La Femme Qui Pleure De Picasso

‘’Cortège’’ (p.14), ‘’Marizibill’’ (p.16), ‘’Le voyageur’’ (p.17), ‘’Marie’’ (p.20), ‘’La blanche neige’’ (p.21), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (p.22), ‘’L’adieu’’ (p.24), ‘’Salomé’’ (p.23), ‘’La porte’’ (p.25), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (p.25), ‘’Saltimbanques’’ (p.27), ‘’Le vent nocturne’’ (p.29), ‘’Lul de Faltenin’’ (p.29), ‘’La tzigane’’ (p.30), ‘’L’ermite’’ (p.31), ‘’Automne’’ (p.33), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (p.34), ‘’Rosemonde’’ (p.37), ‘’Le brasier’’ (p.38), ‘’Nuit

mort de la Vierge » qui n’avait jamais été nommé comme tel on appelait cela la dormition. C’est l’apogée du réalisme à laquelle il s’expose. Mais ce tableau sera refusé car il est allé trop loin dans sa peinture, car ses apôtres sont en train de pleurer, de plus le corps de la vierge. C’est un personnage qui est inattaquable pour les religieux, car il la représente gonflée en prenant exemple sur le corps d’une prostituée et son visage est vert représentant la couleur d’un cadavre. En mettant le

« une canonnade éclatante ». A l'arrière plan, les fumées rendent le ciel «  à peine bleuté ». 20 On les amène au pied de l'affreux mur. C'est bien. Ils ont été battus du vent contraire. L'homme dit au soldat qui l'ajuste : Adieu, frère. La femme dit : - Mon homme est tué. C'est assez. Je ne sais s'il eut tort ou raison, mais je sais Que nous avons traîné le malheur côte à côte ; Il fut mon compagnon de chaîne ; si l'on m'ôte Cet homme, je n'ai plus besoin de vivre. Ainsi Puisqu'il est

automobiles en retard filent en klaxonnant bruyamment. « Broumm ! Tût, tût ! Joyeux Noël ! » Et soudain la voilà. Une petite fille qui marche pieds nus dans la neige. Elle est bleue de froid. C’est une enfant rieuse et triste. Elle ne sourit pas et ne pleure jamais. Elle est douce et muette, sans aucun reproche avec un long tressaillement à votre approche… C’est la petite vendeuse d’allumettes. Mais… la nuit tombe. Le froid descend. Les passants relèvent leur col et accélèrent le pas. La petite fille

le bonheur d'être triste- Victor Hugo - Celui qui ne craint pas d'agir ne craint pas de parler- Sophocle - Un petit chez soi vaut mieux qu'un grand chez les autres- proverbe chinois - Maison de paille où l'on rit vaut mieux qu'un palais où l'on pleure- - L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse-Aloysius Bertrand - La jeunesse heureuse est une invention de vieillards- Paul Guimard - Un frère est un ami donné par la nature- Gabriel Legouvé

années, et elle perdure. Le combat que je mène est contre ce quartier, je suis le seul soldat dans les tranchés mais je trouverai le moyen de gagner. Je ne veux pas le quitter loin de là puisque c'est celui qui m'a construit, qui m'a vu sourire et pleurer... je veux tout simplement lui apprendre en quelques sorte une leçon, apprendre à leurs habitants qu'on peut tous réussir, qu'on soit riche ou pauvre, blanc ou noir. J'ai un destin semble-t-il enflammés puisque ces flammes ne s'éteigne jamais

une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1587 Les trois âges de la femme et la mort d’Hans Baldung, 1510. A la Marquise Ce poème a été écrit par Corneille, grand dramaturge du 17ème siècle en hommage à Thérèse du Parc, comédienne très courtisée dans la troupe de Molière. Dans cette œuvre, Corneille

1917, année de la création de Parade au théâtre du Châtelet, à Paris. L’initiative de la composition de Parade revient à l’écrivain Jean COCTEAU (1889/1963). Il en écrit l’argument et s’entoure du compositeur Erik SATIE (1865/1925), du peintre Pablo PICASSO (1881/1973) pour les décors et les costumes ainsi que de Serge de DIAGHILEV (1872/1929), directeur des BALLETS RUSSES. La chorégraphie de Parade sera confiée au danseur Léonide MASSINE (1896/1979). La Première de Parade donne lieu à un véritable scandale

vivent en Italie. Vers 1883 - 1884, la famille est à Bologne. Guillaume apprend à lire et à écrire en italien; sa mère lui parlait polonais et italien. La famille s'installe à Monaco en 1887 dans des conditions difficiles. Angelica, fichée comme "femme galante" par la police, gagne probablement sa vie comme entraîneuse de casino sous le nom d'Olga de Kostrowitzky. Les deux frères sont élèves au collège Saint-Charles de Monaco. Wilhelm se lie avec James Onimus, Louis de Gonzague Frick et René Dupuy

la vitrine     Les mannequins victimes     Et passaient enchaînées Intercalées dans l'an c'étaient les journées neuves Les vendredis sanglants et lents d'enterrements De blancs et de tout noirs vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du diable a battu son amant Puis dans un port d'automne aux feuilles indécises Quand les mains de la foule y feuillolaient aussi Sur le pont du vaisseau il posa sa valise                           Et s'assit Les vents de l'Océan en soufflant