La Fin Du Livre Le Père Goriot

du naturalisme : Honoré de Balzac. Celui-ci a fait un livre qui se rapporte au même sujet (le père Goriot) : comment une personne est reliée à comment on est. Comédie humaine. Et si l’on avait également exploité le thème ____ aurions-nous eu les mêmes personnages? Conclusion de fin de paragraphe : caractéristiques du courant du réalisme. Dans thérèse raquin on parle de l’argent. Parce que dans l’extrait ____, thérèse...... En bref, le livre T. R. se rapporte au réalisme, car la thématique de l’argent

et à l'aide de preuves puisées dans les textes de Molière et de Balzac et dans vos connaissances littéraires qui conviennent au sujet de rédaction. Les textes Il s'agit d'un extrait de Dom Juan de Molière et d'un autre tiré du Père Goriot de Balzac. PREMIER EXTRAIT tiré de Dom Juan (extrait de l'acte 1, scène II) Auteur : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, auteur dramatique français né en 1622 et décédé en 1673. Don Juan discute avec son serviteur, Sganarelle

groupe sculpté, l'artiste n'a pas non plus respecté les normes académiques imposant une ou deux figures seulement et un sujet tiré de l'Antiquité ou de l'Histoire Sainte. Il s'est inspiré de Dante. Ugolin reste son œuvre la plus reconnue, celle d'un père emprisonné torturé entre deux choix possibles : mourir ou manger ses enfants. 2°) la peinture Du point de vue de la technique picturale, le réalisme devient l'ensemble des moyens mis en œuvre pour refléter le plus fidèlement possible une vision cohérente

BLANC N° 2 Eléments de réflexion fournis par une correctrice, Mlle Aubertin Christelle 1. La question : Corpus : le roman et ses personnages - Texte A : Émile Zola, Au Bonheur des dames, chapitre XIV (1883). - Texte B : Honoré de Balzac, Le Père Goriot (1835). - Texte C : Guy de Maupassant, Bel-Ami, IIe partie, chapitre X (1885). Question (4 points) Comment, dans ces extraits, l'auteur met-il en scène le goût de la réussite qui anime ses personnages ? • Analyse du sujet : Comment,

moins présent dans Le Rouge et le Noir en tant que véritable couleur, que ce soit celle des habits ou celle de lieux du roman. Il y a cependant une décoration dont le ruban est de couleur rouge, la Légion d’honneur que le chirurgienmajor, premier père substitutif de Julien, lègue à son protégé. L’opposition amenée par le titre peut par conséquent être reliée à l’opposition explicitée par le narrateur au chapitre V entre carrière militaire et carrière ecclésiastique. Le rouge, couleur de la légion

Balzac va utiliser son épilogue afin d'énoncer sa conclusion . Il y a une certaine fascination pour la dimension romanesque de l'existence chez Derville qui ressemble par certains côtés à Balzac et qui en est en tout cas le porte-parole à la fin du livre. On peut l'identifier à l'auteur : c'est lui qui tient les fiches, qui connaît les secrets, qui fait la description des horreurs de la société pour tirer la leçon qui est de quitter Paris ; il est le philosophe de la société qui la condamne en

situations contraires à la courtoisie. Par la suite, on ne parle plus de Perceval que brièvement avant la fin de la partie achevée par Chrétien de Troyes : Après cinq années de vaines recherches, il rencontre un ermite, son oncle, qui l'instruit dans les voies de l'esprit et lui révèle que le Graal est un calice (objet sacré contenant une hostie). Apportée chaque jour en procession solennelle au père du roi, cette hostie lui permet depuis quinze ans de se maintenir en vie. Après que Perceval a reçu les

lui parler et lui reste muet. La femme s’agite, s’exclame, l’homme finit par se lever en jetant quelques pièces de monnaie sur la table : il part. La femme, restée seule, laisse couler ses larmes silencieusement. Version 2 Il faisait beau en cette fin d’après-midi. Suzanne avait donné rendez-vous à Pierre, son fiancé, à la terrasse d’un café. Tandis qu’elle buvait son verre d’eau citronnée, elle l’observait siroter son café : il lui semblait nerveux et pressé mais elle se lança tout de même. Elle

jour la sienne ? TEXTE 2 Balzac, le Père Goriot (1835), chapitre I 1 En faisant croire à l’avare Monsieur de Rênal que Valenod le voulait comme précepteur de ses propres enfants, Julien a obtenu une augmentation de cinquante écus par an. 2 Grâce à l’intervention de Madame de Rênal, Julien a échappé au danger qu’il aurait encouru si Monsieur de Rênal, royaliste, avait découvert, caché dans la paillasse qu’il inspectait, le portrait de Napoléon. Le père Goriot présente un jeune noble provincial

Introduction sur le roman « […] le critique qui, après Manon Lescaut, Paul et Virginie, Don Quichotte, Les Liaisons dangereuses, Werther, Les Affinités électives, Clarisse Harlowe, Emile, Candide, Cinq-Mars, René, Les Trois Mousquetaires, Mauprat, Le Père Goriot, La Cousine Bette, Colomba, Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre-Dame de Paris, Salammbô, Madame Bovary, Adolphe, Monsieur de Camors, L'Assommoir, Sapho, etc., ose encore écrire : « Ceci est un roman et cela n'en est pas un », me paraît