La Fille Maigre

Présentation des personnages principaux Antigone Fille d'OEdipe Physique Le Prologue nous la décrit comme la petite "maigre jeune fille noiraude" (p. 9). D'après Ismène : "Pas belle comme nous, mais autrement" (p. 29), d'après sa nourrice "elle n'est pas assez coquette !" (p. 17) et d'après elle-même : "je suis laide !" (p. 96), "je suis noire et maigre" (p. 41). Antigone aurait voulu être un garçon : "Ai-je assez pleuré d'être une fille !" (p. 29). Moral et évolution Antigone aime la

Il vit, une fois, une jeune femme de vingt ans, une fille du peuple, large et forte, qui semblait dormir sur la pierre ; son corps frais et gras blanchissait avec des douceurs de teinte d’une grande délicatesse ; elle souriait à demi, la tête un peu penchée, et tendait la poitrine d’une façon provocante ; on aurait dit une courtisane vautrée, si elle n’avait eu au cou une raie noire qui lui mettait comme un collier d’ombre ; c’était une fille qui venait de se pendre par désespoir d’amour. Laurent

de montagnes et de forêts, il ne reste désormais plus rien dont les loups pourraient se nourrir. Les chèvres et les moutons sont enfermés dans l'étable, le daim est parti pour les derniers pâturages des pentes méridionales - les loups deviennent maigres et faméliques. Il y a si peu de chair sur eux qu'on pourrait compter leurs côtes à travers la peau, s'ils en laissaient le temps avant de bondir. Ces mâchoires dégouttantes de bave; cette longue langue; la guirlande de salive sur ces bajoues grises

Allemagne. Sur ce tableau, on peut voir deux corps déformés qui représentent les soldats revenant de la guerre blessés physiquement (« gueules cassées »). Il témoigne de la situation de pauvreté en Allemagne après la guerre avec le mendiant et la petite fille marchant pieds nu. La scène se déroule à Dresde en Allemagne, ville que les Alliés bombarderont 25 ans après la parution de ce tableau. Au premier plan, voit un soldat décoré d’une médaille, il n’a pas de jambes et se déplace sur une planche à roulettes 

grâce à son extrême et maladive avarice. Il est entouré de son épouse, "une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente", de sa fidèle et dévouée servante Nanon, et de sa ravissante et douce fille Eugénie. Le père Grandet administre toute la maisonnée en véritable despote, imposant à tous, malgré sa fortune, une existence austère et indigente entre les murs d'une maison froide et lugubre. Sa fille Eugénie est une âme noble et innocente, ignorant tout de la convoitise insatiable des hommes

hyper-complexées: Alors que 60% des fillettes de neuf ans déclarent "je me sens bien comme je suis", seulement 29% des jeunes femmes disent la même chose. La même enquête reporte que cette crise de confiance est due au conflit entre l'image qu'une fille a d'elle même et ce que la société lui dit d'être. Une enquête récente montre que 53% des écolières de 13 ans interviewées ne sont pas satisfaites de leur corps. A partir de 18 ans elles sont déjà 78%. Dans une autre enquête (6), 75% des femmes

produit que ne regardons. Ces mêmes figurants sont esclaves de leurs condition. Car pour continuer ce métier, il faut rester maigre, beau,… rester dans un certaine style obligatoire. Malheureusement, ces personnes ne pose pas seulement le problème de la consommation forcé. En effet, elles influencent également le regard que nous portons sur la société en général. Quelle fille aujourd'hui ne veux pas ressembler a ces "jolies poupées" des pubs pour maillot H&M ??? Quel homme ne veux pas ressembler

traits pour rendre cette leçon, à nos yeux, un véritable viol : à moitié curé, à moitié instituteur, d'un certain âge comme l'indique sa barbe blanche, il s'attaque à des jeunes filles naïves dont il pourrait être le grand père. De plus, la jeune fille semble être une enfant attardée, comme le laisse entendre le décalage entre son âge (dix-huit ans) et ses propos tenus. Toute dimension morale est cependant refusée, le professeur se renferme ainsi dans la mauvaise fois et déclare que seul l'âge pourrait

bouquet et ce fameux chat qui a tant égayé le public. Au premier regard, on ne distingue ainsi que deux teintes dans le tableau, deux teintes violentes, s'enlevant l'une sur l'autre. D'ailleurs, les détails ont disparu. Regardez la tête de la jeune fille: les lèvres sont deux minces lignes roses, les yeux se réduisent à quelques traits noirs. Voyez maintenant le bouquet, et de près, je vous prie: des plaques roses, des plaques bleues, des plaques vertes. Tout se simplifie, et si vous voulez reconstruire

pouvoir de Marguerite Duras sur elle-même. Il s’agit donc d’une libération, cette libération nous la démontrons par quelques extraits où sont décrit les ébats de la jeune fille de 15 ans et demi qu’était Duras à cette époque avec ce riche chinois de 32 ans. « La peau est d’une somptueuse douceur. Le corps. Le corps est maigre, sans force, sans muscles, il pourrait avoir été malade, être en convalescence, il est imberbe, sans virilité autre que celle du sexe, il est très faible, il paraît être à