La Fin Justifie T Elle Les Moyens Camus

ANTICIPÉE DE FRANÇAIS ORALE DESCRIPTIF DES LECTURES ET ACTIVITÉS – classe de 1ère ES Lycée français de Valence Année scolaire 2011-2012 SÉQUENCE 1 : La femme baudelairienne, entre spleen et idéal   Objet d’étude : Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours Support: Etude d’une œuvre intégrale : les Fleurs du mal, de Baudelaire. Problématique : en quoi la représentation de la femme dans les Fleurs du mal synthétise-t-elle la poétique de l’auteur ? Lectures analytiques : Texte 1 : « Parfum

dans le but de protéger des intérêts privés. La démocratie quant à elle, est un régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par le peuple. « La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité » Albert CAMUS. L’idéal d’une démocratie moderne est la réparation des injustices de la nature et la réduction des inégalités. Le terme « démocratie » désigne un ensemble de principes philosophiques et politiques suivant lequel un groupe social organise son fonctionnement

est-il plus long que le précédent ? [Parce que l’enfermement a pris tout l’espace mental du condamné. Ce présent dévore en qq sorte le passé] 4. Quelle phrase vient renforcer la structure que l’on a dégagée ? [3x « condamné à mort ». Début, milieu, fin comme une obsession, un leitmotiv. Noter le point d’exclamation.] 5. A propos du § sur le passé : comment Hugo fait-il pour que l’on se sente proche du condamné ? [« Un homme comme les autres ». Ce n’est pas un monstre, il pourrait être l’un d’entre

Marseillais moyen. C’est un immense paradoxe : on a peine à croire que l’événement débute dans moins de deux mois ! » affirmaitYann Terrou, correspondant local d’Europe 1.5 2) Un fort volontarisme des élus et des rivalités territoriales freinant un travail collectif entre les collectivités territoriales Une des particularités de cette année Capitale est la taille du partenariat qui concerne une centaine de communes, onze collectivités et leurs groupements, « une réalité qui justifie un jeu collectif »

ainsi servir de caution à toutes sortes d’impératifs moraux. Elle est axiologiquement équivoque (axiologie : science des valeurs). Elle est au fondement de l’humanisme classique et de la charité chrétienne mais c’est aussi en son nom qu’on a pu justifier l’égoïsme individualiste, la lutte pour la survie. NIETZSCHE, La Généalogie de la morale  « La vie procède essentiellement, c'est-à-dire dans ses fonctions élémentaires, par infraction, violation, exploitation, destruction, et

du peuple de Rome, le remariage de l'empereur romain Claude avec sa nièce Agrippine la Jeune était clairement considéré comme incestueux. Pour apaiser les dieux, on s'adonna à quelques rites purificatoires, et le mariage finit par être accepté. Au Moyen Âge, la parenté spirituelle comptait aussi pour définir l’inceste : toute union parrain-filleule ou marraine-filleul était ainsi prohibée, mais aussi toute union entre un parent (père ou mère) et le parrain ou la marraine de l’un de ses enfants. L’inceste

est un humanisme. C. G. Jung, Psychologie de l’inconscient. Albert Camus, Le mythe de Sisyphe. Gilles Lipovetski, L’ère du vide. Michel Maffesoli, La part du Diable. Jean-Luc Berlet, La cinquième Cavalière. Quatre penseurs de l’absurde : Sade, Sacher-Masoch, Kafka et Mishima. « L’absurde, c’est la raison lucide qui constate ses limites ». Albert Camus Le thème de l’absurde est tout à fait central dans la littérature

aient même eu le désir conscient de réaliser quelque chose que le bon sens leur indiquait irréalisable. Comment comprendre qu’un individu veuille délibérément l’inaccessible, qu’il entreprenne des travaux pharaoniques, des conquêtes apparemment sans fin ou perdues d’avance, des voyages périlleux dont il sait décemment ne pouvoir revenir vivant, qu’il passe sa vie à chercher la pierre philosophale, ou qu’il aspire à la sainteté ? Ce que l’on se demande ici, c’est pourquoi désirer l’impossible ? La

famine, vices, adultère, inceste. Sous la forme d’une suite numérique s’organise une série ouverte et indéfinie. La Création est comme frappée d’incohérence. Tout se défait et s’agite en tout sens. Un tel kaléidoscope ressemble à un cercle sans fin, à la circonférence improbable. On songe aux réflexions géométriques du jeune Pascal sur le Cône tournant, aux courbes infinies13. Vraiment « l’imagination dispose de tout »14, et notre raison en est indisposée. Les portes de l’imaginaire s’ouvrent

près de moi ? ». «  Le ciel te rendre heureux [ton voyage], et te donne un si bon Génie, que tu me survives autant de siècles que le sujet qui t’a fait naître survivra en m’accompagnant au cercueil ». IV. Dix-septième siècle 1. Jean- Pierre Camus (1584-1652) Il voulait détourner les lecteurs des romans profanes, pleins de peintures lascives et d’immortalité, en leur offrant des histoires intéressantes, conformes à leur gout de l’aventure et de l’extraordinaire, mais édifiantes, propres à leur