La Fin de Satan

Histoire et promesse de descendance Gn 16,1-17,27 : Alliance et descendance Gn 18,1-33 : L'annonce à Sara Gn 19,1-38 : Sodome Gn 20,1-21,34 : Abraham et les nations Gn 22,1-23,20 : Abraham : l'épreuve de la foi Gn 24,1-25,11 : Abraham, la fin d'un patriarche Le cycle de Jacob : Gn 26-35 Gn 25,19-26,35 : Jacob et Esaü L'histoire de Joseph : Gn 37-50 LA GENESE: ce nom a été donné au livre d'après la traduction grec; il signifie la naissance (l'origine de la terre du

analytique 13 I/ Mise en garde au lecteur a. Lecteur : premier destinataire -v.40 périphrase et groupe nominal : chacun de nous est concerné -utilisation de « nous » tout au long du poème (cas général) mais utilisation de « tu » pronom personnel à la fin b. Son partenaire dans le pêché -v.3 «  aimables remords » oxymore : atténuation, l’homme aime ses erreurs -v.5 personnification : les pêchés ne sont plus une partie mais l’homme lui-même c. Volonté de choqué -v.4, v.17-18, v.20, v.21 comparaison :

à la destruction qui le fascine: fatalité du désir. - Révolte (3 poèmes): monde où les tentations charnelles sont assouvies. On cherche maintenant une satisfaction spirituelle. On va rejeter Dieu qui n'a pas répondu et on célèbre l'alliance avec Satan: moment de sarcasme. - La mort (6 poèmes): apparaît comme le dernier espoir, mort salvatrice, mort qui console: espoir de voyage donc de soulagement de la souffrance, peut-être un inconnu qui sera meilleur. Logique de regroupement : Cette construction

Abel et Caïn I Race d'Abel, dors, bois et mange;Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fangeRampe et meurs misérablement. Race d'Abel, ton sacrificeFlatte le nez du Séraphin! Race de Caïn, ton suppliceAura-t-il jamais une fin? Race d'Abel, vois tes semaillesEt ton bétail venir à bien; Race de Caïn, tes entraillesHurlent la faim comme un vieux chien. Race d'Abel, chauffe ton ventreÀ ton foyer patriarcal; Race de Caïn, dans ton antreTremble de froid, pauvre chacal! Race d'Abel

à Paris. Contexte historique : Charles Baudelaire fait partie du courant littéraire du symbolisme.  Le mouvement symboliste, dans son sens très large, commence avec la publication de Les Fleurs du mal de Baudelaire en 1857 et s’étend jusqu’à la fin du siècle. Un recueil : les fleurs du mal Les Fleurs du Mal est un recueil de Charles Baudelaire, qui intègre la quasi-totalité de ses œuvres depuis 1840. Les Fleurs du mal a eu trois titres successifs : "Les Lesbiennes" en 1845,référence à Sapho

L'effet des bonnes actions et des bonnes paroles Le secret des largesses de Dieu aux gens Dieu aide ceux qui soutiennent Sa religion Se quereller affaiblit Les cœurs ne s'apaisent qu'au souvenir de Dieu La ruse de Satan est faible Obéir à la majorité détourne du droit chemin Les secrets dans le flux des bénédictions Obéir au Messager c'est obéir à Dieu Un petit groupe de croyants peut vaincre une majorité d'incroyants Dieu fait prévaloir

Quintus Septimus Florens Tertullianus, dit Tertullien, né entre 150 et 160 à Carthage (Tunisie) et décédé vers 220 à Carthage, est un écrivain de langue latine issu d'une famille berbère romanisée et païenne. Il se convertit au christianisme à la fin du II siècle et devient la figure emblématique de la communauté chrétienne de Carthage. Théologien, père de l'Église, auteur prolifique, catéchète, son influence sera grande dans l'Occident chrétien. Il est considéré comme le plus grand théologien chrétien

série de la Légende des siècles 1878 : Le Pape 1879 : La Pitié suprême 1880 : L'Âne 1880 : Religions et religion 1881 : Les Quatre Vents de l'esprit 1883 : Série complémentaire de la Légende des siècles Recueils posthumes : 1886 : La Fin de Satan 1891 : Dieu et 1941 Choix de poèmes parmi les manuscrits de Victor Hugo, effectués par Paul Maurice : 1888 : Toute la Lyre (1893, 1893, 1835-1937), 1893 : Nouvelle série de Toute la Lyre 1898 : Les Années funestes 1902 : Dernière Gerbe

mortels » Le poète s’identifie ici à son recueil : il est saturnien, c’est à dire faible, maudit, mais inspiré aussi. Le titre choisi est ainsi justifié. Il est important de situer le penchant saturnien de Verlaine dans le contexte de la poésie de cette fin du XIXème siècle. Certains poèmes de Baudelaire et de Laforgue font écho à ceux de Verlaine. Nous venons de voir l’ouverture des Poèmes Saturniens. Nous pouvons la comparer avec le poème liminaire des Complaintes de Jules Laforgue, et avec l’Epitaphe

juillet, Gilles était à Reims pour le sacre du Dauphin: il fut à l'honneur car il porta la Sainte Ampoule. Début septembre, Jeanne d'Arc ayant le désir de le voir près d'elle, on put voir le sire de Rais lors de l'attaque manquée contre Paris. A la fin de septembre, le nouveau roi Charles VII se décida à récompenser son valeureux maréchal: il lui accorda une orleure de fleurs de lis d'or en supplément à ses armoiries (qui sont "d'or, à la croix de sable"); à cette occasion, le roi parla "de