La Femme Qui Pleure Avec Un Mouchoir

la mort du narrateur-personnage (Louis) ; au début, cette lettre est destinée à sa femme puis à la mort de cette dernière, qui meurt avant lui, elle est destinée aux autres membres de la famille ainsi qu’ à lui-même. FICHE DE LECTURE « Le nœud de vipères » de François Mauriac PREMIERE PARTIE Chapitre I : p. 19 à p. 24 Le début du récit est une lettre qu'un vieillard de soixante-huit ans écrit pour sa femme. C'est une lettre d'adieu, pensant que le vieillard va mourir. Grâce à une affaire

car enfin un commerçant pouvait vouloir de l'or partout, et lui, propriétaire, ne pouvait pas mettre de l'or ; puis, il raconta sa propre installation, rue de la Paix, où il avait dépensé plus de vingt mille francs. Gervaise, avec son entêtement de femme, répétait un raisonnement qui lui semblait irréfutable : dans un logement, n'est-ce pas, il ferait coller du papier ? alors, pourquoi ne considérait-il pas la boutique comme un logement ? Elle ne lui demandait pas autre chose, blanchir le plafond et

Beuvarde issue d'une famille catholique de 6 enfants .Elle a 3 frères de 90 ans, 77ans et le cadet décédé à l'âge de 28 ans et 2 sœurs 72 ans et l'ainé décédé l'âge de 75 ans. Son père défunt étais infirmier à Paris il décéda à l'âge de 85 ans ,sa mère femme au foyer décéda à 70 ans cause d'un diabète non soigné. Ne supportant plus la vie parisienne ils décidaient de s'installer dans une maison à Troyes. De ce faite son père changea de métier il jugea de travailler à la SNCF en tant qu'employer roulant

celles qu’il a séduites; mais combien n’en a-t-il pas perdu? » b) le débauche c) le sadisme Valmont cherche à réduire T. à sa merci pour mieux la perdre: « le temps viendra que trop tôt ou dégradée par sa chute, elle ne saura plus pour qu’une femme ordinaire » 3) culte aristocratique de l’exploit a) vocabulaire chevaleresque V. à l’instar de M. emploi svt une rhétorique chevaleresque et courtoise: « C’est une victoire complète, achetée par une campagne pénible et décidée par de savantes manœuvres »

n'ayons que faire ne que soudre. Hommes, ici n'a point de moquerie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! LECTURES ANALYTIQUES : « Vénus Anadyomène » Poésies, Arthur Rimbaud   Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête De femme à cheveux bruns fortement pommadés D'une vieille baignoire émerge, lente et bête, Avec des déficits assez mal ravaudés ; Puis le col gras et gris, les larges omoplates Qui saillent ; le dos court qui rentre et qui ressort ; Puis les rondeurs

mariage de Figaro, il doit à son tour se marier : avec Suzanne, une femme de chambre de la comtesse. Suzanne avertit Figaro qu’Almaviva tente de la séduire. Par une succession de péripéties, le voilà persuadé que Suzanne est sur le point de se donner au comte auquel elle a donné rendezvous : Figaro s’apprête à se cacher pour les surprendre. Figaro, seul, se promenant dans l’obscurité, dit du ton le plus sombre : O femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante ! … nul animal créé ne peut manquer

couverture, respirait d’une haleine lente, tandis qu’Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s’arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle 9 tamponna un mouchoir sur sa bouche pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s’accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L’hôtel se

couverture, respirait d’une haleine lente, tandis qu’Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s’arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle tamponna un mouchoir sur sa bouche pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s’accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L’hôtel se

sommes seuls. GEORGES. Moi, je ne fais pas de bêtises ; c’est toi qui en dis. GENEVIÈVE. Comment ! tu ne fais pas de bêtises ? Et ce fossé où tu m’as fait descendre ? Et je ne pouvais plus en sortir ; et tu as eu si peur que tu as pleuré. GEORGES. J’ai pleuré parce que tu pleurais et que cela m’a fait peur. Tu vois bien que je t’ai tirée du fossé. 7 GENEVIÈVE. Et ce petit renard que tu as tiré d’un trou ! Et la mère qui est accourue furieuse et qui voulait nous mordre ! GEORGES.

concernées, ont été changés. À mes enfants À toutes ces femmes qui rêvent, en silence, de s’en sortir un jour. –7 – Préface J’ai reçu par un bel après-midi glacial de janvier le manuscrit de Samia Shariff. On m’expliquait sommairement que cette femme d’origine algérienne, mère de six enfants et vivant au Canada, y raconte sa tragédie et leur fuite risquée de son pays. Son éditeur me demandait d’abord de lire ce récit et m’invitait également, s’il y avait lieu, à en rédiger la préface. Je pris peur