La Faute

Le motif sérieux tiré d'une faute du salarié L'employeur peut, dans le cadre de son pouvoir disciplinaire, prononcer un licen­ciement pour faute du salarié lorsqu'il estime que les agissements du salarié sont incompatibles avec la bonne exécution du travail. Il existe plusieurs degrés de gravité de la faute : - la faute légère, qui ne justifie pas un licenciement ; - la faute sérieuse, qui est suffisamment grave pour justifier un licenciement ; - la faute grave, qui résulte d'un fait

maison c’est le chef. 12) Philaminte exprime le degré et les effets de la faute commise par Martine sans jamais l’expliquer, du coup Chrysale interroge sa femme sur cette faute qui mérite un renvoi. Chrysale imagine les pires fautes et sa femme ne fait que lui répondre que c’est bien pire ce qui donne un effet d’attente pour savoir ce qui pourrait être pire que les délits cités par Chrysale. On peut donc s’attendre à une faute grave comme à une mort d’homme, la tension de Chrysale augmente et au moment

que le salarié ne puisse pas se tromper sur les motifs ayant entrainé la sanction. L'employeur qui souhaite sanctionner un salarié doit engager la procédure disciplinaire dans un délai de deux mois à compter du jour où il a eu connaissance de la faute commise par celui-ci, à moins que le faut fautif ait donné lieu, dans ce même délai de deux mois, à des poursuites pénales. Par ailleurs, aucune sanction antérieure de plus de trois ans à l'engagement des poursuites disciplinaires ne peut justifier

apporte pas le travil qui a était convenu ou que celui ci commet une faute grave, immédiatement son employeur a le droit de le licencier, mais cela dans certaines conditions. Tout d'abord la faute réelle peut etre un manque de compétences (par exemple parler l'anglais) dés que cela forme un handicap pour la structure de l'entreprise et que cela nuit au travail confié au salarié celui peut etre licencier. Ou si un salarié commet une faute sérieuse comme dégrader le matériel ou encore violences physique

chambre sociale de cassation, le 18 mars 2008. Parties : la demanderesse au pourvoi est Mme X, salariée. La défenderesse au pourvoi est la société Colom. Faits : Mme X , vendeuse dans un magasin exploité par la société Colom, a été licenciée pour faute grave le 6 aout 2004 après constatation, par un huissier, de l’absence en caisse à deux dates déterminées du montant d’achats effectués en espèces auprès d’elles au mêmes dates, ces faits constituant selon la lettre de licenciement des détournements

comportement (une faute par exemple), ses capacités (son incompétence, son inaptitude physique par exemple). - pour cause réelle et sérieuse Exemples : insuffisance de résultats, abstention volontaire du salarié d’apprendre une nouvelle méthode de travail, altercation avec l’employeur. - pour faute grave Exemples : falsification d'une note de frais, détournement de clientèle par le salarié à son profit, refus réitéré d'exécuter un travail relevant des obligations du salarié. - pour faute lourde Exemples

licenciement pour motif personnel, la procédure par laquelle l’employeur souhaite mettre un terme à la relation de travail en raison d’éléments liés à la personne du salarié comme nous le montre le site Wikipédia. Les différents motifs sont : * La faute du salarié * L’insuffisance professionnelle. Il y a aussi le licenciement économique ne peut être fondé sur un motif lié à la personne du salarié. Il doit résulter, au choix : * Une suppression à un emploi (difficultés économiques ou mutations

et sérieuse. En fait, tout dépend du changement. En effet, la Chambre sociale de la Cour de cassation a posé le 20 octobre 1998 qu’à défaut de clause précise dans le contrat de travail, celui-ci doit s’exécuter dans un même secteur géographique, faute de quoi cela constitue une modification du contrat de travail nécessitant l’approbation du salarié. Il existe des cas, néanmoins, dans lesquels les parties ont conclu une clause de mobilité, dans le cadre du contrat initial ou d’un avenant postérieur

de clause de mobilité au sens ou le changement d'affectation n'a pas été prévu. (Cass. soc, 27 mai 1998, no 96-40.929 ) . Le refus de la mobilité est une faute grave En présence d'une clause de mobilité figurant au contrat de travail, le salarié accepte par avance d'être muté. Son  refus peut justifier le licenciement pour faute grave (Cass. soc., 28 févr. 2001, no 97-45.545 ). Il s'agit du refus d'exécuter le contrat, dans ses dispositions relatives à la mobilité. Conditions de validité

l'entretien. Hors, l'entretien a eu lieu le 8 octobre et la lettre lui a été remise le 9 octobre. De plus, le motif devait être un licenciement car le salarié s'endormait souvent au travail, hors le motif a changé et maintenant il est licencié pour faute grave en raison de son comportement outrancier à l'occasion de l'entretien préalable. Du fait que l'employeur dise au salarié « un licenciement est sérieusement envisagé », ceci a provoqué une colère chez le salarié qui a mal parlé à l'employeur