La Folle Journée

entrevoir une intériorité d’ordinaire : dès lors il nous ouvre les portes du mystère humainqui nous demeure inaccessible face aux autres humains Mrs Dalloway de Virginia Woolf accompagne l’héroïne dont on suit toutes les pensées dans une seule journée Du côté de chez Swann de Proust : les errances amoureuses de Swann qui s’éprend d’Odette parce qu’elle lui rappelled une oeuvre d’art, est en proie à une jalousie qui le conduit à épier sous ses fenêtres meme si au fond Odette n’est pas “son genre”

d'Antigone, Anouilh ne respecte pas complètement la forme de la pièce de Sophocle. Il écrit le récit continu de la dernière journée de la petite Antigone. La pièce d'Anouilh ne comporte ni acte, ni scène, ce qui n'enlève cependant en rien le rythme classique de la tragédie. Les entrées et sorties des personnages permettent un découpage possible. L'extrait étudié se situe à la fin de la journée, Antigone va bientôt mourir. À la fin de cet échange avec Créon → une nouvelle forme de tragédie ? → une forme de

égarée par la peur, une folle qui ne délire même pas, qui est muette. Les signes d'une mauvaise nuit due à de mauvais rêves dont l'action destructrice se lit sur le visage de la femme au réveil dès le 2ème vers «tes yeux creux ». Elle a une apparence inhabituelle, son visage est abîmé. Elle semble avoir subi un traumatisme, un choc nocturne. Son teint n'est pour le moment pas décrit. Le poète essaie de lire en elle et fait des hypothèses. Il nous met en présence d'une femme folle et horrifiée de ce qu'elle

de question car c'était contre mes principes. Mon copain lui ne voulait pas garder l'enfant disant qu'il n'étais pas prêt a être père tout de suite. Le lendemain, on a mit au courant mes beaux parents. Ils ont conseillé fortement l'avortement. La journée d'après un rendez-vous a la clinique etait pris... Après avoir pris le rendez-vous mon copain ma demandé si c'est ça que je voulais. Il savait que non. Il le savait depuis le debut! Mais comment dire non quand 3 personnes sont là et te dise que c'est

Le 24 Octobre 1557 Cette journée fut fort divertissante. Cela faisait plusieurs mois que je préparais ce somptueux festin en l’honneur du retour de mon ami Joachim. Je me languissais de le revoir après ces quatre longues années passées sans lui. J’appréhendais fortement ce retour car lors de nos échanges épistolaires il me dessinait une Rome morose, insipide, sans grand intérêt, il eslaidissait. Mon père jadis m’avait remplit d’un ardant désir (concupiscence) de découvrir la capitale du monde européen

chαmp de vision, α lα recré. Tu demαndes toutes les 30secondes α tes copines, si il te regαrde. Tu pαrles presque tout le temps de lui, sαns même t'en rendre compte. Quαnd il se connecte, tu αttends que ce soit lui qui vienne te pαrler. Tu deviens folle quαnd il te dit ' Jetαime fort ' ou qu'il t'envoie un coeur. Tu reves de lui toutes les nuits. Tu n'ecoutes même plus tes profs, tu es trop occupée α penser à lui. Quαnd tu le croise dαns lα rue, tu bαisse les yeux & quelques minutes plus tαrd

laiteux » Avec ce premier paragraphe l’auteur prévient le lecteur ; il ne s’agit pas d’une scène comique. Mettre plus en évidence les transformations du paysage: l’obscurité grandissante, et une sorte de brouillard qui envahit la scène. La fin de la journée, la présence de l’automne se lisent comme une métaphore de la mort à venir. L’auteur chercher à mettre le lecteur en condition pour la suite. Le premier personnage qui s’exprime est Camille, là aussi il nous informe sur le lieu inquiétant « Fichtre

propriété familiale où elle a passé son enfance. Le voyage a lieu sous la pluie. Arrivée aux Peuples. Elle passe sa première nuit, à la fenêtre de sa chambre, à rêver au clair de lune de son prince charmant. Chapitre II : Jeanne passe ses journées à lire, à rêver et à goûter aux joies de la nature. Un après-midi, l’abbé Picot, vient faire une visite de courtoisie aux Peuples. Il évoque le vicomte Julien de Lamare. Le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds accepte de le recevoir un jour

rivalité entre Suzanne et Chérubin par rapport à la Comtesse. Suzanne se compare à Chérubin et demande à la Comtesse celui qui est le plus beau. Au moment où elle tient ses propos, la Comtesse la rappelle à l'ordre à 2 reprises. l.18 : " qu'elle est folle " l.36-37 : " d'un ton glacé ; Occupez-vous plutôt de m'avoir du taffetas gommé, dans ma toilette " Elle lui rappelle donc que c'est elle la maîtresse, elle lui ordonne : l.18-19 : " il faut relever la manche " l.36-37 : " occupez-vous de m'avoir

mais le capitaine Neville oui. Elizabeth  : (soupir) Cap  : Eh oui… Le retour du héroDe Laurent TirardMonologue capitaine Neville récit batailleCe qui s’est passé à Essling ? Eh bien c’était une belle journée. L’empereur venait de remporter 4 victoires en 5 jours. Puis ce matin-là, tandis que nous traversions le fleuve, le... le pont a cédé sous le poids des hommes. Une partie de l’armée s’est retrouvée isolée puis en tenaille. Alors les Autrichiens ont