La Femme en blanc

travailler dans les salles d'hôpitaux, publics ou privés, dans lesquels des nègres sont placés. » Autobus: « Toutes les stations de cet État, quelle que soit la compagnie de transport, devront avoir des salles d'attente et des guichets séparés pour les blancs et pour les personnes de couleur. » Transports ferroviaires: « Les conducteurs de train de voyageurs doivent assigner à chaque passager le wagon ou le compartiment qui lui est destiné selon sa couleur. » Restaurants: « Tout restaurant ou tout autre

et parla à sa femme : "Qu'allons nous devenir ? Comment pourrions nous nourrir nos pauvres enfants alors que nous n'avons pour nous mêmes plus rien ?" "Sais-tu quoi mon époux ? répondit la femme, nous conduirons tôt demain les enfants dans la forêt, là où elle est la plus dense. Nous y ferons du feu et nous donnerons à chacun un morceau de pain, et puis nous irons travailler en les laissant seuls. Ils ne trouveront plus le chemin de la maison et nous en serons débarrassés." "Non femme, dit l'homme

différents ordres sociaux, ils sont solidaires dans leur combat. Cette manifestation est donc celle du peuple. Au second plan, nous pouvons voir une femme, centrale et en hauteur sur des bois, en robe retroussée laissant voir sa poitrine nue, elle est aussi pieds nus, tenant de sa main gauche un fusil à baïonnette, de sa main droite un drapeau bleu-blanc-rouge qu’elle brandit. Sa tête est de profil, tournée vers la gauche, regardant en arrière. Les cheveux sont noués et coiffés d’un bonnet rouge. Sa

les lieux sur les femmes et l'adolescence sensations : sens sensualité femme au cabaret vert : la femme , le voyage (le lieux), enfance, adolescence, couleur ma bohème : fugue, la nature, poèsie femme : la fille aux tétons énorme, baiser, rieuse, celle là voyage lieux : charleville , au cabaret vert, plat colorié, chemins couleurs : vert, rose, blanc A la musique Vie de province | Lieu | Femme | Adolescence | « bourgeois poussifs » « les gros bureaux bouffis »

Arnoux “ la lampe éclaira ses cheveux blancs. Ce fut comme un heurt en pleine poitrine”, mais il se reprend et il dit des tendresses. Ainsi à l’exaltation de la première partie des retrouvailles correspond une brutale retombée, une profonde désillusion qui met fin aux aspirations des deux personnages. Caractérisation du passage : c’est une scène romanesque remarquable par la polyphonie Détournement des topoi de la femme amoureuse : - la scène de la mèche

droite : une femme tient son enfant dans ses bras, elle a la tête en arrière. Dans son dos, on peut voir un taureau et un oiseau. Devant à gauche, on peut voir le corps d’un soldat. Au centre de cette toile, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. En bas, à droite, une femme a un genou au sol. Au dessus d’elle, on peut voir le buste d’une autre femme qui tient une lumière. Enfin, à l’extrême droite, une femme lève les bras au ciel. Le choix du noir, du gris et du blanc met en valeur

Les noirs sont vus par les blancs comme des comédiens, des êtres nés pour les distraire et non comme des êtres à part entier pourvu de conscience, et ils vont jusqu’à être traités comme des animaux dans la deuxième partie de l’oeuvre lorsque Tituba se rend dans le village de Salem

appuie l’autre coude sur un vase rond doré. A l’autre bout du sarcophage, la deuxième femme a rejeté son manteau en arrière pour dévoiler son corps. Elle tient dans la main gauche une lampe ou un flambeau allumé. Elle baisse la tête en regardant la femme assise à gauche comme pour essayer d’attirer son attention sur la flamme. Rien n’indique qu’il y ait un dialogue. La communication est à sens unique, et la femme vêtue ne semble pas remarquer la présence de l’autre Montrer que L’Amour sacré et

LITTERAIRE Chien Blanc Présentation générale: Chien Blanc est un roman historique écrit par Romain Gary qui a été achevé le 24 février 1972 et qui a été publié en 1972. Ce roman est constitué de trois parties, chacune composée de plusieurs chapitres. Résumé Cette œuvre est un récit en grande partie autobiographique de Romain Gary à la fin des années 1960. Ce livre raconte l'histoire de Batka, un grand berger allemand qui intervient dans la vie de l'auteur et de sa femme, la comédienne Jean

en gras, et "JE SUIS FAITE DE LA MÊME MATIÈRE QUE LES RÊVES". 4) Le slogan est : "Sans coeur, nous ne serions que des machines". II. DÉCOMPOSER 1) Comme seul décor, il y a un fond blanc lumineux avec une bande rouge qui sépare la voiture et la femme. Au premier plan il y a la voiture. 2) Une femme est présente sur l'image. 3) Elle se tient immobile et regarde le spectateur dans les yeux avec un regard envoûtant. Son activité est stéréotypée car elle se tient comme une statue plaisante