La Fille Maigre

Il fait des études de droit à Paris, puis travaille dans la publicité aux cotés de Jacques Prévert et de Jean Aurenche avant de devenir le secrétaire de Louis Jouvet en 1928. Il épouse en 1931 la comédienne Monelle Valentin dont il aura une fille Catherine, née en 1934, qui deviendra elle comédienne. Le couple divorce en 1953 et Anouilh épouse la comédienne Nicole Lançon qui deviendra sa principale collaboratrice et avec laquelle il aura trois enfants : Caroline, Nicolas et Marie-Colombe.

ses gardes... Les personnages principaux Antigone : Fille d'OEdipe Le Prologue nous la décrit comme la petite "maigre jeune fille noiraude" (p. 9). D'après Ismène : "Pas belle comme nous, mais autrement" (p. 29), d'après sa nourrice "elle n'est pas assez coquette !" (p. 17) et d'après elle-même : "je suis laide !" (p. 96), "je suis noire et maigre" (p. 41). Antigone aurait voulu être un garçon : "Ai-je assez pleuré d'être une fille !" (p. 29). Antigone aime la vie : "Qui se levait la première

par les « Blancs », c’est son but. Jicky : Jeune fille de 16 ans qui fait parti de la bande, elle est très dévergondée. Elle couche avec Lee assez souvent. Dick : Jeune homme maigre de la bande âgé de 15 ans Judy : Fille de la bande qui boude toujours, une rabat-joie. Betty-Jane : Fille de la bande assez mal faite mais à une odeur incroyable. C’est elle qui possède une guitare et la prête pour que Lee puisse y jouer. Susie lan : Jeune fille blonde de la bande assez ronde. Lee dit que toutes

au point de mentir à ses parents en leur cachant sa présence. Lou a dans sa classe un garçon prénommé Lucas dont elle est secrètement amoureuse. Nolwenn Surnommée No, c'est une jeune SDF de dix-huit ans. Au moment de sa rencontre avec Lou, elle est maigre, sale et affamée. No n'a pas eu une enfance facile. Née d'un viol, elle est rejetée par sa mère et élevée par ses grands-parents. A la mort de ceux-ci, c'est sa mère qui la récupère. Elle se met alors à la battre. Nolwenn est finalement placée en

conquérir, s’en repaître à la force des ongles et des dents » (V.202). Et il reproduit bientôt l’acte de son père : « Saccard, autrefois, prenant la misérable Rosalie sur une marche [. .. ] et aujourd’hui Victor violentant à son tour la première fille que le sort lui livrait. » (V.202). Les deux frères représentent donc deux figures antithétiques de l’hérédité, tant par le caractère de leur mère que par le milieu dans lequel ils ont vécu. Les romans naturalistes ont suscité beaucoup d’accusations

SM: “Chains, ropes, leather restraints, hand­cuffs, hoods, gags, and blindfolds [are] the most restrain­ing devices used” (Weinberg, Williams, et Moser 383). D’abord, la corde de l’espace poétique hébertien sert à se pendre comme dans “La Fille maigre”: “je me pendrai / à la place de son coeur absent” (29) ou encore dans “Vieille image”: la corde que nous tenons et la poutre d’ébène que nous cherchons Au grenier De la plus douce tourelle. (28) C’est aussi la corde qui lie la femme

FICHE DE LECTURE _ Les yeux baissés _ Editions du Seuil _ POINTS _ Tahar Ben Jelloun , écrivain marocain de langue française est né en 1944 _Le Racisme expliqué à ma fille, 1997 _L'Enfant de sable, 1985 Les yeux baissés est un roman qui traite l'émigration mais aussi le problème d'une société traditionnelle ou la narratrice adolescente ne trouve plus d'intérêt à son village marocain d'origine et qui veut faire partie intégrante de la société française, à son arrivée en France à 11ans

l’auteur développe sur la peine de mort, dans la troisième partie, prennent appui sur le récit précèdent qui devient alors une illustration des propos avancés. Dans cette seconde partie, Claude se lie d’amitié avec un autre détenu, Albin, qui partage sa maigre ration de nourriture avec lui. Le directeur des ateliers, surnommé M-D, n’apprécie pas le condamné Claude, celui-ci semble exercer trop d’autorité sur ses camarades prisonniers. Aussi, M-D décide-t-il de changer Albin de quartier de prisonnier. Claude

espiègle Qui se cache sous l'herbe sècheAuteur:Raymond RADIGUET Justification: Ce poème de Raymond Radiguet est très intéressant avec la personnification de l'arbre. Bal des pendusAu gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins.Messire Belzébuth tire par la cravate Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel, Et, leur claquant au front un revers de savate, Les fait danser, danser aux sons d'un vieux Noël !Et les pantins choqués

portraits des textes A, C et D inspirent de lapitiéet de lacompassionau lecteur.Texte A : la Grande Nanon est décrite comme une « pauvre fille » et une « fille rebutée »,c'est-à-dire victime de rejets liés à son physique.Texte C : le lecteur a pitié de Mangeclous car il est malade. Son apparence physique estsymptomatique de sa maladie, la Tubercolose : « maigre », « osseux », « toux vibrante ».L'anecdote expliquant son surnom vise également à susciter la compassion du lecteur : il s'appelleainsi