La Folie Le Fantastique L Angoisse

poésie, épitre. Méditation sur l’homme et sur soi. Dialogue maître /élève. Instruction des puissants sur leurs devoirs. Sentences, maximes, citation de la Bible, des auteurs antiques. Interpellation du lecteur en le questionnant. ERASME (éloge de la folie 1509) RABELAIS (pantagruel, gargantua 1534) MONTAIGNE (essais1580) EPOQUE PRINCIPES OBJECTIFS FORMES PRIVILEGIEES THEMES ESSENTIELS PROCEDES D’ECRITURE MANIFESTES THEORIES ECRIVAINS OEUVRES LA PLEIADE Seconde moitié du XVIème siècle

l’angoisse croît, il se tourne de nouveau vers « la petite fleur jaune au soleil ». Le verdict entraîne un choc modifiant radicalement sa perception du monde. Du coup, la fleur devient blanche comme un linceul. Cette vision est macabre mais également fantastique car elle est surnaturelle. De la même façon, tout à coup, la foule est perçue comme une horde de fantômes et le monde semble mourir autour de lui : tout devient blanc blafard. Sa vision du monde est alors transformée et suscite la peur chez le narrateur

Faubourg Quand ? Un soir d’automne au XIXe siècle L a nouvelle est raconté : narrateur omniscient Les personnages : le comte Athol, sa femme Véra qui est morte, son serviteur Raymond. Thème : l’amour est plus fort que la mort Genre : nouvelle fantastique PLAN DU TEXTE :* le présent : l’enterrement de Véra (flash back rapide sur le décès) *retour sur la scène de l’enterrement *description de la chambre de Véra *raconte leur rencontre, le mariage : c’est un amour fusionnel et exclusif

(Acte 1, scène 3) provient de la tradition biblique de l’animal impur, habité par les esprits mauvais5. Shakespeare y ajoute l’immolation démoniaque lors des cérémonies du sabbat6. Le « rat à queue coupée » (Acte 1, scène 3) relève du registre fantastique et de l’horreur : habitant de la terre, il se nourrit d’immondices, détruit les récoltes, pille les réserves alimentaires, se développe très vite et véhicule de redoutables épidémies comme la peste. À bord des navires, il est un hôte indésirable

Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie – de 1880 à 1890 – avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure à quarante-deux ans. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les

de défense », voire de refoulement d’un « type d’effroi » trop menaçant, et l’associer à « la pensée française », éprise, depuis au moins Descartes, d’une conscience transparente à elle-même, et alors, toujours quelque peu réfractaire au genre fantastique, et au romantisme allemand ? Finalement nous conservons la traduction ancienne, d’une part parce qu’elle est consacrée par l’usage, d’autre part parce qu’elle n’est pas sans une certaine beauté insolite, enfin parce que son impropriété même évoque

couleur : le bleu (l. 15 et 18), symbole de calme, de transparence ; le rouge (l. 27-28), annonçant le rougeoiement de la flamme dans l’incendie final ; le blanc (l. 28-29), couleur qui, chez Maupassant, annonce un danger et est associé au phénomène fantastique ; le noir suggéré par « la fumée », l. 26. La délicatesse des nuances (le bleu du ciel de printemps n’est pas le même que celui des toits d’ardoise) et le chatoiement des couleurs font penser à l’art des peintres impressionnistes ; – des notations

trois paragraphes d’une 15° de lignes, en respectant la méthode du commentaire, et en répondant aux trois pistes de lecture suivantes :    Le souci d’une description exacte : Zola, peintre naturaliste De la machine à l’animal : la dimension fantastique de la description La visée critique de Zola : entre horreur et fascination ZOLA – Le thème de la machine Etude comparative d’extraits de l’Assommoir, Germinal et Le Ventre de Paris Méthode : préparation à la question transversale PRESENTATION

Le portrait de Dorian Gray Ecrit en 1890, le Portrait de Dorian Gray se présente comme un conte philosophique et social, à la fois noir et fantastique. Utilisant le mythe de la jeunesse éternelle, mythifiée par des éloges dithyrambiques de Lord Henry Wotton, jeune dandy philosophe et excentrique, Wilde dans son unique roman emmène le lecteur dans un Londres de la fin du XIXème siècle à deux volets : l’un des beaux salons et du milieu de l’art et l’autre des bas-fonds sinistres et angoissants

lointaine, il rencontre un érudit local (le comte Sceniot). Il assiste à un mariage, il lui déplaît. Le narrateur dort dans la maison des mariés le soir de la nuit de noces. Cette nuit se termine par un drame. La mort est attribuée à un événement fantastique. Dans la Vénus d’Ille , l'anecdote biographique ne tient pas aux événements décalqués. Les événements réels sont dans l'histoire. Pierre Puygary est Monsieur de Peyrehorade. Mérimée l’imagine marié et avec un