La Fontaine De Sang

Caravage , peintre italien – Les frères Carrache, italiens eux aussi - Murillo, peintre espagnol – Rubens et son élève Anthony   Van Dyck, peintres flamants • Des sculpteurs : Stefano Maderno, sculpteur italien – Le Bernin , en particulier pour les fontaines de Rome, comme celle des « Quatre     fleuves », Place Navone. • Des architectes : Le Bernin – Francisco Borromini – Pierre de Cortone, italiens.   Pour les artistes français, bien qu’ils aient souvent fait leur formation en Italie et

L’animal : métaphore du poète Corpus : RONSARD (de) P., Premier livre des Amours, « Comme un chevreuil », 1552LA FONTAINE J. de, Fables, « La Cigale et la Fourmi », 1668.BAUDELAIRE C., Les Fleurs du mal, « L’Albatros »,1857.ROUBAUD J., Les Animaux de tout le monde, « Le Lombric »,1990. | RONSARD (de) P., Premier livre des Amours, « Comme un chevreuil » Comme un Chevreuil, quand le printemps détruit L’oiseux cristal de la morne gelée, Pour mieux brouter l’herbette emmiellée Hors de

lettre et écrit aussitôt un billet à Camille, dans lequel il la convie à un rendez-vous. Acte III, scène 3 […] CAMILLE,lisant. Perdican me demande de lui dire adieu avant de partir, près de la petite fontaine où je l'ai fait venir hier. Que peut-il avoir à me dire ? Voilà justement la fontaine, et je suis toute portée. Dois-je accorder ce second rendez-vous ? Ah ! (Elle se cache derrière un arbre.) Voilà Perdican qui approche avec Rosette, ma sœur de lait. Je suppose qu'il va la quitter ; je suis

poil rougi traîne sur les pavés Avec des yeux pareils à des raisins crevés. D’un tas d’huîtres vidé d’un panier couvert d’algues Monte l’odeur du large et la fraîcheur des vagues. Les cailles, les perdreaux au doux ventre ardoisé Laissent, du sang au bec, pendre leur cou brisé ; C’est un étal vibrant de fruits verts, de légumes, De nacre, d’argent clair, d’écailles et de plumes. Un tronçon de saumon saigne et, vivant encor, Un grand homard de bronze, acheté sur le port, Parmi la victuaille

communes à tous les sujets elles vous permettent d’approfondir la lecture des textes. Documents A – Jean de La Fontaine, «Le chêne et le roseau», Fables, I, 22, 1668-1694. B – Jean Anouilh, «Le chêne et le roseau », Fables, VI, 13, 1967. C – Jean de La Fontaine, «Le villageois et le serpent», Fables, VI, 13. D – Jean de La Fontaine, «L’homme et la couleuvre», Fables, X, 1. E – Jean de La Fontaine, «Le pouvoir des fables», Fables, VIII, 4. Questions m 1. Dans leur partie narrative, identifiez les points

l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier1 Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Tu ne vieillirais point toutes ces belles choses Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Le fatal giclement de mon sang sur le monde Donnerait au soleil

Hugo bourreau va effectivement brûler jusqu’au sang l’empereur dans le poème suivant, Fable ou Histoire , pour le montrer au grand jour comme usurpateur. Il utilise la fable, genre mineur, pour s’attaquer à la tête de l’état et ébranler sa légitimité. LECTURE Nous répondrons à la problématique suivante : Comment l'écriture du pastiche et de l'apologue est-il au service de la satire ? En analysant D'UNE PART : UN PASTICHE DE LA FONTAINE D'AUTRE PART: L' HISTOIRE ET LE rôle DU POETE

l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Tu ne vieillirais point toutes ces belles choses Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Le fatal giclement de mon sang sur le monde Donnerait au

L'APOLOGUE. Corpus: 1. Fénélon (1651-1715) «Le Pigeon puni de son inquiétude», Fables et opuscules pédagogiques, fable XX (posthume 1718) 2. J. De la Fontaine (1621-1695) «Le Loup et le Chien», Fables, I, 5 (1678) 3. C. Baudelaire (1821-1867) «Le Joujou du pauvre», le Spleen de Paris. (1869) Question: L'apologue est un récit narratif à visée argumentative, allégorique et didactique, rédigé en vers ou en prose, apposé d'une morale pratique. Dans le «Pigeon puni de son inquiétude», de Fénelon

n°2 – A rendre le mercredi 09 / 10 (N’oubliez pas de laisser une dizaine de lignes avant votre réponse pour l’appréciation) Corpus 1 / Pierre de RONSARD (1524-1585), « Quand vous serez bien vieille », Sonnets pour Hélène , 1578. 2 / Jean de LA FONTAINE (1621-1695), « Le Corbeau et le Renard », Fables, 1668. 3 / Alfred de VIGNY (1797-1863), « La mort du loup » (extrait), Les Destinées, 1864. Question sur le corpus Quel est le registre commun aux trois poèmes et quelle visée ce registre met-il