La Folie D Oreste

et le sentiment ordinaire des hommes. » 6 R É P O N S E S A U X Q U E S T I O N S1. Les liens qui unissent Oreste et Pylade sont ceux d’une indissoluble amitié : « un ami si fidèle » (v. 1) ; « Prêt à suivre partout le déplorable Oreste, […] Et de moi-même enfin me sauver tous les jours. » (v. 46 à 48). Oreste, si résigné, reprend espoir à sa simple vue. Pylade se montre très attaché à Oreste, confiant sa détresse d’être séparé de lui dans le passé (voir champ lexical du chagrin des vers 13 à 16)

est sans doute l’une des plus grande souffrance de cette passion. Andromaque de Racine en est un bon exemple : Oreste fou amoureux d’Hermione, qui est elle, fiancée à Pyrrhus. Un amour impossible qui termine par Oreste qui sombre dans la folie, suite au suicide d’Hermione, qui s’est donnée la mort après l’assassinat de Pyrrhus. Cette pièce montre bien que trop aimer, peut pousser à la folie et donc devenir quelque chose de malsain. La passion amoureuse est souvent synonyme de souffrance, quelque

l’esclavage. Pyrrhus est le fils d’Achille (héros grec de la légende de Troie). Il a capturé Andromaque et son fils Astyanax. Il doit épouser Hermione, fille de Ménélas et d’Hélène. Mais il aime Andromaque, sa prisonnière. Oreste est ambassadeur des Grecs. Il doit récupérer Astyanax. Oreste aime Hermione. Celle-ci aime Pyrrhus. ü Hernani de Victor Hugo J’introduis. Victor Hugo : (1802-1885) Il est considéré comme le plus important écrivain romantique. Dans sa Préface de Cromwell3 (1827), il caractérise

point d’accalmie ? Ma chemise est tachée des souillures passées. La catharsis n’a-t-elle donc pas fonctionnée ? Chaque jour j’écris les plus belles tragédies, et larmes ne cessent de couler, O quelle folie !’ Déclama dramatiquement le chétif qui semblait maintenant animé d’un nouveau souffle. - Oreste, c’était déjà assez difficile de te sortir de ta chambre acre d’encre, donc fait au moins un effort de ne pas parler en vers, cela allègerai la conversation. - Que dis-tu ! Il n’y a rien de plus noble

Pierre-Elie Commentaire – La folie d’oreste Jean Racine est l’un des plus grands dramaturges de son époque. Il marqua le 17eme siècle notamment en 1667 où il dévoila son œuvre Andromaque pur le Roi de France Louis XIV. Ici la dernière scène, sans doute la plus intéressante, nous expose à la foi de façon explicite et implicite la folie d’Oreste. Après avoir assassiné Pyrrhus pour les beaux yeux d’Hermione, celle-ci se suicide par passion envers Pyrrhus, ce qui engendre la folie d’Oreste. Dans un premier

délaissée par celui-ci ; Oreste (le fils d‘Agamemnon) d’un autre côté aime follement celle-ci et espère que l’amour de Pyrrhus pour Andromaque le poussera a lui laisser Hermione. Quand à Andromaque, elle subit le chantage de Pyrrhus et est partagée entre sa fidélité à son mari et à sa mémoire et son désir de sauver son fils prisonnier. Soumise aux pressions de Pyrrhus elle finira par accepter avec pour projet d’ensuite se suicider. Hermione folle de rage demande alors à Oreste de lui prouver son amour

cœur va monter le dilemme du père ( vers 102/105), entre l'honneur, le devoir et l'amour qu'il a pour sa fille. Il va très vite le résoudre en faveur de l'honneur. Le cœur va le présenter comme un criminel, plein d'audace (ubris), de démence, de folie. Ils condamnent le son comportement qui était dans la démesure. Le cœur ne va jamais nommer Hélène par son nom, mais par des formules péjoratives, tel qu'une femme qui a eu trop d'Hommes "le femme d'autrui" , il insiste sur et vont mettre

horreur tant la violence qui lui est associée est hors du commun. Injustement répudiée par son époux, cette femme est animée d'une telle fureur qu'elle en vient à commettre le plus abominable des crimes: tuer ses propres enfants, non dans un accès de folie, mais avec la froide détermination d'une femme bafouée et vengeresse, pleinement consciente de la portée de ses actes. Réalisée en 2009 pour un metteur en scène français, la traduction de Florence Dupont utilise une langue oralisée, actuelle et directe

Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à la qualifier « d'abattoir international en folie »2. Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté. Il est hostile à toute forme d'héroïsme, celui-là même qui va de pair avec la guerre. Pour lui, la guerre ne fait que présenter le monde sous la forme d'un gant, mais un gant que l'on aurait

épouser. Oreste, de son côté, aime d'un amour fou Hermione. Andromaque est partagée entre sa fidélité à la mémoire de son mari et son désir de sauver son fils, également prisonnier. Soumise aux pressions de Pyrrhus, elle finit par accepter de l'épouser, avec le projet secret de se tuer aussitôt. Hermione, ivre de colère, demande alors à Oreste de lui prouver son amour en assassinant Pyrrhus. Oreste s'exécute mais Hermione après le meurtre, rejette Oreste et se tue sur le cadavre de Pyrrhus. Oreste sombre