La Fête à la maison

et part à la recherche de ses origines : l’enfance.Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie. Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles. A travers les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel

(peut-être même de son auteur), un homme ordinaire parfaitement lucide qui, malgré lui, sombre peu à peu dans cet obscur gouffre sans fond qu’est la démence. Se sentant observé par un être invisible et surhumain qu’il nomme « Le Horla », le narrateur ne peut dormir et se rend lui-même compte de sa folie. De plus, chaque matin, ce dernier constate que la carafe d’eau et la bouteille de lait qu’il a laissées pleines la veille ont été bues. Désemparé, le narrateur fait un voyage après quoi il se sent

Fiche de lecture   Titre: La boîte à merveille  Genre: Roman  Auteur: Ahmed Sefrioui  Date de parution:1954  Edition: Librairie des Ecoles.  SES OEUVRES  Le Chapelet d’ambre (Le Seuil, 1949) : son premier roman où il évoque Fès (il obtient le grand prix littéraire du Maroc, pour la première fois attribué à un Marocain).  La boîte à merveille (Le Seuil, 1954) : La ville de Fès vue à travers le regard du petit Mohammed. Ce roman ethnographique apparaît comme le texte

L’herbe bleue Situation initiale Une jeune fille de 15 ans vivant aux Etats-Unis mène une vie normale sans trop de problèmes graves s’apprête à déménager. Élément perturbateur Ses amis l’invitent à une fête ou ils commencent à jouer à «il court le furet». Mais elle ne savait pas que dans 10 des 14 verres il y’avait de la drogue. Après cette journée elle commence à essayer toute sorte de drogues. Péripéties Après que son petit ami l’ait trompée, elle fait une fugue par peur et car elle voulait plus

Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Le Grand Meaulnes - Alain Fournier ''Une longue maison rouge avec cinq portes vitrées , sous les vignes vierges , à l'extrémité du bourg.'' Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Le Grand Meaulnes - Alain Fournier Dès le premier chapitre du Grand Meaulnes, Alain-Fournier décrit l'école du village où il vécut de 1891 à 1898 ( dans le roman, il a donné à Epineuil-le-Fleuriel le nom de Sainte-Agathe) Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Le

notamment à rendre l’œuvre plus proche de l’élève. En principe, pour initier le jeune lecteur à l’univers interne du roman, il est de grande nécessité de le faire disposer des moyens analytiquement élémentaires permettant l’assimilation relative de l’œuvre en sa totalité. L’élève doit être plus proche de l’œuvre et l’œuvre plus proche de l’élève : c’est-à-dire l’aider à avoir les quelques compétences qui lui permettent de comprendre son roman : Autrement, on est appelé à essayer

d’organisation de Famadihana. Il a seulement été produit pour raconter les vécus des descendants de feu Rakotovao Maurice durant le « Famadihana » qu’ils ont co-organisé avec tous les descendants de feu Rakotomanana du 30 août 2007 au 01er septembre 2007. C’est tout simplement un souvenir écrit de ce qui s’est passé durant le  « famadihana » du 30 août 2007 au 01er septembre 2007. Documentation faite par : Lovaniaina Rakotonjanahary FAMADIHANA Le Famadihana a commencé par la préparation du tombeau

s’installer près de New York pour devenir broker. Sa famille, issue du Middle West, est aisée mais beaucoup moins que celle de sa cousine Daisy. Celle-ci est mariée à Tom Buchanan, un macho satisfait, infiniment riche et raciste. Nick passe la journée chez eux, où il fait la connaissance de Jordan Baker qui lui apprend deux choses : Tom a une amante à New York, qui le harcèle au téléphone sans gêne, Nick vit juste en face de chez homme mystérieux et célèbre, le fameux Gatsby qui donne régulièrement de somptueuses

personnage principal du roman, la mère. Le lecteur apprend qu’elle a eu une vie a Civilisation, ma Mère !... est le cinquième roman de Driss Chraïbi. Il parait en 1972. L’œuvre est divisée en deux parties : dans la première, « Être », c’est le jeune fils qui prenden charge l’histoire alors que dans la seconde, « Avoir », c’est Nagib, l’ainé, qui est le narrateur. Le récit est chronologique : la première partie est consacrée à l’enfance et à l’adolescence, etla seconde, au début de l’âge adulte. Dans les

pour la famille. L’enfant est protégé depuis le ventre de sa mère. La belle mère, à qui revient cette charge, consulte les guérisseurs ou sorciers de la localité pour chercher les gris-gris nécessaires pour la protection de la grossesse de la mère. L’accouchement s’effectue dans un endroit caché, avec l’assistance de femmes âgées et bien expérimentées. Pour mesurer la gravité et le danger de cette phase on la comparait à une personne qui traverser un puit en marchant sur une tige de mil séchée. Dès