La Forêt Chateaubriand

LA-CHAPELLE- rue de l'Argoat Trégor av .M vers 68 vers GÉVEZÉ oz ZAC de la Renaudais rue ar t du Trégor du 8 M ai 1945 Mozart Betton Centre 71 94 vers CHEVAIGNÉ GARE SNCF r. de la Forêt 70 vers SAINT-SULPICE-LA-FORÊT Placis Vert ad Re nn es N 62 la Champ Devant r. Xav sonnière Gres de Prée de ier Gra ll Collège F. Truffaut du Clos r. des de r. François Mauria rue ZA Le Pontay 68 52 Mott

intéressant de nous attarder sur ce que l’on appelle les « Carnets de voyage », écrits à l’occasion d’un voyage réel effectué par l’écrivain. Ainsi, au 19ème siècle, il y a eu une abondance de tels récits, ceux de Stendhal (Mémoires d’un touriste), Chateaubriand (Voyage en Amérique, Itinéraire de Paris à Jérusalem), ou encore Lamartine, Nerval, Fromentin qui tous quatre écrivirent un Voyage en Orient. Dans tous ces ouvrages, la description qui est faite de la contrée lointaine naît le plus souvent d’une

doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux. André Chénier André Chénier,   Le romantisme : Le romantisme est un mouvement très flou qui correspond à la génération qui eut 20 ans autour de 1820. Il y a les précurseurs comme Chateaubriand et les attardés comme Musset. Ce mouvement est caractérisé par des signes de ralliement tel que la toilette, l’envie de se faire remarquer notamment avec le port des cheveux long et un goût pour le gothique, ainsi que le mépris des classiques

dans chaque département), banissement des régicides (ceux qui ont voté la mort de Louis XVI, comme Fouché ou le peintre David), 70 000 arrestations, 6 000 condamnations. Ils abolissent le divorce en 1816, interdisent au gouvernement de vendre les forêts ayant appartenu à l'Eglise pour payer les dettes napoléoniennes, mais ils n'obtiennent ni la peine de mort pour simple détention d'un drapeau tricolore, ni l'élargissement du corps électoral (ils préférent "leurs" paysans à la bourgeoisie urbaine)

|et la place qu’il y a prise. Sa vie privée est parfois évoquée mais | |  |secondairement. MdO de Chateaubriand, Mémoires de guerre de Charles de | | |Gaulle… | |Recherche dans la profondeur de ses sentiments, de

journaliste qui, un beau jour, au hasard d’un mariage d’amour, se muait en chercheur d’or, en commerçant aux colonies, en défenseur des indigènes et découvrait en Guyane, aux antipodes de sa vieille province natale, une terre âpre et malheureuse, la forêt vierge, l’air du bagne, et des horizons pour ses rêves ; cet homme maigre et pâle, devenu un capitaine d’industrie 6 , un grand homme d’affaires, un politicien que l’on craint, et qui, d’un jour à l’autre, au moment qu’auront choisi ses ennemis que

les impressions suscites par le paysage frappent fortement la sensibilit et limagination. Les sites sauvages et grandioses sont le tmoigne de la monte en puissance dune esthtique du sublime, ce qui est la base du paysage romantique. Lecteur de Chateaubriand, le grand pote du paysage, Lamartine fut clbre par les Mditations, puisqu il a pu faire un renouveau potique touch et mu par les frissons de lme et de la nature . Comme toute grande cration littraire ou artistique, les Mditations est elle seule

intelligente et cultivée que la comtesse de Châteaubriant. Elle était si avenante que l'on ne se méfiait pas d'elle. Sous son air innocent et presque timide, Anne était secrète et ambitieuse. Elle voulait que la maîtresse en titre, Françoise de Chateaubriand parte pour qu'elle puisse prendre sa place, pour arriver à ses fins elle use de finesse et de son savoir-faire. Anne était douée pour jouer la comédie et la jouait bien. Anne avait beaucoup d'influence sur le roi, elle était d'avantage une femme

nul ne peut écrire la vie d’un homme que lui-même ». Francois René de Chateaubriand Mémoires d’outre-Tombe , 1848 posthume. On retrouve l’idée d’un choix qui doit être justifié car peut encore être vu comme de la vanité. Autobio, si on raconte notre vie = c du réel => Chateaubriand dit qu’il s’engage à ne pas donner le nom des gens de son en tourage. Terme de chimère >=> important chez lui

(Cours familier de littérature, etc.). Sa vie et son œuvre son marquées par ses deuils, ses difficultés amoureuses, ses illusions déçues … Lamartine est un homme doux et impressionnable. Ses lectures sont, à ce propos, significatives : il aime Chateaubriand, mais trouve Lafontaine trop cruel ! S’il fut reconnu par les jeunes romantiques, Lamartine ne fut pas toujours apprécié des auteurs qui l’ont suivi (pour ne citer que Stendhal et Flaubert). Analyse du poème « Le lac » (1817) , Méditations poétiques