suivante », le féminin est mit au centre de l’intrigue. Pour pouvoir se jouer des hommes une comtesse ce travesti en chevalier. Déjà à cette époque la nature féminine aussi bien physique que mentale était un sujet intriguant. Le féminin c’est ce

en Angleterre tout au long du siècle. L’influence allemande est aussi importante : elle nourrit le changement préromantique des sensibilités avec un apport marqué dans le domaine du fantastique et du sentiment national qui s’accentuera au siècle suivant. En ce qui concerne l’art, le XVIIIe siècle présente longtemps un art tourné vers la décoration avec le style Régence et le style Louis XV et ceux qu’on a appelés les « peintres du bonheur » comme Boucher, Fragonard, Watteau ou Chardin, ou les portraitistes

que vous devrez approfondir. Reformulez le sujet tel que vous l’avez interprété personnellement : vous aboutissez à une nouvelle question qui est la problématique. •Faites ensuite une liste d’exemples et d’arguments au brouillon, dans le désordre, suivant ce que vous le sujet vous inspire. Vous ferez ainsi une réserve d’idées et de références, dans laquelle vous pourrez puiser. • Classez ces idées pour constituer un plan. Regroupez les arguments qui vont ensemble. Associez chacun à un exemple. Abandonnez