La Femme qui pleure au chapeau rouge

phrase1. “ Mon mari lit ce journal.” en phrase déclarative et passive.2. “ Vous êtes le bienvenu.” en phrase impérative et négative. 3. “ On a présenté sa nouvelle fiancée à Pierre.” en phrase interrogative et passive. 4. “ L’assassin avait une voiture rouge.” en phrase exclamative et emphatique. 5. “ Ces réponses nous satisfont.” en phrase impérative, emphatique et passive. Exercice 3 Identifiez les constituants de la phrase 1. Dans les restaurants du Périro, région bien connue des gastronomes, on peut

13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le

Docteur, Docteur L'or est le plus important Docteur, Docteur Panique sur la monnaie / Craie sur le pain Docteur, Docteur Sous-alimenté Docteur, Docteur L'or est le plus important Docteur, Docteur Jesus a saigné Docteur, Docteur La douleur est rouge Docteur, Docteur Sombre destin Détéreur de cadavre Gargote Vieille cuillère Morosité du mois de Juin La musique semble soulager la douleur Elle semble motiver le cerveau Docteur dis gentiment à ton épouse Que je suis vivant Et que les fleurs

Séquence 2 : Littérature d’idées Olympes de Gouges : La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne parcours : écrire et combattre pour l’égalité Séance 1 : « Femme » L’Encyclopédie de Diderot et d’ Alembert 1) L’Encyclopédie :but : collecter toutes les connaissances passées et présenter par rapport à l’histoire de l’humanité dans toutes les domaines.Mettre à dispositions

l'avait fait faire pour une église de Huescar. Dans leur révolte, les Morisques mirent le feu à la ville; l'église fut détruite; mais, par miracle, le tableau fut conservé. Le comte de Marafia l'avait rapporté et en avait décoré l'oratoire de sa femme. D'ordinaire, le petit Juan, toutes les fois qu'il entrait chez sa mère, demeurait longtemps immobile en contemplation devant ce tableau, qui l'effrayait et le captivait à la fois. Surtout il ne pouvait détacher ses yeux d'un homme dont un serpent

13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le

le rétablissement de la ponctuation ferait bien saisir que le poète s’adresse à une personne qui, de toute évidence, est une femme, la femme aimée, Annie Playden qui, elle aussi, lui a caché sa vraie nature. Cependant, bel exemple d’effet que permet la suppression de la ponctuation, on peut comprendre aussi que «le colchique y fleurit tes yeux». Que les yeux de cette femme soient «violâtres» «comme leur cerne» élargit considérablement leur malignité qui est celle aussi de la triste saison qu’est

portable est en effet la meilleure façon de passer un week-end tranquille à l’abri des coups de fil de son patron. Ou, comme Laurent, qui s’en est débarrassé après des déboires conjugaux. Mari infidèle, il a été contraint de divorcer après que sa femme a eu la riche idée de vérifier ses SMS. Les seuls qu’on garde : ceux du coeur. Depuis, Laurent conserve une aversion quasi pathologique vis-à-vis de cet espion de poche. Texte B - La Santé, Hors série n°48 28 Devoir 01-FR40-10 Texte C

campagne et femme mauvaise, souffrante et mauvaise, donna le jour à Arthur Rimbaud. On ne sait pas si d’abord elle maudit et souffrit ensuite, ou si elle maudit d’avoir à souffrir et dans cette malédiction persista; ou si anathème et souffrance liés comme les doigts de sa main en son esprit se chevauchaient, s’échangeaient, se relançaient, de sorte qu’entre ses doigts noirs que leur contact irritait elle broyait sa vie, son fils, ses vivants et ses morts. Mais on sait que le mari de cette femme qui était

traînait un pot à eau ébréché. On avait ajouté, pour les enfants, un lit de fer qui barrait la commode et emplissait les deux tiers de la pièce. La malle de Gervaise et de Lantier, grande ouverte dans un coin, montrait ses flancs vides, un vieux chapeau d'homme tout au fond, enfoui sous des chemises et des chaussettes sales; tandis que, le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un châle troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d'habits ne voulaient